Joyeuse fête de Saint valentin.

Croyez-le, le véritable amour est éternel, infini, toujours semblable à lui- même ; il est égal et pur, sans démonstrations violentes ; il se voit en cheveux blancs, toujours jeune de cœur.(Honoré de Balzac)

Mon tendre mari

Tu as de baux cheveux gris

Moi un peu plus de cheveux blanc.

Le temps n’a cessé de filer

Sans que nous ne puissions le retenir.

Avons-nous toujours ce même sentiment d’amour ?

Percevons-nous encore la mélancolie autrement

Pour des horizons tendresse,

Des jours à venir paisible ?

Il y a tant d’incertitude !

Un Printemps qui vacille

D’un espoir qui arrête le temps

Dans ta mémoire suspendue ?

Tu dis de ta maladie que

Des petits oiseaux mangent ton cerveau,

Qu’ils troublent ta mémoire,

Ne te laissant pas l’espoir

D’un aller… retour.

Pour toi, il y aura toujours

La douleur tranquille des étoiles

Le noir qui brûle tant de nuit

Et tes débris de mots par impuissance.

Avec toi a mes cotés

C’est aussi cela le bonheur d’aimer.

Roberte Colonel le 14/02/2020

(Image et citation d’Honoré de Balzac chez Symphonie des sentiments)

Citations du livre Equinoxe …

 

 

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Je me propose de vous faire connaître et ce ci pendant plusieurs jours, des citations du Livre Equinoxe écris à quatre mains par Charef Berkani et moi-même.

 Vous pourrez vous procurer ce livre sur commande à :

Roberte. Colonel@sfr.fr

Un cœur qui ne se brise pas, ne peut pas guérir.

 L’intensité d’un amour se mesure à l’impatience ou l’extrême patience d’attendre

Au-delà des frontières, la fatalité ouvre la fenêtre close de notre âme.

Un mot n’est pas une chose, mais un éclair, à la lueur duquel, on le perçoit

Aimer ne peut se faire que sans mesure, puisqu’aimer, au fond, n’est ni rationnel, ni raisonnable. 

(Roberte Colonel Charef Berkani)

à suivre.

 

 

 

Sonnet…

49a3c1c72f979a453631954956f4f97eAlfred de MUSSET   (1810-1857) A M. V. H.

Sonnet

Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,
Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses.

Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le cœur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes.

De ces biens passagers que l’on goûte à demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.
On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble,

On s’approche, on sourit, la main touche la main
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain. (Alfred de MUSSET)

L’amitié, c’est ce qui vient du cœur quand on fait ensemble des choses belles et difficiles. (AbbéPierre)

 

Sur une vague d’insomnie.

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Je suis allongée sur les vagues de mes insomnies

À t’aimer dans cette nuit étoilée de rêves

Attendant jusqu’au petit matin que le jour se lève

Je n’ai qu’un bagage, un encrier d’amour

pour noyer mes mots à l’encre bleu.

Un je t’aime venant dans le vent chaud de mes désirs

Fait vibrer la source de mon corps.

Je m’invente des étreintes de soleil,

Des mirages courant sur ma peau brûlante,

Le parfum assouvi de ma jouissance embaume l’air.

Un éclair, une lueur d’aurore me ramène à la réalité.

Je frissonne devant l’éphémère de mes rêves étoilés.

Roberte Colonel 18/10/2017

 

Il faut avoir aimé si fort…

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Il faut avoir aimé si fort pour comprendre que de si loin l’amour perdure.

Après les larmes dans mes yeux

Il faut que tu comprennes que je t’aime.

Qu’après toi il n’y aurait plus d’après.

Que Sans toi je n’existerais plus.

Les jours passe. Tu es toujours là si fort en moi.

Je t’aime de la passion jusqu’au délire.

Je prie le Dieu de l’amour

Qu’il me fasse t’aimer toujours.

Je rêve des mots que tu me dis,

Je rêve à la douceur de nos nuits

A ces moments où il fait si chaud sur nos corps.

Lorsque je regarde passer ma vie si loin de toi,

J’ai le mal de toi. Je t’attends.

Je n’aurais dans ma vie nul autre que toi .

Et, si l’amour entre nous existe

Attends-moi pour que m’a vie ne s’arrête pas là.

Laissons les ombres du passés derrières nous

Et vivons au grand jour cet amour pour toujours.

Roberte Colonel 11/06/2017

Petite pause …

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Petite pause c’est le printemps, c’est Pâques et le besoin pour moi de profiter pour quelques jours du soleil et de la mer.

J’ai soudain cette envie de regarder au loin, de m’évader, de prendre le large, de déposer mes pas sur le sable et  voir la mer les effacer…

Car pour moi être en vie, c’est aimer la vie c’est choisir de vouloir être heureuse même si ce n’est que pour un court moment.

A vous tous mes ami(es) qui savent se poser au coeur de ceux qui savent vous écouter: à très vite. (Roberte Colonel)

 

 

J’écrivais des silences..

 

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« J’écrivais des silences, des nuits, je notais l’inexprimable. Je fixais des vertiges. (Arthur Rimbaud) »

J’écrivais la nuit nul ne le savais même pas toi mon amour.

J’écrivais l’inexprimable besoin de t’aimer au grand jour.

J’écrivais mes désirs ceux que je te réservais dans mes silences.

J’écrivais des vers pour te dire combien déjà tu me manquais.

J’écrivais la nuit ma déception de te savoir dans les bras d’une autre.

J’écrivais mon tourment que tu puisses lui dire nos mots si beaux.

J’écrivais notre bonheur passé, notre futur incertain.

J’écrivais sans tabous la dure leçon de la passion.

Roberte Colonel

 

La Barque silencieuse,

La Barque silencieuse

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Ne vous croyez jamais à l’abri d’une passion. Lorsque, sous un ciel serein, vous sortez le bateau pour une promenade, vous n’avez pas désiré la tempête qui soudain se lève, vous entraîne dans les turbulences et, vous en rappelant les risques, fait flamber la vie en vous. J’étais au calme dans mon anse. Mais peut-être veille-t-il en chacun de nos corps une petite flamme qui n’attend que le souffle du vent pour se transformer en grand feu ? Boléro de Janine Boissard

La barque silencieuse, le charme brumeux d’automne,

Comme autant de chemins ouverts à la réflexion

La barque suivait l’imperceptible fil de l’eau des marais.

Quelques bulles éclataient de-ci de-là faisant des ronds dans l’eau.

L’ombre de la futaie protégeait les amoureux des ardeurs du soleil.

Je faisais de mon mieux pour ne pas attirer leur attention.

Je n’ai vu au départ que les paysages, les roseaux, et quelques oiseaux.

Et n’ai pas pensé aux naufrages ni même aux avaries et aux orages,

A mille lieux de me douter de ce qui pourrait arrivé je n’avais plus peur

Que recommence cette douleur.  Peur à nouveau d’ aimer

Quand l’ardent désir de cette vie heureuse et douce qui me fuit

Et pour laquelle j’étais né vient enflammer mon imagination,

C’est toujours près des marais salins qu’elle se fixe.

Bonheur parfait sur cet étendue d’au salée ou se prolonge l’attente

De celui qui  de l’autre coté monopolise mes pensées .

Je souris de la simplicité avec laquelle je suis allée

Uniquement pour y chercher ce bonheur au de la des mers.

Image personnel  et poésie de Roberte Colonel

La Barque silencieuse… Titre emprunter d’un livre de Pascal Quignard

 

Moi, les mots, j’aime bien…

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Moi, les mots, j’aime bien. J’aime bien les phrases longues, 
Les soupirs qui s’éternisent.  
J’aime bien quand les mots cachent parfois ce qu’ils disent ;
Ou le disent d’une manière nouvelle.
A demi mots je les marie, Je les faits s’aimer
Ou se détester comme cela me plait.
Ce qui m’importe c’est ce qu’ils traduisent :  
Le respect, la douceur, le bonheur de vivre.
Mes mots s’accrochent à loisir.
Ils se lisent entre eux pour le plaisir.
Ils sont rythmés par mes humeurs.
Mes mots peuvent être gais. Ils font sourire où bien pleurer.
Le plus souvent ils s’étirent à l’envie.
Ils sont poèmes pour faire plaisir
a celui, où celle, qui viendra les lires.
Roberte Colonel
Sur une idée de citation : bloghttp://chamade1000.unblog.fr/    
 

A quoi sert la lumière du soleil…

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C’est peut-être le soleil sur son visage ces matins où elle le laisse couler sur elle. C’est peut-être cette osmose entre lui et elle. Entre le soleil et la mer. Entre lui et elle. Elle sait seulement qu’elle ne peut plus fermer les yeux. Qu’elle est devenue le soleil et qu’elle se chauffe à ses rayons. Marie s’est ouverte pour le bonheur de celui qui la regarde. Elle ne peux s’empêcher d’aimer celui qui illumine sa vie. Marie le cherchait depuis toujours. Elle a trouvé la lumière en lui, comme la fleur trouve le soleil pour éclore. Tous les deux sont plus vivants que jamais. Il s’est enfin posé. Mais il a pris son temps, Peut-être n’avait-il pas trouvé celle d’entre toute qu’il avait envie d’aimer pour un morceau d’éternité. Loin des regards des curieux, il l’aime amoureusement. Elle a posé sur lui son regard bienveillant de celle qui comprend les papillons qui ont beaucoup volé sans jamais se poser. Est arrivait cette minute entre toutes où il posa ses lèvres sur sa nuque. Et elle lui a dit : Je savais que tu viendrais. Je t’attendais. Il chercha les mots à lui dire. Les mots qui exprimeraient en une phrase tout ce qu’il voudrait lui dire depuis le premier jour de leur rencontre. RoberteColonel

A quoi sert la lumière du soleil, si on a les yeux fermés ? [Proverbe arabe]

Mon étoile

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Mon étoile,

Les yeux vers le ciel, levés,

Ö douceur d’un soir d’été

Je regarde la voûte azurée,

Contemple son immensité.

Dans le ciel j’observe les étoiles.

Avec pudeur elles apparaissent

Paradent devant mes yeux ébahis.

Un jour de pleine lune une de mes étoile disparu

 Longtemps je l’ai cherchée.

En tournant les yeux vers ciel

La rêveuse lune au regard familier

Sur l’océan des astres argentés

Diamants qui illuminent le soir,

 glisse, nonchalamment tel un blanc voilier.

Soudain dans le ciel, mon étoile se mit à briller

D’un éclat différent, pierres précieuses des cieux.

Mon cœur comprit que je devais la suivre

sur le chemin de la sérénité.

« Roberte Colonel »

Sur une idée de Arnaud Jonquet « la nuit étoilée. »

Mais quel est c’est autre que je ne suis pas…

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« Mais quel est c’est autre  que je ne suis pas ? »

Lui –  Tu es mon soleil ! Lorsque tu apparais  dans cette pièce la lumière réchauffe mon cœur. C’est chaque fois pareil.  Je n’osais te  dire que je t’aime depuis tant d’années.  Te savoir à un autre je me fait violence pour ne pas t’arracher à ses bras. J’aime te respirer lorsque chez moi  tu viens te faire soigner. Et pour  un instant je suis au paradis. Il est toi et moi et je crois bien que je perce tous tes secrets. J’aime ton regard si droit à la fois si triste et si bon. Te serrer dans mes bras je n’ose. Miroir des émotions lorsque tu te tiens allongée sur la table d’auscultation si près de moi et que mes yeux  scrute tes yeux,   j’entends battre ton cœur si fort que  je m’inquiète.

Elle – Tu prends mon visage entre tes mains, tu cherches mes lèvres et  dépose un tendre  baiser, tu  me demande  pourquoi  je me refuse à Toi ?

Lui – Dis-moi  ma douce ce qui te retient de m’aimer ? Tu en aime un autre n’est ce pas ? Et pourquoi pas moi ? Je t’aime et je respecte ton choix. Nul ne peu forcé l’autre à l’aimer.  J’ai eu si peur de te perdre que lorsque tu fus opérée je voulais que tu saches combien je t’ai aimée, combien je tenais à toi.

Elle –  Tendrement tu m’as regardée  puis tu m’as donné un doux et dernier baisé brûlant sur mes lèvres. J’aurais dû te le dire qu’avec toi  je ne pouvais pas aller plus loin.

Mon cœur outragé  ne sait  plus aimé.

Roberte Colonel

Comme il est bon de rire…

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Quand molière fait dire

A l’une de ses servantes:

« Tuez-moi mais laissez-moi rire »

C’est le droit de bien vivre,

Que ce poète nous chante.

L’humour se partage,

La haine se propage,

L’amour est le présage

Du mal qui tourne la page.

Sans envie d’abîmer la vie

 Je voudrais vous dire

Comme il est bon de rire,

D’aimer vivre à l’envie

Dans un monde sans nuage.

(Roberte Colonel)

 

Pour information: les portaits de femmes Vietnamiennes sont de Rehahn un jeune photographe qui a récemment eu l’occasion de visiter le Vietnam. Au fil de son voyage, il a pu rencontrer des personnes remarquables et qui ont accepté d’être prises en photo. Le jeune homme a donc immortalisé leurs rires et sourires cachés timidement par leurs mains. Par respect, modestie ou politesse, ces Vietnamiens, petits et grands recouvrent leur visage avec leurs mains. Découvrez ces magnifiques portraits de sourires timidement voilés.

T’en souviens t-il ?

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T’en souviens t-il ?

lorsque toutes ailes déployées

Nous voguions dans nos ébats amoureux

Quand tout à coup tu laissas tomber ces mots :

Dissipe la nuit mon amour,

Aimons-nous, aimons-nous !

Le vent jeta l’écume de ces ondes sur le rivage.

Nous n’entendions plus le bruit des vagues

Venues se fracasser sur les  rochers.

Je n’entendais que ta voix si chère

Me murmurer tendrement :

Hâtons nous, hâtons nous de nous aimer.

Les parfums légers des embruns embaument les cieux.

Le temps nous  échappe et fuit

Laisse-nous savourer ces doux instants,

Ecouter la douce mélodie d’amour

Du vent dans la brise qui frémit.

ô ! Temps suspend ton envol,

Laisse-nous oublier les heures,

Et savourer cet instant du plus beau de nos jours.

Roberte Colonel

Merci à Pascal Rebeillard pour cette très belle photo.

Bob Marley a dit…

 

Bob Marley a Dit
Tu n’es peut -être pas son premier amour, ou pas son dernier, ou l’unique. Elle a aimé avant et elle pourrait aimer quelqu’un d’autre. Mais si elle t’aime maintenant, quelle est l’importance? Elle n’est pas parfaite. Tu ne l’est pas non plus, et vous ne le serez pas. Mais si elle peut te faire réfléchir à deux fois, si elle admet n’être qu’un être humain et commettre des erreurs, ne la laisse pas s’en aller et donne lui le meuilleur de toi-même.
Elle ne va pas te réciter des poèmes, elle ne pense pas a toi à chaque instant, mais elle te donnera une partie de sa personne en sachant que tu pourras la briser. Ne la blaisse pas, ne la change pas, et n’attends pas d’elle plus que ce qu’elle peut te donner. N’analyse pas. Sourie quand elle te rend heureux, crie quand elle t’énerve et ressens son manque quand elle n’est pas là.
Aime avec tout ton être quand tu recevra son amour. Parceque les femmes parfaites n’existent pas, mais il y aura toujours une femme qui sera parfaite pour toi…  (Bob Marley)

– « Une de mes amies a publier cette citation ce matin sur facebook j’ai aimé d’où ce plaisir ce soir de le partager avec vous. »

« Plus de trente ans après sa mort, Bob Marley reste toujours d’actualité. Dépassant le seul cadre musical, il est devenu une référence culturelle.» 
Bob Marley et le groupe qui l’a accompagné, en l’occurrence The Wailers, constituent presque deux entités. Après Peter Tosh et Bunny Wailer, il faut citer Aston Familyman Barrett… 
Bob Marley et The Wailers ont beaucoup œuvré à la connaissance du reggae dans le monde. Le surnom de pape du reggae, collé à Bob, n’est pas usurpé, tant il fait cause commune avec cette musique, qui a contribué à la décolonisation du continent africain (Zimbabwe). Bob reste un grand parmi les grands …  

Aimer, ce n’est pas emprunter des routes toutes tracées et balisées….

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Aimer, ce n’est pas emprunter des routes toutes tracées et balisées. C’est avancer en funambule au-dessus de précipices et savoir qu’il y a quelqu’un au bout qui dit d’une voix douce et calme : avance, continue d’avancer, n’aie pas peur, tu vas y arriver. J’ai eu  une fois ce divin appel  j’en garde au fond de mon cœur  un souvenir éternel. Il y a mille façon d’interpréter cette citation; Je vous laisse libre dans votre commentaire  de faire votre interprétation personnel .

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