Malgré la tristesse du moment excellent dimanche de Pâques à tous avec pleins d’amours et de bonheurs! Image Symphonie des Sentiments
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» Croire aux petits bonheurs de chaque jour »
« Croire aux petits bonheur de chaque jour »
Elle croit que ce sont les petits bonheurs
Les petits plaisirs additionnés qui font le bonheur,
Et qui fait que le jour est bien rempli
Et que la nuit elle peut bien dormir.
Le sommeil vient quand on a pris le temps
De s’adonner au bonheur,
À son propre bonheur.
Elle s’est réveillée dans la nuit
Il était presque deux heures du matin
Comme si elle avait dormi des heures
Comme si c’était l’heure d’entamer une nouvelle journée.
La nuit sert peut-être juste à penser à tout ce qui s’est passé la veille
Et qui l’a rendue heureuse.
Elle sert peut-être aussi à ranger tous ces moments
Dans le coffre aux trésors des souvenirs qu’est sa mémoire.
Nul besoin d’un vrai coffre,
C’est dans le cœur que se conservent les souvenirs.
Roberte Colonel le 01/03/2020
J’ai vécu tant de belles choses…

Je crois que la poésie est quelque chose qu’on sent, et si vous ne sentez pas la poésie, la beauté d’un texte, si un récit ne vous donne pas l’envie de savoir ce qui s’est passé ensuite, c’est que l’auteur n’a pas écrit pour vous. (Jorge Luis Borges)
Je me suis égarée…
J’ai vécu tant de belles choses
Je suis sans regrets.
Je pars, l’œil prompt à suivre l’étincelle
Qui vole à ma rencontre,
Dans l’obscure promesse du jour,
Et me détache du cours des choses.
Je n’ai pas de guitare pour m’accompagner
Mais des chansons bonheur dans le cœur.
Au Sud j’écoute les vagues frapper le récif
Elles me parlent, me rappelle ses belles paroles
Qui, dites dépassaient l’entendement
A fendre les lames pendant que roulait ma tête,
Hors de la nuit.
Une émotion, une empreinte d’un passage,
A mon quotidien portée plus haut que la raison
Me donnait des frissons.
Je fais le chemin à l’envers d’un passage difficile,
Le vent joue dans mes cheveux,
Le bonheur en vainqueur
Viens reprendre ses droits, et
Recréer les couleurs qui justifient ma foi.
Roberte Colonel 11/02/2020
Osez être heureux…
Il est difficile de ne pas voir l’arc en ciel qui fait la pluie et le soleil.
A vivre de regret on ne récupère pas le temps.
Aussi, quelle perte gâchée a ne pas croire au bonheur du présent.
Hier c’était hier, laissez le temps au passé, la vie est merveilleuse
Et pour la rendre heureuse, jouez donc la symphonie du bonheur
Vous en êtes le grand compositeur. Osez… et soyez heureux!
(Roberte Colonel) 13/10/2019
Le temps n’attend pas…
Certains moments de nos vies passent en jetant sur le ciel des nuages de cendre. Leurs particules sombres enveloppent nos âmes d’un froid glacial. Puis, peu à peu, le souvenir nous remplit d’une force imprévisible et précieuse. (Céline Fraipont)
Il faut être heureux et y mettre du sien. L’erreur est humaine admettre la sienne est surhumain! Le difficile demande du temps, l’impossible un peu plus. La vie est un défi constant mais cela vaut la peine de l’accepter. La vie n’est pas que peine; son matériau principal est le bonheur.
Le temps n’attend pas. Le bonheur est une trajectoire et non pas une destination! Si ce n’est pas maintenant pour être heureux quand serait ce?
Il est préférable de l’admettre et de décider d’être heureux maintenant qu’il est encore temps car à la vérité il n’y a pas de meilleur moment pour être heureux! Roberte Colonel
Quand les mots ne sont plus là…
Ecrire, c’est nager très longtemps, nager page après page, sans jamais regarder le rivage de l’impossibilité( Antoine Casas Ros)
Mais Quand les mots ne sont plus là, sacré dilemme on fait un copié collé de textes que d’autres on écrit avec une grande inspiration.
-A ton le choix dans les actes qui nous dicte: « fonce on verra bien ou cela te mène ou bien la sagesse qui voudrait que l’on fasse rien que d’attendre un autre jour entre joie et bonheur retrouvé. »
J’ai en ce moment le besoin de page blanche plus rien de ce que j’écris me semble intéressant. L’envie d’abandonner l’écriture me taraude jour après jour c’est comme un poison qui détruit tout ce plaisir que l’écriture m’offrait il n’y a pas si longtemps encore.
Je suis comme un oiseau blessé qui n’arrive plus à chanter parce qu’il à trop volé.
Aujourd’hui je sais qu’il n’y a pas qu’un chemin dans ma vie… que J’aurai bien plus tard d’autres chemins d’écriture à prendre.
Écrire doit rester pour moi un plaisir et non une corvée.
Suis-je incohérente avec moi-même lorsque je prétends cela ?
Pourquoi ce matin tout me semble t-il si gris, alors qu’au dehors le soleil illumine la mer et le ciel.
Vous donnerais-je a vous mes amis l’idée de croire qu’un malentendu, une incompréhension momentanée est venu me briser le cœur et que je suis a ce point si déstabilisée que je ne puisse plus écrire.
Non, rien de tout cela. Une grosse angine qui s’éternise ma épuisée. Elle seule en est la cause.
Demain je me surprendrai… à vous écrire et de me laisser surprendre une fois de plus par mon imaginaire:
(Roberte Colonel) Le 25/03/2019
Donne-moi le temps de t’écrire…
Donne-moi le temps de t’écrire
Puis va, je n’exige rien d’autre
N’oublie pas, je serai toujours là,
A guetter ton retour
Dans la lueur verte de la mer
Qui ta tant fasciné.
Les vagues sont là…
Il y a des tourbillons,
et ces méandres-là sont difficiles à vivre…
Ils surgissent soudain, sous forme de récifs
Où le destin devient tellement rétif.
Les naufrages les plus lents,
Sont les plus malheureux.
Tu veux punir le bonheur ?
Eh ! bien, non ! Assez de larmes !
J’y laisse ma raison…
Je refuse de boire la cigüe
Le cœur tremblant, la joue en feu,
Je rêve dans mes nuits
Tes lèvres encore tièdes
Tes baisers restent suspendus
Humides sur mon front.
(Robert Colonel)
Il est toi et moi…
« Les mots ont un grand pouvoir. »
Je voudrais trouver la terre promise et sentir sur mes joues le souffler du vent.
Aux portes entrouvertes de tant de bonheur, il fait bon me sentir aimer de toi.
Des joies offertes notre vie devient festin lorsque l’envie s’invite, quand l’amour prend la
vague tu me transporte hors des frontières dans un jour un rêvé.
Nous dansons tous les deux enlacés.
Notre amour n’a pas de fin ? Le cœur y est –il pour quelque chose ?
Lentement se tresse au long des jours notre passion.
Toute cette candeur qui emballent notre Cœur
Quand nos lèvres se cherchent, quand le bonheur m’inonde
Au creux de tes bras tout l’amour nous rassemble. Il est toi et moi.
Roberte Colonel 14/ 02 /2019
Est-ce que tu m’entends ?
Les poèmes n’ont pas d’odeurs, quand on peut les sentir avec le cœur, on peut leurs donner le sens que l’on veut sans que se soit celui que le poète ait voulu exprimer.
Chacun de mes mots doit être dit avec prudence.
Je m’embrase pour toi.
De cela tu ne le vois pas il faut que je le cache.
J’ai le désir de toi, est-ce que tu le vois ? La nuit est mon bonheur.
Je te confie mes peines et sans perdre la mesure
Du temps qui enracine les brisées de l’absence,
Dans le feuillage de tes doigts j’entrevois des étoiles.
Mon corps est une houe qui enroule ton corps.
Privée de tes bras, ton appel est mon bonheur
Quand ma chambre s’obscurcie, je rêve que tu es là.
Roberte Colonel 6/02/2019
Au si loin que mes yeux me porte…
Le regard tourné vers l’horizon, au si loin que mes yeux me porte
malmenés par certains flash-back je suis déterminée à atteindre l’impossible.
J’ai beau avoir été malade, déçue, oubliée, brisée, je continue à avancer avec encore plus
de détermination.
Peut-être qu’au fond je construis la joie avec mes tristesses et que cela se voit dans
certains de mes écrits qui se nourrissent de mes ressentis.
Peut-être qu’au fond j’ai besoin de me dépasser pour atteindre la sérénité et me dire
qu’ avec un rien on peut tout faire, tout imaginer, tout écrire.
Quand dans ma vie il fait froid il me reste l’écriture où je laisse dériver mes mots
sur les vagues de la mer.
Dans les pires moments, les mots que je trace ont pour but de me montrer mes forces
c’est une source de satisfaction, qui elle même est source de mon bonheur.
En somme, merci à mes malheurs passés d’être présent comme motivation.
Roberte Colonel/
Merci a mon amie Patricia pour cette vidéo.
Quand le bonheur, redonne des couleurs…
Quand le bonheur, redonne des couleurs
Brisant les falaises de mes insomnies
mes mots se colorent de lumière cristaline qui se moque de la nuit.
Dans mes rêves dame lune me chuchotte à l’oreille
Une mélodie aux pleiades vêtues de sourires bleus.
Pourtant, quand un éclaire fend l’espace de la nuit je te laisse partir,
Mon corps voyage sur les derniers rayons de lune,
Mais toi, revient vite dans mes chimères.
Roberte Colonel le 15/12/2017
Il est des silences qu’il ne faut pas déranger…
« Il est des silences qu’il ne faut pas déranger. Pareils à l’eau dormante, ils apaisent notre âme. » (Y asmina Khadra, Ce que le jour doit à la nuit.)
Le silence est un signe quand la parole fait erreur ou reste inachevée. Vous seule possédé la clé de ce silence qui apaise, qui ne dit rien.
Le silence vous enveloppe tout entière par ce que vous êtes seule entre vous et ce bonheur réconfortant, apaisant, troublant.
Le silence vous berce sans aucune connexion autre que ce bien être d’un ailleurs impénétrable.
Le silence est le miroir qui lave la parole dans l’eau la plus nue de la parole.
Le silence une errance dans un ailleurs qui indique discrètement le chemin à poursuivre.
Le silence une question posée à la question restée sans réponse.
Roberte Colonel le 13/09/2017
Poésie…
La poésie c’est une rose qui étale sa beauté, son parfum subtil et mystérieux là ou notre âme semble éclairé à la fois par le soleil qui se couche et par la lune qui se lève. Roberte Colonel 14/06/2017
Sauve garder mes écrits poétiques je n’y avais pas pensé jusqu’à ce jour.
De nombreux auteurs publies des recueilles et gardent ainsi le souvenir de leurs textes dans un livre qu’ils relisent plus facilement que sur le blog. Je ferais de même. La reproduction sur un cahier de mes écrits appairait nécessaire. J’ai aujourd’hui un temps précieux pour m’y consacrer pleinement.
Je vais donc redécouvrir avec nostalgie, parfois avec des larmes dans les yeux, parfois avec amour mes moments d’écriture ou ma plume distillait avec délice mes mots douceurs sur ma page blanche.
Et si un jour ma page restait blanche !
Que deviendrais-je ?
Le temps fuit,
Sans un bruit
Si demain ma page reste blanche
L’angoisse d’un jour gris,
Tout doucement s’assombrit.
Mélancolie, ô lenteur infinie de la vie
Hier encore avec ce jour qui se levait
C’était avec bonheur que je traçais ma vie.
Roberte Colonel 17/06/2017
insaisissable bonheur…
Le bonheur est insaisissable et c’est illusion que de l’attendre. Il est volage, il ne reste guère en place. A peine vous a-t-il approcher que déjà il vous fuit vous laissant a des regrets.
C’était hier, ce sera demain, je l’attendrais toujours avec la même impatience car je sais pertinemment bien qu’il repassera il ne pourra s’en empêcher même pour voir si je l’attendais!
Il est imparfait le bonheur il est même parfois cruel puisqu’il s’approche et repart de nos vies en laissant un trait de son passage, juste quelques maux dont il faudra guérir.
Le bonheur est insaisissable, toujours à venir semblable à une illusion d’optique. Nous avançons alors d’espoir en espoir, ne nous épargnant aucun effort.
Le bonheur nous le cherchons jour après jour au cœur de nos passions. Ils emballent nos cœurs.
Le bonheur peut nous echapper. Il fuit comme la peste ce qui est ordinaire et si on le conteste il joue la fille de l’air.
(Roberte Colonel ) 4/5/2017
Tu es le soleil de ma vie
Tu es le soleil de ma vie
Qui me fait croire en des jours meilleurs.
Dans tes puissants rayons, qui raniment mes sens
Enveloppé de calme, et d’ombre, et de silence
Mon âme, de plus près, adore ta présence ;
D’un jour intérieur je me sens éclairer.
Qui me dit d’espérer a chaque instant de la journée
Je te vois en tous lieux et j’entends ta voix
Tu es le Soleil qui inonde mon cœur
De tes mots tu me couvre de bonheur
M’inonde de chaleur, de vie et lumière
Qui ranime mes sens, c’est ton souffle que je sens
Je te cherche partout, j’aspire à toi, je t’aime
Quand la nuit, guidant son cortège d’étoile, tu viens me retrouver
Alors mon âme est un rayon de lumière et d’amour
De désirs dévorants loin de toi consumé
Brûle de remonter à sa source enflammée
Je respire et je sens, je pense, j’aime en toi
Là, quand l’aube, agitant son voile dans les airs
Entrouvre l’horizon qu’un jour naissant colore,
Je veux croire pour nous en des jours de bonheur.
Roberte Colonel
La Barque silencieuse,
La Barque silencieuse,
Ne vous croyez jamais à l’abri d’une passion. Lorsque, sous un ciel serein, vous sortez le bateau pour une promenade, vous n’avez pas désiré la tempête qui soudain se lève, vous entraîne dans les turbulences et, vous en rappelant les risques, fait flamber la vie en vous. J’étais au calme dans mon anse. Mais peut-être veille-t-il en chacun de nos corps une petite flamme qui n’attend que le souffle du vent pour se transformer en grand feu ? Boléro de Janine Boissard
La barque silencieuse, le charme brumeux d’automne,
Comme autant de chemins ouverts à la réflexion
La barque suivait l’imperceptible fil de l’eau des marais.
Quelques bulles éclataient de-ci de-là faisant des ronds dans l’eau.
L’ombre de la futaie protégeait les amoureux des ardeurs du soleil.
Je faisais de mon mieux pour ne pas attirer leur attention.
Je n’ai vu au départ que les paysages, les roseaux, et quelques oiseaux.
Et n’ai pas pensé aux naufrages ni même aux avaries et aux orages,
A mille lieux de me douter de ce qui pourrait arrivé je n’avais plus peur
Que recommence cette douleur. Peur à nouveau d’ aimer
Quand l’ardent désir de cette vie heureuse et douce qui me fuit
Et pour laquelle j’étais né vient enflammer mon imagination,
C’est toujours près des marais salins qu’elle se fixe.
Bonheur parfait sur cet étendue d’au salée ou se prolonge l’attente
De celui qui de l’autre coté monopolise mes pensées .
Je souris de la simplicité avec laquelle je suis allée
Uniquement pour y chercher ce bonheur au de la des mers.
Image personnel et poésie de Roberte Colonel
La Barque silencieuse… Titre emprunter d’un livre de Pascal Quignard
Moi, les mots, j’aime bien…
Moi, les mots, j’aime bien. J’aime bien les phrases longues,
Les soupirs qui s’éternisent.
J’aime bien quand les mots cachent parfois ce qu’ils disent ;
Ou le disent d’une manière nouvelle.
A demi mots je les marie, Je les faits s’aimer
Ou se détester comme cela me plait.
Ce qui m’importe c’est ce qu’ils traduisent :
Le respect, la douceur, le bonheur de vivre.
Mes mots s’accrochent à loisir.
Ils se lisent entre eux pour le plaisir.
Ils sont rythmés par mes humeurs.
Mes mots peuvent être gais. Ils font sourire où bien pleurer.
Le plus souvent ils s’étirent à l’envie.
Ils sont poèmes pour faire plaisir
a celui, où celle, qui viendra les lires.
Roberte Colonel
Sur une idée de citation : bloghttp://chamade1000.unblog.fr/
A l’aurore de ma journée …
A l’aurore de ma journée tu es venu mon cœur te poser sur mes lèvres et laissé tes mots sublimes. Tu n’as fait que passer. Le temps pour toi de partager avec moi les ondes chaleureuses de ton corps. De ton souffle léger et chaud, exhalant l’odeur de la rose d’été tu disais vouloir mon bonheur. Tels les pétales d’une rose exhalant ses fragrances tu m’as donné le cœur léger. Rose, trésor de l’été ta beauté sublime te nomme reine des fleurs. Tu encense nos cœurs, tu embellie de passion notre vie. De tes pétales si jolis, la brise légère exalte tes odeurs subtiles. De l’aurore au crépuscule à l’heure ou, dans le ciel, scintillent les étoiles au firmament de la nuit, toi, rose veloutée à la fragrance subtile, de poèmes en poèmes, tu en est notre muse. Roberte Colonel
Tournons la page…
« Tournons la page, apprécions chaque minutes de notre vie. Demain il sera peut être trop tard pour en profiter. Laissons de coté ce qui nous a blessés et laissons la place à notre bonheur retrouvé. La vie est un défi constant, mais cela vaut la peine de l’accepter. La vérité est qu’il n’y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent. » Roberte Colonel
Chaque jour…
Sans oublier, on peut faire ce qu’on aime, on peut bannire son ombre de ses discours, se dérober à ce maître suprême qui dicte nos actes, mais n’oublions pas le principal choisissons d’être heureux… Roberte.colonel