Le rêve pour tes yeux seuls exposé à sa réalité.

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J’arrive du fond des vagues intenses

Pour mouiller de mer ton silence

Là-bas le goût de sel façonne les vertiges

Ils te frôlent déjà dans le sillage des miracles

Comme un geste d’argile sur tes cheveux

À perte de chaleur se rejoignent des mains

Serties de teintes d’eau elles habitent la mer…

Je lisais à ton front des tristesses et te disais :

 Regarde la mer in sinueuse prendre ses reflets d’argent

D’une certitude pour tes yeux seuls esquisse

Sa réalité dessinée ses erreurs.

 Regarde encore l’horizon mirage image,

 Regarde l’espoir dans ce rayon de soleil miroité par l’eau calme,

Ecoute ton cœur. Regarde l’horizon te promettre des demain.

Regarde encore l’horizon dessiner ses chimères, mirage,

Le rêve pour tes yeux seuls exposé à sa réalité.

Regarde l’espoir dans ce rayon de soleil miroité

Par l’eau calme prendre ses reflets d’une certitude

Regarde ton cœur projeté éclatant sur ces boutons de rose

Regarde l’horizon te promettre demain les caresses de la nuit.

Roberte Colonel 2/01.2019

 

Un printemps doux et plein de fleurs

 

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Ce matin de jolis mots se sont étalés sur mon cœur.

Ils m’annonçaient un printemps doux et plein de fleurs.

Ces mots délicats m’ont fait frémir de bonheur.

Combien faudra t-il laisser venir de printemps

Pour que mille espoirs fabuleux nourrissent

Nos cœurs gonflés et palpitants.

Le vent de ton ombre m’a frôlé,

C’est à la fois peine et plaisir,

Et le ciel c’est embrasé au fond de mes pensées.

L’envie d’entendre ta voix m’a plongé

Dans un abîme  fabuleux de désir.

Ce printemps nouveau, souffle de douceur 

Et rime ce que dit le vent à un espoir d’amour retrouvé.

Roberte Colonel

Voyage dans tes rêves…

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« Voyage et ne le dis à personne
Vis une vraie histoire d’amour
et ne le dis à personne
Vis heureux
et ne le dis à personne…
Les gens ruinent les belles choses »
Khalil Gibran

altes Buch mit Tusche und Feder

Voyage dans tes rêves,

Dans tes nuits parsemées d’étoiles

Retrouve-moi sous la voûte du ciel étoilé.

Tu ne me vois pas cependant je suis là, si près

Voyage mon aimé par cette belle nuit d’été

Ou nos pensées succombent épuisées

À la source de l’espoir retrouvé.

Roberte Colonel 18/07/2017

 

insaisissable bonheur…

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Le bonheur est insaisissable et c’est illusion que de l’attendre. Il est volage, il ne reste guère en place. A peine vous a-t-il approcher que déjà il vous fuit vous laissant a des regrets.

C’était hier, ce sera demain, je l’attendrais toujours avec la même impatience car je sais pertinemment bien qu’il repassera il ne pourra s’en empêcher même pour voir si je l’attendais!

Il est imparfait le bonheur il est même parfois cruel puisqu’il s’approche et repart de nos vies en laissant un trait de son passage, juste quelques maux dont il faudra guérir.

Le bonheur est insaisissable, toujours à venir semblable à une illusion d’optique. Nous avançons alors d’espoir en espoir, ne nous épargnant aucun effort.

Le bonheur nous le cherchons jour après jour au cœur de nos passions. Ils emballent nos cœurs.

Le bonheur peut nous echapper. Il fuit comme la peste ce qui est ordinaire et si on le conteste il joue la fille de l’air.

(Roberte Colonel ) 4/5/2017

 

Il est des mots …

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Il est des mots dont les baisers
Nous font penser qu’ils ont des lèvres,
Ces mots sont d’amour, ou d’espoir,
D’immense amour, d’espoir sans trêve.

Ces mots sont nus et ils embrassent
Lorsque la nuit perd son visage,
Ces mots sont nus et se refusent
Aux murs de ta déconvenue.

Des mots soudain hauts en couleur
Au milieu d’autres sans saveur,
Des mots épées, inespérés
Tels la poésie ou l’amour.

Voilà le nom de qui l’on aime
lettre à lettre tout dévoilé
sur un bout de marbre distrait,
ou de papier abandonné.

ce sont des mots qui nous transportent
là où la nuit est la plus forte,
jusqu’au silence des amants
qui s’étreignent contre la mort.

(Alexandre O’Neill)

Le temps me manque pour écrire en ce moment… j’avais publié le 26 septembre 2014 ce magnifique poème de (Alexandre O’Neill)

il n’y eu que 3 personnes venues le lire sur mon blog d’écrivain…