» Car elle savait bien que, dans une relation, les quelques secondes qui allaient suivre étaient souvent les plus belles, celles que l’on n’oubliait jamais : le moment magique juste avant le premier baiser.
» Guillaume Musso
Je le savais,
Je le lui disais
-Je suis marquée de ton sceau
Tu es marqué de moi,
Depuis toutes ces années !
Oh ! Jours divins
Tu es imprégné sur mon corps
Tu y es incrusté pour toujours.
Malgré ce qui nous sépare
Tu es présent à mes cotés
À chaque minute mon cœur…
Tu me suis partout !
Le manque de toi est un abîme
Tes caresses qui ne sont plus,
La mémoire d’une peau dont la saveur a disparu,
Les doux murmures d’un si beau temps à jamais révolu
Comme les feuilles que l’on balaye après la tempête
Ce temps qui coule dans notre corps et délaisse notre jeunesse
Le souvenir puise dans notre mémoire
Et redonne à notre cœur
Ce que le temps ne peut oublier
L’amour et le besoin de l ‘autre
Ne peut se dissocier.
Texte de « Avec le temps va tout s’en va » S
Avec le temps
Avec le temps, va, tout s’en va On oublie le visage et l’on oublie la voix Le cœur, quand sa bat plus, ce n’est pas la peine d’aller Chercher plus loin, faut laisser faire et c’est très bien
Avec le temps Avec le temps, va, tout s’en va L’autre qu’on adorait, qu’on cherchait sous la pluie L’autre qu’on devinait au détour d’un regard Entre les mots, entre les lignes et sous le fard D’un serment maquillé qui s’en va faire sa nuit Avec le temps tout s’évanouit
Avec le temps Avec le temps, va, tout s’en va Même les plus chouettes souvenirs, ça, t’as une de ces gueules À la galerie, j’farfouille dans les rayons d’la mort Le samedi soir quand la tendresse s’en va toute seule
Avec le temps Avec le temps, va, tout s’en va L’autre à qui l’on croyait pour un rhume, pour un rien L’autre à qui l’on donnait du vent et des bijoux Pour qui l’on eût vendu son âme pour quelques sous Devant quoi, l’on s’traînait comme traînent les chiens Avec le temps, va, tout va bien
Avec le temps Avec le temps, va, tout s’en va On oublie les passions et l’on oublie les voix Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens Ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
Avec le temps Avec le temps, va, tout s’en va Et l’on se sent blanchi comme un cheval fourbu Et l’on se sent glacé dans un lit de hasard Et l’on se sent tout seul peut-être mais peinard Et l’on se sent floué par les années perdues, alors vraiment Avec le temps on n’aime plus
Quelle sensation étrange : cet inconnu que l’ont voit pour la première fois ;
Nous nous souvenons pourtant de l’avoir déjà aimé
En quel temps lointain, en quel mystérieux pays ? Seul notre amour peut en connaître le secret.
L’amour possède une mémoire qui se joue des nuits et des temps.
Qui se joue de l’oubli des destinées qui naissent, s’achèvent et renaissent parfois dans l’ignorance de leur propre immortalité.
Lorsque nous croisons notre amour, nos premiers regards s’interrogent tout en se reconnaissant.
Notre cœur demande : “qui es-tu ?” alors que notre âme s’exclame: “enfin te voilà !” le mystère de l’âme réside dans le mystère de l’amour.
Comprendre l’un, c’est découvrir l’autre. Notre vie a-t-elle suffisamment de temps pour que nous puissions contempler l’existence entière d’une étoile ?
Cette étoile qui vous attire, vous l’avez vu naître avant votre naissance,
Vous l’admirez après votre départ terrestre.
L’amour est semblable à cette étoile.
Le temps d’une simple vie ne peut lui imposer ses limites: il existait avant, il vivra après, car ceux qui s’aiment gardent leurs doigts enlacés au-dessus des siècles.
« Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse ; Ainsi qu’une beauté, sur de nombreux coussins, Qui d’une main distraite et légère caresse Avant de s’endormir le contour de ses seins,
Sur le dos satiné des molles avalanches, Mourante, elle se livre aux longues pâmoisons, Et promène ses yeux sur les visions blanches Qui montent dans l’azur comme des floraisons.
Quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive, Elle laisse filer une larme furtive, Un poète pieux, ennemi du sommeil,
Dans le creux de sa main prend cette larme pâle, Aux reflets irisés comme un fragment d’opale, Et la met dans son cœur loin des yeux du soleil. »
« La poésie comme toute forme d’expression permets de libérer ce que le mental étouffe, des expressions, des mots guérisseurs de maux, offrant douceur et réconfort en des pensées pleines de sagesse venant du cœur de celles et ceux les mettant en valeur de part leurs ressentis sincères et bienveillant.»
Certains êtres coulent sur nous, comme sur du marbre
Sans laisser aucune trace
Alors que d’autres, s’y gravent à jamais,
En dépit du temps qui passe.
Ce sont nos compagnons de route
Plus on veut oublier, plus on se souvient,
Et plus on désespère.
Alors dis-toi, que toi seule sais.
Ne tache pas tes pensées par des esprits chagrins.
Le cordon d’argent, aussi appelé corde astrale ou corde d’argent, est, selon les occultistes, un lien subtil qui rattacherait le corps physique à un corps invisible, semblablement au cordon ombilical rattachant le fœtus au placenta. Le cordon en lui-même serait invisible, sauf à des médiums ou des voyants. Wikipédia