À la Une

Il y a des mots qu’on a besoin de dire, d’écrire…

« Il y a des mots qu’on a besoin d’entendre pour garder espoir.

Il y a des mots qu’on a besoin de dire avant qu’il ne soit trop tard. » (Guillaume Agboessi)

Parce que, dans la vie,

 Il y a certes un dangereux quotient de rêve,

Et sans mots dit… le rêve  reste en état.

Il y a des mots qu’on a besoin de dire

Avant qu’il ne soit trop tard.

D’expérience je sais que c’est difficile

Et que souvent, cela fait mal.

À la moindre tension,

À la moindre percée du souvenir

De cette vie qui est mienne maintenant

J’ai appris à ne plus pleurer.

Cette partie de moi-même  qui s’en est allée

Me laissant dans le désarroi,

Cette chaleur qui m’animait autrefois,

Faisait vivre comme une plénitude en moi

Cette partie dont je n’ai plus remplacé le vide 

 N’est plus… elle m’a quitté

Sous le poids de mon irrémédiable tristesse.

Copyright©2023Roberte Colonel

À la Une

Je le savais

 » Car elle savait bien que, dans une relation, les quelques secondes qui allaient suivre étaient souvent les plus belles, celles que l’on n’oubliait jamais : le moment magique juste avant le premier baiser.

 » Guillaume Musso

Je le savais,

Je le lui disais

-Je suis marquée de ton sceau

Tu es marqué de moi,

 Depuis toutes ces années !

Oh ! Jours divins

Tu es imprégné sur mon corps

Tu y es  incrusté pour toujours.

Malgré ce qui nous sépare

 Tu es présent à mes cotés

À chaque minute mon cœur…

Tu me suis partout !

Le manque de toi est un abîme

Tes caresses qui ne sont plus,

La mémoire d’une peau dont la saveur a disparu,

Les doux murmures d’un si beau temps à jamais révolu

Au plus profond de mes malheurs

Je suis marquée de ton sceau.

Copyright©2023Roberte Colonel

À la Une

Il lui  disait …

Les femmes ont un coin secret dans leur cœur où elles enfouissent ce qu’elles ne s’avouent pas à elles-mêmes, et jamais les philosophes n’ont fourré le nez dans ce coin-là, bien qu’ils s’en vantent fort….. »(Alexandre Dumas.)

-IL lui  disait :

Je te connais par cœur depuis le temps… tu n’as aucun secret pour moi!

Ses sentiments à elle n’avait pas de secrets du moins le croyait-il !

Cependant elle ne lui avait jamais dévoilé tous ses secrets,

Elle en avait gardé tant que s’il les découvrait il en serait étonné.

Toi homme qui croyait tout connaitre d’elle ignorais-tu

Combien elle est perspicace, mystérieuse, hermétique à délivrer

Ses  secrets qu’elle à enfouie dans un coin de son cœur secret  qu’elle

Ne dira jamais !

Copyright©2023Roberte Colonel

Peinture : Willem Haenraets

Willem Haenraets est né le 19 Octobre 1940 à Heerlen aux Pays-Bas. A 16 ans, Willem entre à l’Académie des Arts à Maastricht. Quatre ans plus tard, il reçoit une bourse du gouvernement belge pour étudier à l’Institut National de Belgique des Beaux-arts à Anvers.

Un Silence…

Un silence s’était fait dans son âme, un de ces abîmes où le monde entier disparaît, sous la pression d’une pensée unique, d’un souvenir, d’un regard.

Gustave Flaubert

Elle savait qu’il lui fallait se reconstruire

Laisser derrière elle le passé

Qui n’avait eu de cesse que de  la tourmenté.

Un cœur blessé se soigne,

Une âme en peine retrouve sa paix

Ce n’est qu’une question de temps.

Arrive un jour, où tout s’éclaircit devient léger

 A celui qui fut si longtemps torturé, déchiré.

Son regard s’était perdu dans un abîme

Où disparaissent, souvenir, regret.

La lune sereine étincelante,

Un silence s’était fait dans son cœur

Qui palpite dans l’infini de son rêve.

Un sentiment d’immense paie intérieur

Jaillie en éclair et brille en elle

L’illuminant et l’épanouissant comme jamais.

Copyright©2022Roberte Colonel

Pommes de pin…

Pommes de pin…

Une pommes de pin c’est deux coques en bois
qui dans le vent balancent sur l’océan des toits
une imposante armure une bonne assurance
contre les mauvaises chutes les marques d’intolérances

telle la grappe de raisin qui mûrit sur la treille
c’est un fruit écailleux qui s’éclate au soleil
Tel le fruit de la ronce que protège les épines
Il faut un peu d’audace pour en tirer les pignes. (Alain Hannecart)

Deux pommes de pin

Un échange entre deux amis ce jour

où il ce faisait amitié, tendresse dans leur cœur

 Malgré  tout ce qui les différenciaient et pouvaient les éloigner

Ils s’étaient  trouvés,

Puis ils se sont perdus dans des méandres de médiocrités.

La pomme de pin esseulée sur une étagère entre une pile de livres

S’est refermée contre les mauvaises chutes et les marques d’intolérances.

Copyright©2022Roberte Colonel

Doux rêves !


Je ne sais pas pourquoi
Je rêve que ma vie
avec toi serait belle
Doux rêves !
Je m’entends pleurer 
Quand vient la pluie.
Au rythme de mon chagrin
Je vois couler mes larmes.
Au-delà de mon doux rêve
Au-delà de la mer
 Je rêve d’un amour puissant
mais, l’implacable impossibilité
De mes rimes se fanent
Plus rien de gai ne sort.
Dans ma nuit
Les mirages s’effritent
Et se perdent
Dans un souffle sans fin.
Seule sur la rive,
La tristesse m’envahie
M’enveloppe  et me berce.

Copyright©2022Roberte Colonel

« Il ne sert à rien d’éprouver de beaux sentiments si l’on ne parvient pas à les communiquer. »
– Stefan Zweig

J’ai fait une erreur fondamentale dans ma vie…

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J’ai fait une erreur fondamentale dans ma vie, j’ai parfois cru que le bonheur était à demain, et j’ai attendu demain [..] J’ai perdu tant de jours à attendre demain. Alors que demain était là, dans mes mains, dans la beauté des fleurs, dans l’air que je respirais.

Claudie Gallay- (Avant l’été)

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L’averse sur mon être c’est abattue

Et mon cri de tendresse s’est heurté

Aux parois d’une falaise implacable,

Répercuté sans fin en un long et cruel écho.

L’averse sur moi se déversant, m’a terrassée.

L’averse m’a dissoute ;

Les fines particules de moi,

Dispersées dans l’incohérence de mon rêve

Je n’étais plus là…

J’avais attendu un arc-en ciel

Pour évaporer l’abondance de mots,

Mais l’arc-en ciel  laissait en moi

Qu’un amas de mots me privant de mon souffle.

J’avais cru a à l’éternité du bonheur.

J’avais cru au futur possible 

Au-delà de moi-même ;

Rêve chimérique ! …

En plongeant dans une obscurité

Pleine de pièges tout c’est effondré.

Roberte Colonel 06/06/2021

la fin du printemps.

Si Dieu vous donnait une autre chance, feriez-vous les choses différemment ? » J’ai répondu oui, mais en vérité je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est que mon cœur est aujourd’hui une ville fantôme, peuplée par les passions, l’enthousiasme, la solitude, la honte, l’orgueil, la trahison et la tristesse. Et je n’arrive pas à me débarrasser de tout cela, même quand je m’apitoie sur mon sort et que je pleure en silence. Je suis une femme qui s’est trompée d’époque et rien ne pourra corriger cela. Je ne sais pas si l’avenir se souviendra de moi, mais si c’est le cas, que l’on ne me voie jamais comme une victime, mais comme quelqu’un qui a vécu avec courage et n’a pas eu peur de payer le prix fort.

Paulo Coelho.

La fin du printemps.

J’ai psalmodié mes mots douceurs,

Mes mots de douceurs,

Et le vent m’a écouté.

Le vent chaleureux  doux,

Cherchait un indice d’espoir,

Une raison de croire à l’avenir.

J’ai psalmodié mes mots de tendresse,

Mes mots de tristesse

Et dans le vent et les nuages

J’ai voulu les ténèbres de l’oubli et

Je n’ai trouvé  que la lumière

Au bout de la souffrance

Pour reprendre courage

Et retrouver ma vérité

Retrouver la présence de moi même

Roberte Colonel 04/06/2021

Le langage de l’amour…

Quelle magie le langage de l’amour n’emprunte-t-il pas

De la poésie et des beaux-arts.?

Qu’il est beau d’aimer par le cœur et par la pensée !

De varier ainsi de mille manières un sentiment

qu’un seul mot peut exprimer…

Madame de Staël

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Le langage de l’amour

Je t’ai vu venir de très loin

Me cherchant pour me protéger.

Quand tu m’as enchainé à ton âme

Devant l’immensité de la mer

J’étais comme folle

Je voulais grimper aux étoiles

M’accrocher aux rayons de lune.

La folie et le rêve se ressemble parfois.

Le rêve faiseur de magie

Engendre un bonheur profond.

Il y a tant de choses étranges et

Belles aux quelles on a peur

De croire pour ne pas être déçue.

Roberte Colonel 2/06/2021

« Bien sur elle a du chagrin d’amour »

“Bien sûr on a des chagrins d’amour, mais on a surtout des chagrins de soi-même. Finalement la vie n’est qu’une affaire de solitude.”

― Françoise Sagan.

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« Bien sur elle a du chagrin d’amour »

Cette impuissance physique,

Ce mal être viscéral

Ce chagrin qui étouffe.

C’est déjà demain,

Hier n’existe plus,

Emporté par le vent de l’indifférence,

Le temps du je t’aime

S’échappe de son espérance.

Espoir éconduit d’un futur rejeté

Elle à le cœur serré de souffrance

qu’il ne puisse y avoir de recommencement.

Histoire trébuchante d’un  destin rompu

Sa vie s’est mise à l’envers d’un

Ciel qui n’entend pas ses prières.

Quand les cœurs ne s’écoutent plus

La réalité a le goût du réveil amer.

Roberte Colonel le 27/05/2021

Mi Figue-Mi Raisin

Quand je regarde ma vie et sa couleur secrète, j’ai en moi comme un tremblement de larmes. Comme ce ciel. Il est a la fois pluie et soleil, midi et minuit. Je suis tout cela à la fois. Extrême dans le malheur, démesuré dans le bonheur, je ne sais pas dire. ~Albert Camus

J’ai le cœur qui palpite

dans l’infini de mes rêves.

Je tisse des voiles d’argent

dans mon  ciel de lumière.

Tes mots m’apportent la joie, et

me ravissent,

Tes mots me donnent le rêve et

la vie.

Mais un jour, cessant de me

bercer de mélodie,

Un jour tes mots devenus

lames d’acier,

Ils ne me font plus rêver.

Mon regard avisé s’est perdu

dans le creux d’une vague,

Précipité dans le sable

 mouvant,

Aspiré par le gouffre de tes

pensées.

Tes mots déferlent dans le

tourment de ma conscience…  

Roberte Colonel  21/05/2021

Mes pensées orientées dans l’exultation de l’amour…

Il y a une force plus belle que la pensée, ce sont toutes les pensées, toutes les forces, tout un avenir dans une émotion partagée. « Honoré de Balzac »

Mes pensées orientées dans l’exultation de l’amour

Quelles soient à haute voix, où seule dans mes mots

 Où bien à peine perceptible dans mes silences

l’amour est fort dans mes pensées.  

Passions, émotions sont le feu de leurs âmes amoureuses. 

Mes pensées agissent comme un laser puissant

Qui sculpte et me transforme

comme un rayon cosmique touchant mes émotions.

L’amour passion  est plus beau que la pensée

Cependant que mes pensées et mes gestes….

prédominent la vérité de mon être.

Par mes pensées je deviens toi et n’ai plus de moi.

Roberte Colonel  09/05/2021

La philosophie du Coquelicot..

La philosophie du Coquelicot..

Pourquoi le coquelicot ?

Parce que cette fleur est frêle et vulnérable et pourtant, elle se tient droite, dressée vers le ciel.

Elle est d’une couleur intense, elle est pleinement elle-même.

Elle fleurit partout où ses graines se posent, du champ de blé au pierrier, des bords de la route à la profondeur des grandes prairies.

Elle est capable de trouver ce qu’il lui faut dans la terre où elle s’enracine, elle n’a pas besoin d’arrosage ni d’engrais, elle accueille les pluies du ciel.

Elle ne craint pas le soleil, ni l’aridité.

Elle embellit n’importe quel lieu où elle fleurit.

Elle sait s’effacer lorsqu’elle a donné ce qu’elle était appelée à donner.

C’est pourquoi nous vous invitons à considérer cette « voie du coquelicot », apte à prendre soin de vous et à prendre soin des autres.

Le vrai pouvoir n’est pas un pouvoir sur les autres, cela n’a rien à voir avec le contrôle ou la manipulation.

C’est une qualité intérieure qui inclut la sensibilité, la tendresse et la compassion pour nous-mêmes et ceux qui nous entourent.

Rosette Poletti

« Rosette poletti est Infirmière et Ecrivaine. Rosette Poletti, née en 1938 à Payerne, est une infirmière en soins généraux et en psychiatrie suisse. Elle est l’auteur de nombreux ouvrages d’orientation pratique sur le développement personnel, le deuil, l’acceptation de ce qui est et la sérénité. »

Au-delà de l’apparence …

« J’aurais pu t’aimer d’une façon plus agréable pour toi. – Me prendre à ta surface et y rester. – C’est longtemps ce que tu as voulu. Eh bien non. J’ai été au fond. – Je n’ai pas tant admiré ce que tu montrais, ce que tout le monde pouvait voir, ce qui ébahissait le public. J’ai été au-delà et j’y ai découvert des trésors… »  (Gustave Flaubert .)

« J’aurais pu t’aimer d’une façon plus agréable pour toi »

Mais au-delà de l’apparence, au fond de moi

Je n’ai cherché que le beau à faire rêver et,

l’ émotion de la poésie où l’on écrit le sentimental.

Mon but: découvrir à tes côtés

la splendeur du monde au travers des étoiles,

des fleurs, et des oiseaux.

Tu me dis qu’il doit toujours y avoir une énigme en poésie

qu’elle ne consiste pas à tout dire, mais à faire rêver et

qu’il faut que les mots, pour être poétiques, soient inspirants

que c’est au lecteur de suppléer le reste en en cherchant la clé.

« J’ai été au-delà et j’y ai découvert des trésors… »

Roberte Colonel le 28/04 /20221

L‘Extravagante…

« Vous seuls pouvez connaître l’infini de la joie au moment où pour vous un cœur s’ouvre, une oreille vous écoute, un regard vous répond » ~Honoré de Balzac~

L‘Extravagante

Je suis  cette pauvre extravagante,

qui aime se construire des rêves,

 grimper aux étoiles,

 et s’accrocher aux rayons de lune.

Mais après tout peut-être ne suis-je

qu’une romantique éprise de rêves

qui veut croire aux histoires

qui se lisent dans les livres.

Chaque nuit  je suis propulsée dans des chimères

qui s’échappent de mon sommeil.

Mon imaginaire flotte dans un monde irréel

qui chevauche mon corps endormi.

Il y a tant de belles et étranges choses

auxquelles j’ai peur de croire

de peur d’être déçue.

Chacun possède son rêve.

Il transporte l’âme au de-là d’elle-même.

Et la romantique que je suis,

à peur de  connaître la joie,

et la beauté de l’inaccessible.

Un cœur pur l’attend.

 Là le rêve devient vie,

le rêve se substitue à la vie,

les obstacles n’existent plus.

Et La réalité dérangeante laisse place

A l’illusion d’un bonheur profond.

Roberte Colonel 19/04/2021

douce brise qui adoucie les cœurs…

On peut oublier un visage mais on ne peut tout à fait effacer de sa mémoire la chaleur d’une émotion, la douceur d’un geste, le son d’une voix tendre.

Tahar Ben Jelloun- (La Nuit sacrée)

Le ciel se couvre de nuages

Une douce brise

Qui souffle sur la méditerranée

Adoucit mon cœur,

 Féconde mes fleurs

Qui me rapportes leurs senteurs.

Dans une lente danse

S’essouffle leurs pétales

D’une cadence enflammée.

Un autre va et vient

Un éternel refrain

Embrase la douleur

Répand mes pleurs

Au-delà des nues

L’espace d’un rêve, d’une trêve.

Douce brise qui adoucie les cœurs

Rends-moi mon bien aimé.

Roberte Colonel15/04/2021

Mémoire sélective

Il est incontestable que notre passé continue à définir notre existence. Certaines données sont immuables et continuent à peser sur nous quoi qu’il arrive. Il est horriblement difficile de s’en libérer. – Douglas Kennedy.  « Blog Des mots sur Les maux

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La nature nous a doté d’une mémoire sélective ou pas.

Un peu comme des empreintes sur le sable de nos vies.

Un mirage, une déchirure, des mots de rêves

Enchaînés à mon âme viennent me faire souffrir.

Je tremble et je frémis, dans une nuit sans lune,

Mon cœur épuisé cherche son souffle salvateur

Je m’éveille d’une douce torpeur

Pour enfin sortir du néant

Où j’ai succombé.

J’entends sa voix un murmure

Mais il  n’est pas là contre moi. 

Ses mains ne peuvent me saisir,

Je n’ai de cesse de le chercher

Je crie et mes cris sont muets,

La douleur me transperce

A la moindre tension,

À la moindre percée du souvenir.

Tourmentée  par mes pensées

Tout n’est que chimères, rêves illusoires

Emportés par le vent de ma mémoire

Roberte Colonel 31/01/2021

L’amour est une histoire à deux…

L’amour est une histoire qu’on se raconte, un pacte à deux contre le monde. C’était une folie pure de faire ça, une connerie de plus sans doute, mais qu’il est bon de retrouver le goût de l’autre, qu’il est fort de flotter dans l’éternel présent d’un début de rencontre, sans futur ni questions, qu’il y ait des lendemains ou pas, après tout qu’importe, un amour impossible c’est déjà de l’amour, c’est déjà aimer, profondément aimer, quitte à en prolonger le vertige le plus longtemps possible.

– Serge Joncour, L’Écrivain National « blog douceur des mots en volupté »

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L’amour est une histoire

Qu’on se raconte à deux.

Des instants que l’on vole au temps,

Une heure, un jour, un mois, une année

Marchands de bonheur

Amoureux à fleur de cœur

Ils ont le souffle doux,

Leurs caresses de silence,

Ils ont vaincu leur peur,

Vaincu l’ennui.

Leurs sourires à fleuri

Sur leurs visages attendris.

« Ils ont scellés

 Un pacte à deux contre le monde,

C’est déjà de l’amour, c’est déjà aimer,

 Profondément aimer,

Quitte à en prolonger le vertige

Le plus longtemps possible. »

Roberte Colonel 29/01/2021

Désirs …

« Exprimer ses désirs, ce n’est pas les transformer automatiquement en demandes ou exigences. Car tous les désirs n’attendent pas d’être comblés ou satisfaits mais aspirent secrètement à pouvoir être reconnus et entendus. Le désir, c’est la vie de la vie en sa sève fervente. Jacques Salomé »   

« Source Site: Un Rêve, une Émotion, un Éclat de Rire »

Désirs,

Désirs, c’est la vie de la vie en sa sève fervente

Qui brulent en moi à la fin du jour

Répandant sa chaleur à la limite de l’anéantissement.

Désirs tourmentés dans les profondeurs de mon esprit atrophié

À la recherche de ce qui fut,

Délires, soupirs, répits,

Portés aux seuils de mes songes …

Douloureux cahots de mes nuits ravinées,

Le désir s’effrite à l’inconditionnelle absence.

Roberte Colonel le 27/01/2021