Aujourd’hui c’est mon corps qui écrit à vos lèvres, les mots imbibés d’amour dans l’encre de ma fièvre. J’ai pour habitude de garder tout en moi, c’est une jolie façon pour ne pas altérer mes sentiments de femme, partager c’est souvent rendre fragile le vent de nos pensées, je ne veux pas voir le beau se transformer en cristal. Prenez alors les lettres de mes mains, le lit de ma peau et la fleur de mon âge. Touchez le rouge de votre bouche contaminée par le murmure de mon rêve, embrassez ce rendez vous secret qui passe sur l’instant.
Mon cher ami, l’inassouvi est une empreinte éternelle, la demande, une épaule qui reste dans le temps, entre moi, entre nous vit un silence si réel que je me gorge même de l’oubli pour embrasser la vie. La tristesse, la solitude ne sont rien lorsque je pense à vous, ma robe a des fleurs blanches qui poussent, joyeuses de vous savoir là bas, mes doigts ordonnent, posent l’inutile pour que je me nourrisse du jour.
Mon cher ami, je perds l’usage de mon cœur, vous êtes cet ami qui manque à ma vie, cet être plein de mystère qui pourrait vivre jusque sur mes paupières, ce muscle qui ferait travailler ma chair, cette nuit qui m’aimerait à raison. Je vous pardonne de ne pas être et je vous aime néanmoins sur les rives bleues de ma passion.
-Carole Riquet. (Facebook)
J’ai flâné sur facebooek et j’ai trouvé cette jolie lettre d’amour….
Il y avait un secret au cœur des mots… Il suffisait de lire pour entendre et voir….et l’on n’avait que du papier entre les mains… Il y avait dans les mots des images et des bruits…la place de nos peurs et de quoi nourrir nos cœurs..
Alice Ferney
Il y avait un secret au cœur de nos mots
Dans le silence de nos nuits.
Que de paroles douces et insensées tu m’avais bercée !
Que d’espoirs j’avais imaginé dans nos nuits à nous aimer.
La douleur sourde à ses tourments a volonté,
Il y avait un secret au cœur de nos mots
Dont je n’ai pu remplacer le vide.
Des mots de feu, des mots de lumière,
Qui éclataient et brulaient en moi,
Qui jaillissaient en éclair
Et brillaient en m’illuminant
M’épanouissant comme jamais.
Je pleure cette partie de mon âme qui s’en est allée,
En Écosse, un photographe amateur a réalisé un sublime cliché d’un coucher de soleil. Sur la photo, on peut voir le soleil et la mer prendre la forme d’un ange avec des ailes.
Stuart Murray est un homme âgé de 56 ans qui vit en Écosse. Un soir, alors qu’il se promenait sur la plage, il a pu admirer un magnifique coucher de soleil qu’il a décidé de prendre en photo. Le cliché a été pris à 21h45 et le photographe amateur ne pensait pas qu’il aurait un tel effet.
Quand il a regardé sa photographie, Stuart a remarqué que le soleil et la mer prenaient la forme d’un ange avec des ailes. Un phénomène incroyable qui rend son cliché unique.
Pendant ses promenades le long de la mer, Stuart a affirmé qu’il avait toujours voulu prendre une belle photo d’un coucher de soleil, mais que les conditions météorologiques l’en avaient toujours empêché. Cette fois-ci, il a réussi à prendre une très belle photo, uniquement avec son Smartphone.
La période de Noël est un moment magique dans l’année
Laissons nous porter par de belles histoires… des contes imaginaires
A tous Joyeux Noël.
Le Père Noël est un très, très vieux monsieur qui aime tous les petits enfants de la terre.
Il est reconnaissable à son long vêtement ample rouge que l’on appelle houppelande.
Il ne se rase jamais aussi possède t-il une longue barbe blanche.
Tous les enfants du monde savent le reconnaître.
Pendant toute l’année le père Noël va visiter les fabricants de jouets.
Il lui faut impérativement se procurer tous les jouets commandés car cette année les enfants ont beaucoup écrit,
Le soir du 24 décembre, les enfants déposent sagement leurs chaussures devant la cheminée et s’en vont sagement se coucher
ils savent tous que le père Noël chargé de jouets passera sans faire de bruit leur déposer le cadeau commandé…
Le père Noël a du mérite. Il ne doit jamais se tromper de cheminée !
C’est un travail immense vous savez pour rendre visite à tous les petits enfants et
il ne dispose que de peu de temps. Tous les enfants à leur réveil doivent trouver autour du sapin de noël leur jouet .
En France le père Noël passe par la cheminée déposer les cadeaux dans les chaussures des enfants disposées autour du sapin de noël.
En Amérique du Nord et au Royaume-Uni, c’est dans des chaussettes prévues à cet effet accrochées à la cheminée ou tout simplement sous le sapin qu’il dépose le jouet.
En Islande, Le père Noël dépose un petit cadeau dans une chaussure que les enfants laissent sur le bord d’une fenêtre dès le début du mois de décembre.
Au Québec, les cadeaux au pied du sapin sont de mise ; en plus des « bas de noël » disposés sur la cheminée dans lesquels son placées des petites surprises.
-Père Noël tu as le droit de te reposer un peu car tu commence à te faire très vieux, mais attention père Noël tu sais aussi que le temps te presse. Tu es très attendu et il te reste encore des tas de cadeaux à distribuer!
Je comprends bien que pendant que les enfants dorment et rêvent à ta venue, tu dois prendre connaissance de la longue liste des maisons qu’il te reste encore à visiter.
-Je te vois très inquiet père noël, tu te demandes si tu vas pouvoir remplir toute ta mission avant le réveil des enfants ?
Rappelle toi… toutes les années c’est la même chose, tu te dis je ne vais pas y arriver…et tu termines toujours à temps ta dernière livraison de jouets.
-Père Noël ne reste pas là assis dans le froid il est grand temps de te remettre au travail !
Les petits enfants vont attendre fébrilement ton passage. Ils espèrent que tu ne les auras pas oubliés et si tu restes dans la neige assis trop longtemps, tes fesses vont se geler !
J’ai bien une petite idée pour te remettre en piste… si je t’offrais une épaisse tranche de pain d’épice avec un petit verre de vin bien chaud parfumé à la cannelle cela t’aiderait t-il à reprendre des forces pour continuer ta tournée?
La légende raconte que le vin chaud fit effet très vite et que tu es reparti ragaillardi, dans la belle nuit de Noël enneigée.
On dit même que l’on t’entendit crier à « dit et à dia » aux rennes pour qu’il avancent plus vite, et on ajoute… avoir vu ton traineau survoler la forêt ! Au petit matin tu avais exhaussé tous les vœux des enfants.
Il me semble qu’ils fabriquent des escaliers plus durs qu’autrefois. Les marches sont plus hautes, il y en a davantage. En tout cas, il est plus difficile de monter deux marches à la fois. Aujourd’hui, je ne peux en prendre qu’une seule. La vieillesse … A noter aussi les petits caractères d’imprimerie qu’ils utilisent maintenant. […]
« A partir de maintenant, je choisis de rêver mes propres rêves, afin de pouvoir savourer pleinement l’exaltation mystique d’être humain. A partir de maintenant, je choisis de me relier aux autres de manière empathique, afin de respecter pleinement l’expérience unique et sacrée de me trouver en chacun à chaque instant.
A partir de maintenant, je choisis de laisser mes actions découler de mon lien avec la nature, et de porter mon attention là où elle soutient ce courant.
A partir de maintenant, je choisis de prendre conscience des pensées non choisies, déshumanisantes, qui m’ont été inculquées par ma culture, et de les empêcher de m’amener à des actions automatisées, violentes.
A partir de maintenant, je choisis de révéler ouvertement ce qui est vivant en moi, quand bien même les autres pourraient ne pas apprécier mon cadeau.
A partir de maintenant, quand je revêts un titre qui me confère une autorité, je choisis d’être conscient que le fait d’atteindre des frontières avant les autres ne justifie jamais le recours à des méthodes punitives pour les amener à me rejoindre.
A partir de maintenant, je choisis de croire que la non satisfaction de nos besoins résulte d’un manque de dialogue et de créativité plutôt que d’un manque de ressources. »
Béatrice DEGEZ Site web santé et bien-être Naturopathe vitaliste, florithérapeute, numérologue, je pratique l’écoute, le soin et la transmission de cœur à cœur.www.unevieenvies.com)
» Je lui demandais comment elle faisait pour supporter ces déboires qui s’accrochaient à elle comme des revenants. Elle me répondait d’une voix limpide : « On fait avec. Le temps s’arrange pour rendre les choses vivables. Alors, on oublie et on se persuade que le pire est derrière soi. Bien sûr, le gouffre nous rattrape parfois et on tombe dedans. Mais curieusement, dans la chute, on éprouve une sorte de paix intérieure. On se dit c’est ainsi, et c’est tout. On pense aux gens qui souffrent et on compare nos douleurs. On supporte mieux la nôtre après. Il faut bien se mentir. On se promet de se ressaisir, de ne pas retomber dans le gouffre. Et si, pour une fois, on parvient à se retenir au bord du précipice, on trouve la force de s’en détourner. On regarde ailleurs, autre chose que soi. Et la vie reprend ses droits, avec ses hauts et ses bas. On a beau acheter ou se vendre, on est que des locataires sur terre. On ne détient pas grand-chose finalement. Et puisque rien ne dure, pourquoi s’en faire ? Quand on atteint cette logique, aussi bête soit-elle, tout devient tolérable. Et alors, on se laisse aller, et ça marche. »
Extrait de » Les anges meurent de nos blessures » de Yasmina Khadra
An 2000 et quelque… En cours de… je ne m’en souviens pas vraiment. Écrire ? Coucher des mots sur du papier, presser les touches d’un clavier et voir s’afficher sur l’écran des lettres qui forment des mots qui, eux-mêmes, forment des phrases qui, elles-mêmes, forment des paragraphes qui, eux-mêmes, forment un chapitre etcétéra.Mais pourquoi fait-on […]