Dors-tu ?

Dors-tu ?

Et toi ! dors-tu quand la nuit est si belle,
Quand l’eau me cherche et me fuit comme toi;
Quand je te donne un cœur longtemps rebelle?
Dors-tu, ma vie ! Où rêves-tu de moi ?

Démêles-tu, dans ton âme confuse,
Les doux secrets qui brûlent entre nous ?
Ces longs secrets dont l’amour nous accuse,
Viens-tu les rompre en songe à mes genoux?

As-tu livré ta voix tendre et hardie
Aux fraîches voix qui font trembler les fleurs ?
Non ! c’est du soir la vague mélodie ;
Ton souffle encor n’a pas séché mes pleurs!

Garde toujours ce douloureux empire
Sur notre amour qui cherche à nous trahir :
Mais garde aussi son mal dont je soupire;
Son mal est doux, bien qu’il fasse mourir!

Marceline Desbordes-Valmore, Poésies

Le coeur de la femme…

   » Le coeur d’une femme ne change pas avec le temps et ne varie pas avec les saisons. »
Le coeur de la femme agonise longuement mais ne meurt pas.
Le coeur d’une femme ressemble à une forêt que l’homme prend pour un champ de batailles et de massacres.
Il arrache les arbres, brûle les herbes, éclabousse ses rochers de sang et sème son sol de crânes.
Cependant, cette forêt reste calme, sereine et paisible.
Le printemps y est toujours le printemps et l’automne toujours l’automne, jusqu’à la fin des temps. »
(Khalil Gibran) copié sur/ Le beau doit être notre monde·

Au cœur de ce bouton d’or…

Au cœur de ce bouton d’or,

 Une petite abeille

Avisée de la pluie

S’est mise à l’abri.

Saoule de pollen,

Elle s’y est endormie !

 Fait-elle la sieste ou bien 

Est-elle confinée elle aussi ?

Se méfie telle des humains

Si pressés de sortir

Ignorant les dangers masqués

Du Coronavirus qui fait le guet, 

Ce glouton mangeur de vie

Qui veut les emprisonner.

Roberte colonel 27/04/2020

 Pierre Escoubas est un macrophotographe surtout basé dans les Alpes Maritimes, notamment sur le secteur de Valbonne.
https://www.facebook.com/profile.php?id=100006616697905

Pierre Escoubas

 » Croire aux petits bonheurs de chaque jour »

« Croire aux petits bonheur de chaque jour »

Elle croit que ce sont les petits bonheurs

Les petits plaisirs additionnés qui font le bonheur,

Et qui fait que le jour est bien rempli

Et que la nuit elle peut bien dormir.

Le sommeil vient quand on a pris le temps

 De s’adonner au bonheur,

À son propre bonheur.

Elle s’est réveillée dans la nuit

Il était presque deux heures du matin

Comme si elle avait dormi des heures

Comme si c’était l’heure d’entamer une nouvelle journée.

La nuit sert peut-être juste à penser à tout ce qui s’est passé la veille

Et qui l’a rendue heureuse.

Elle sert peut-être aussi à ranger tous ces moments

Dans le coffre aux trésors des souvenirs qu’est sa mémoire.

Nul besoin d’un vrai coffre,

C’est dans le cœur que se conservent les souvenirs.

Roberte Colonel le 01/03/2020

Citations du livre Equinoxe …

 

 

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Je me propose de vous faire connaître et ce ci pendant plusieurs jours, des citations du Livre Equinoxe écris à quatre mains par Charef Berkani et moi-même.

 Vous pourrez vous procurer ce livre sur commande à :

Roberte. Colonel@sfr.fr

Un cœur qui ne se brise pas, ne peut pas guérir.

 L’intensité d’un amour se mesure à l’impatience ou l’extrême patience d’attendre

Au-delà des frontières, la fatalité ouvre la fenêtre close de notre âme.

Un mot n’est pas une chose, mais un éclair, à la lueur duquel, on le perçoit

Aimer ne peut se faire que sans mesure, puisqu’aimer, au fond, n’est ni rationnel, ni raisonnable. 

(Roberte Colonel Charef Berkani)

à suivre.

 

 

 

Le coeur de la femme ne change pas 

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« Le coeur de la femme ne change pas
avec le temps et ne se transforme pas
avec les saisons.
Le coeur de la femme agonise longtemps
mais ne meurt pas. 
Le coeur de la femme ressemble à un désert quand l’être humain le prend pour un champ de batailles et de massacres.
Il arrache ses arbres, brûle ses herbes,
souille ses pierres de sang et dans son sol,
il enterre les os et les crânes.
Pourtant, elle demeure paisible et calme.
En elle, le printemps reste toujours le printemps
Et l’automne demeure l’automne
Jusqu’à la fin des temps. »
Khalil Gibran

Juste l’envoi d’une rose …

 

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Juste l’envoi d’une rose pour dire je t’aime encore.

Cela suffira t-il a atténué ta peine ? La fragrance de son parfum atténuera telle tes larmes ?

Tu pleurs et tu souffre de son adieu.

Tu te souviens c’est dans l’amour sous toutes ses formes qu’il te mettait en lumière par la magie réunie de ces mots.

Il laissait parler son cœur dans ses poésies.

Il donnait de l’éclat, et de la passion, aux mots qu’il clamait.

Il n’y a plus de sourire sur tes lèvres.

L’attendre te fais mal.

Il n’y a plus de sourire sur ses lèvres. Il a mal !

De sa fenêtre il n’écoute plus le chant mélodieux des oiseaux.

En définitif son adieu se voulait-il être  la fin d’une belle histoire  ?

Roberte Colonel Le 24 / O8/ 2017

Le cœur à ses raisons

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Le cœur à ses raisons.

Désormais j’ai vieilli

Je ne perçois plus ma vie

Comme un jour de pluie

Devant mes souffrances

J’ai tiré ma révérence

Ainsi va la vie.

Derrière mon sourire

Au-delà du temps

sous les nuages et le vent

Je connais de merveilleux moments.

Tourner les moulins à vent

Qu’importe le temps,

Sublime et troublants instants.

Que passe le temps

Que tournent les moulins à vents

Qu’il pleuve ou qu’il fasse vent

Mon cœur à ses raisons

Pour n’aimer qu’avec passion.

Roberte Colonel  (image minibouts.canablog.com)

Combien de mots recommencés…

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Combien de mots recommencés,

Combien d’images copiées-collées,

Sont gravées dans ma mémoire.

Combien t’en ai-je envoyée

A toi, le poète qui sait,

Tu disais que l’amour prenait sa source

Au fond des mots que je t’écrivais.

Poète, tu sais si bien dissimuler tes sentiments

Sous les affres lumineuses des étoiles

Dans la nuit tu graves

ton image à leurs firmaments.

Tu aimes la vie à contretemps.

Tu rimes tes je t’aime,

A tes jolis mots choisit qui font rêver.

Tu les minimises au fil de ta vie.

Tu fermes les portes étroites de ton coeur

Pour mieux les ouvrirent au pouvoir du bonheur.

Roberte Colonel

 

 

Il pleut des larmes sur mes pages…

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Il pleut des larmes sur mon visage

Il pleut des larmes sur mes pages.

Des gouttes d’encre bleu,

Au clair de ma plume écorchée.

Amour, tu éveillais toutes mes nuits

Viens rêver avec moi, je me meurt sans toi.

Mes mots rêveurs sur les tiens s’impriment

Je suis seule sans toi.

Il y a des moments comme ça où

La tristesse gagne et la joie s’incline, c’est écrit.

La vie n’est pas toujours facile,

Elle ne tient souvent qu’à un fil.

Ce soir j’ai besoin de croire au bonheur.

J’ai tant besoin de toi mon amour, viens rêver près de moi.

Roberte Colonel

La détresse originaire est l’inspiration. (Pascal Quignard)

toile d’Adrian Borda

A l’aurore de ma journée …

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A l’aurore de ma journée tu es venu mon cœur te poser sur mes lèvres et laissé tes mots sublimes. Tu n’as fait que passer. Le temps pour toi de partager avec moi les ondes chaleureuses de ton corps. De ton souffle léger et chaud, exhalant l’odeur de la rose d’été tu disais vouloir mon bonheur. Tels les pétales d’une rose exhalant ses fragrances tu m’as donné le cœur léger. Rose, trésor de l’été ta beauté sublime te nomme reine des fleurs. Tu encense nos cœurs, tu embellie de passion notre vie. De tes pétales si jolis, la brise légère exalte tes odeurs subtiles. De l’aurore au crépuscule à l’heure ou, dans le ciel, scintillent les étoiles au firmament de la nuit, toi, rose veloutée à la fragrance subtile, de poèmes en poèmes, tu en est notre muse. Roberte Colonel

Les souvenirs qui font mal…

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-C’est dans les profondeurs de mon cœur que tu pourras découvrir mes plus intimes pensées. Les souvenirs qui font mal doivent être détruit sans pitié, ils nous cachent la vue donnant sur le bonheur qui nous attend. Roberte Colonel

« Si la mer était de l´encre et le ciel du papier, je n´aurais assez de place pour t´écrire combien je t´aime. » (Inconu)

Un amour commence à exister quand chacun offre à l’autre le fond de ses pensées, les secrets les plus verrouillés. Sinon, ce n’est pas de l’amour, c’est de l’échange de peaux, de désir immédiat. ( k. Pancol )

 

Quand le bonheur nous inonde…

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Nos Deux corps frissonnent de désirs

Quand nos lèvres se cherchent ,

 Nos coeur bouillonnent de plaisir

 Et le bonheur nous inonde.

On oublie vite l’ombre

Et tout ce qui est sombre.

 Au creux de nos bras

 Nos cœurs battent à l’unisson.

 Quand le soleil luit,

L’amour nous ressemble,

Miroir de nos émotions

Il y a toi et toi et moi à l’unisson.

Roberte Colonel

 

blog en pause…

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Merci la Vie

canimeJ’aime ces moments,  J’aime ces partages d’idées, ces débats, ces billets ces fous rires que nous échangeons sur nos blogs ou sur nos téléphones
c’est le net qui m’alimente autant pour les renseignements que pour les émotions que je puise en votre compagnie.
Les sentiments ne sont pas moins intenses si on n’est pas assis face à face dans la même pièce. Le virtuel, ce n’est pas ce que je vis à travers mon écran, même si certains pourraient le penser. C’est simplement pour moi une amitié à distance à qui la technologie a donné la chance à chacun d’entre nous d’échanger, de partager, même s’il y a des milliers de kilomètres qui me sépare de vous. Je suis une privilégiée de pouvoir échanger avec autant d’ami(es), Qu’ils, qu’elles soient ici ou ailleurs, dans le bâtiment d’à côté ou derrière un écran. Qu’ils, quelles fassent partie de ma vie depuis plus de 9 ans ou qu’ils, qu’elles y soient entrés ces derniers mois. Chacun a sa place et en plus, j’aime mélanger mes amis. Et je le fais. Et quels beaux moments nous  partageons ensemble.canimecanime

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Merci la vie pour mes amis, pour leur chaleur et leur présence. Pour ce qu’elles sont, pour ce qu’ils, qu’elles me donnent d’eux. Merci pour chaque minute, pour chaque courriel, pour chaque pensée, pour chaque bisou dans une fenêtre du net.
Mes ami(es) vous m’êtes précieux (ses), si précieux (ses) que je n’aurai pas assez d’une vie pour vous dire combien je vous aime. Et surtout vous le montrer.canime

canime Blog en pausecanime

Je vais m’absenter un certain temps de mon blog.  Je dois subir le 22 janvier une intervention chirurgicale à cœur ouvert.  A la suite de l’intervention au bout de 12 jours  je partirais pour un mois en rééducation… Je n’ai pas d’ordinateur portable mais s’il arrive que je puisse disposer quelques instants d’un ordinateur pendant cette longue période je vous enverrez de mes nouvelles . Celles et ceux inscrits sur ma page de facebook auront la possibilité de me laisser un  message.

Avec toute mon amitié . Roberte Colonel

 

 

Entre le cœur et la raison…

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Entre le cœur et la raison.

« Nos vies sont faites de tout un réseau de voies inextricables, parmi lesquelles un instinct fragile nous guide, équilibre toujours précaire entre le cœur et la raison ». [Georges Dor]

Cette acrobate a choisie cette voie? Pour qu’elle raison donne telle l’impression d’une femme tentant de maintenir un équilibre problématique en continu? Pour qu’on sente cette urgence de tout concilier avec le peu de temps dont elle dispose? Oui, qu’à telle bien pu  être sa vie avant pour qu’il en soit ainsi dans ces moments d’équilibre précaire…

Elle qui a vécu tant de vies, ou plutôt des morceaux de vie, vivra-t-elle un jour une vie dans laquelle elle sera elle, entièrement elle, et pas nécessairement ce qu’on attend d’elle, ce qu’on veut d’elle, ce qu’on fait d’elle? Il lui arrive, alors qu’elle tourne les pages d’un livre de penser à toutes ces vies et parce qu’une phrase, parce qu’une similarité lui rappellent la chose, de se dire que beaucoup – même, la plupart – de ceux qu’elle a croisés, de ceux à qui elle a pu s’attacher un moment, de ceux qui ont comptés, n’auraient pas été en mesure de tout prendre d’elle et qu’il valait mieux pour cette raison rester au bord d’elle-même. Et n’être elle, totalement elle, que seule. Pour éviter les reproches, les blessures, le rejet, la manipulation. Toutes ces choses qui obligent à la solitude ou à n’être jamais tout à fait soi quand on décide d’en sortir.

Et pourtant, une infime part d’elle a eu cet espoir caché que quelqu’un avez vu dans ses différences et ses particularités, non pas matière à fuir, mais à rester. Mais souvent, même si cet espoir ténu, elle se demande si ce jour ne vient pas un peu trop tard.

Mais quel est donc cette voix qui souffle à son oreille qu’il n’est jamais trop tard? (Roberte Colonel)

On vit, On espère, On se souvient.

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On vit, On espère, On se souvient.

Elle a inventé sa voix, deviné son sourire,

Et la désiré des mois entiers.

Elle le savait déjà un trait d’union d’amour

Au diapason de toi, au cœur de sa joie.

Tu as su rallumés l’été à l’automne de sa vie.

Elle voudrait te fêter chaque jour,  chaque nuit.

Tes mots, tes gestes elle les a imprimés

Au rythme de son sang, au tourbillon de sa vie.

Le temps n’y échappe pas, quand la tempête gronde

Elle peut séparer, rendre fous, bouleverser la vie.

Reste cependant  l’espoir que revienne de nouveaux  jours.

Lorsque l’esprit se perd vous réinventez le monde,

La pensée vagabonde et a la vie que que vous rêvez.

Quand vos pensée dérives vous les voyez en couleurs

Dans un monde qui ravive votre bonheur.

Vous prenez le temps d’écouter votre coeur,

De vivre  votre amour, de vous aimez!

Loin l’un de l’autre, privée de votre amour

La traque du  bonheur n’y trouve pas son compte.

vous pensez à tout ce temps qui s’attarde,

A toutes ces heures gâchées.

On vit, On espère, On se souvient.

Roberte Colonel

Tout ce qui est écrit continue de vivre dans l’absence.

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  Tout ce qui est écrit continue de vivre dans l’absence. (Louis Aragon)

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Nous dormirons ensemble

Que ce soit dimanche ou lundi
Soir ou matin minuit midi
Dans l’enfer ou le paradis
Les amours aux amours ressemblent
C’était hier que je t’ai dit
Nous dormirons ensemble

C’était hier et c’est demain
Je n’ai plus que toi de chemin
J’ai mis mon cœur entre tes mains
Avec le tien comme il va l’amble
Tout ce qu’il a de temps humain
Nous dormirons ensemble

Mon amour ce qui fut sera
Le ciel est sur nous comme un drap
J’ai refermé sur toi mes bras
Et tant je t’aime que j’en tremble
Aussi longtemps que tu voudras
Nous dormirons ensemble.

Louis Aragon

La puissance de ses mots…

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Je me suis laissé séduire par les mots de mon poète. Je l’avais attendu. Espéré. Sans savoir qu’il viendrait. Dés sa venue quelque chose avait bougé en moi parce que qu’il avait su trouvé les mots pour aller droit à mon cœur.

Sa poésie aux milles mots

 Elle enchante ma vie.

Il dit cette évidence dans nos âmes

Qui brûle sans brûler

Qui crie sans crier

Il y met tant de passion

 A sa façon de me dire

 Je t’aime mon amour.

Il me dit que ce qui ne se dit

Qu’aux anges et aux fées,

Et je suis la seule à le savoir.

L’éclat de sa voix

La force de ses mots m’émoi

Jusqu’au bord des larmes.

Roberte Colonel

Une petite robe de fête…

 Dans le monde tout se mélange.
Dans le monde tout va ensemble, sauf l’Amour.
Il ne va avec rien. Il n’est nulle part. Il manque.
Il manque comme le temps dans les jeux de l’enfance.
C’est qu’il faut du temps pour aimer,
tellement de temps que le temps ne suffit pas
à répondre aux besoins de l’Amour en nous,
aux demandes en nous de la voix.
La comète de l’Amour ne frôle notre cœur
qu’une fois par éternité.
Il faut veiller pour la voir.

Il faut attendre longtemps, longtemps, longtemps.

C’est cela l’état naturel de l’Amour.

C’est cela son état princier, la merveille de sa nature :
attendre, attendre, attendre. Attendre patiemment.

 » Espérance douce, profonde et lumineuse » …

« Christian Bobin – Une petite robe de fête (Blog Les-mots-de-plume-rose)


Aimer, ce n’est pas emprunter des routes toutes tracées et balisées….

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Aimer, ce n’est pas emprunter des routes toutes tracées et balisées. C’est avancer en funambule au-dessus de précipices et savoir qu’il y a quelqu’un au bout qui dit d’une voix douce et calme : avance, continue d’avancer, n’aie pas peur, tu vas y arriver. J’ai eu  une fois ce divin appel  j’en garde au fond de mon cœur  un souvenir éternel. Il y a mille façon d’interpréter cette citation; Je vous laisse libre dans votre commentaire  de faire votre interprétation personnel .

 Peinture Stevens-Alfred Jeune femme à l’ombrelle rouge au bord de la mer