
» Le coeur d’une femme ne change pas avec le temps et ne varie pas avec les saisons. »
Le coeur de la femme agonise longuement mais ne meurt pas.
Le coeur d’une femme ressemble à une forêt que l’homme prend pour un champ de batailles et de massacres.
Il arrache les arbres, brûle les herbes, éclabousse ses rochers de sang et sème son sol de crânes.
Cependant, cette forêt reste calme, sereine et paisible.
Le printemps y est toujours le printemps et l’automne toujours l’automne, jusqu’à la fin des temps. »
(Khalil Gibran) copié sur/ Le beau doit être notre monde·