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Ma Solitude…

Ma Solitude

J’ai amené ma solitude sur la plage

Et j’ai demandé au temps :

Pourquoi files-tu si vite le temps. 

Que restera t-il de nous, de

Ce fils invisible qui nous relie encore. 

Autrefois, quand le soleil brillait

On ne s’est pas méfiés du temps qui filait si vite,

Du trésor de nos premiers, baisers, de nos désirs,

Et je suis là, seule sur la plage avec ma solitude,

 Où tu n’es pas.

Nous nous éloignons, un peu plus, l’un de l’autre.

Nos mots n’ont plus la substance de ces moments

 Que nous aimions partager ensemble.

Que restera t-il de toi et moi,

Des fragments, des stances mélancoliques 

Qui pouvaient nous blesser

Que resterait-il de notre histoire… 

Si non, que nos deux noms, sur les ailes du vent

Dans un ciel tourmenté, par ton absence ?

 Copyright©2024Roberte Colonel

Toile de Jean-Jacques Venturini

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Tous les matins, on a une mission…

Tous les matins, on a une mission.

Trouver la gaieté au milieu des raisons de désespérer.

La beauté au milieu des laideurs.

 La gentillesse au milieu des visages fermés.

 Les caresses au milieu des griffes.

 La tendresse au milieu des gifles.

 L’ouverture au milieu des fermetures.

Si vous acceptez cette mission,

la journée sera magnifique.

Si vous la refusez,

allez-vous recoucher tout de suite ! (Édouard Baer)

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Mes écrits sont ma liberté…

C’est, une certitude

Je ne conçois pas ma vie sans écriture

Mes écrits sont ma liberté,

Je voyage dans les mots

Je croise des personnages

Je tapisse un monde que nulle autre que moi peut voir,

Mes mots et mon imaginaire racontent des histoires.

Ils sont inséparables, ils s’accordent en amour

Et comme un fil qui les lie, ne peuvent se scinder

Ils couvrent ma vie d’amour,  

Mes écrits c’est un pays

De couleurs, de nuages, de pluies.

 Copyright©2024Roberte Colonel

*toile de Bertha Wegmann

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Tout nous échappe sans cesse…

Tout nous échappe sans cesse, même les êtres qu’on aime. Mais reste la certitude que certains moments ont été ce qu’on appelle le bonheur. Mais je sais bien que, de la même manière qu’on ne peut retenir un amour, on ne retient rien de son passé, il s’échappe lentement, chaque jour davantage, et on ne choisit pas ce qu’on en garde. (Rêve d’amour de Laurence Tardieu.)

Laurence Tardieu est une romancière française née le 14 décembre 1972 à Marseille.

Peitnure Cécile Dusserle … Naissance : 12/09/1971 – Avignon Provence-Alpes-Côte d’azur, France. artiste peintre propose une large gamme de créations artistiques. Entre amour, énergie, amour et intimité,

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Le muguet symbol porte bonheur…

Ne soyez pas timide belles clochettes !

Visitez les maisons,

Sonnez à toute volée!

Vous êtes ce muguet

qui comble mon coeur

De votre fragrance,

Musquée et forte, capiteuse

Nulle autre que moi

Ne saura vous dire l’émoi,

Que vous provoquez en moi.

Laissez-moi donc l’honneur,

De vous dire que vous êtes,

Le symbole porte bonheur

A l’amour qui ouvre ses ailes .

 Copyright©2024Roberte Colonel

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À demain…

À demain…

Demain, se posera là,

Si loin de ma vie sans toi,

Mon cœur ici, là- bas

Embrassera le bonheur

Que nous avions imaginé

A longue durée.

À demain, à bientôt

Qui ouvre ses bras

À la lumière qui chasse

Les ombres d’hier.

À demain, à bientôt

Le temps s’envolera,

Remplis de tous nos mots

D’un froissé d’âme,

 De confidences murmurées,

Demain se posera là

Avec tous ces possibles à inventer.

 Copyright©2024Roberte Colonel

Image Pinterest

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A l’encre de mon stylo Bic…

Sur ma page blanche

Mon stylo Bic trace

L’amour, l’amitié, l’enchantement,

Avec profondeur et légèreté.

Il ne me reste que si peu d’encre

Pour écrire entre mes lignes

Que l’amour est Chagrin,

Violence, torture, silence.

Je sais désormais

Que mes rêves les plus fous,

Mes moments de bonheur

S’écrirons toujours

sur ma page blanche

A l’encre de mon stylo Bic.

Copyright©2024Roberte Colonel

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Mon Corps En Bataille… Récit

Mon Corps En Bataille

Roberte Colonel

A quelques mètres de moi, là un inconnu marche lentement, sa compagnie soudaine me surprend. J’ai un sentiment étrange. Je ne sais pas pourquoi cet homme me trouble. Bêtement, sans réfléchir, je lui offre mon premier vrai sourire matinal.  Un sourire très timide, un sourire douceur sur une mer calme, même si nous n’avons pas échangé un mot. En quelque secondes, j’ai l’impression que mon destin se joue là, sur la plage !

 – Oh désolé, mon cher, mon cher mari, j’ai perdu la joie de vivre, depuis l’annonce de ta triste maladie… Ce matin je me laisse aller à penser que la vie continue malgré tout.

À cause de la fraicheur de l’air, je grelotte un peu, un léger frisson parcourt mon corps et je suis comme ces fleurs tremblantes au vent, dont les tiges délicates, pourraient se briser à tout moment.

En quelques minutes mes yeux verts rayonnent d’une excitation contagieuse, est- ce à cause d’une attirance incontrôlable perçue à la vue de cet homme … est-ce l’amour qui sans le vouloir s’installe, envahit mon cœur qui se met à battre, des battements palpitants, angoissants, dans ma poitrine. Inconsciemment je me parle intérieurement. Surtout ne te retourne pas, laisse ton rythme cardiaque se calmer et quitte cet endroit calmement.

.-Mais tout de même ça ne va pas ma chérie, que t’arrive t-il ce matin !  Allez … ressaisis-toi ! Danger… allonge le pas, rentre chez toi.

Tandis qu’une image se précise :

Et si je devenais l’héroïne de ma propre histoire romantique sans culpabiliser. Un nouvel univers s’ouvre devant moi dans ce moment présent pour laisser place à un roman souvent pensé sans jamais l’avoir vécu. Et si j’allais vivre ce que j’écrie dans mes romans, il me suffit d’y penser pour entrer dans une spirale qui me servirait de fil conducteur pour une nouvelle histoire dont je serais cette fois le personnage principale !

Pendant toute cette représentation d’errance onirique, le ciel s’est éclairci, comme si une main avait ouvert une nouvelle page de ma vie. Dois-je écrire un conte romantique, dont les pensées secrètes se réjouissent lorsque la nuit prend sa beauté et que l’aube s’éveille doucement ?

Quel est le langage de mon corps dans le tumulte de mes émotions face à l’attrait grandissant de ma luxure : puis-je le décrire ?

Le roman est la clé des pièces interdites de notre maison. (Louis Aragon)

Un nouvel univers s’ouvre peut être à mon présent, laissant place au roman que j’ai souvent bâti, sans jamais en écrire la moindre ligne.

Serais-je réellement l’écrivaine d’une histoire d’un romantisme dont les pensées secrètes se délectent pendant que la nuit fait sa belle, et que l’aurore doucement s’éveille. Dans la tourmente de mes émotions quel sera le langage de mon corps à l’appel grandissant de mon désir : saurais- je le décrire ? En aurais-je le temps…

Extrait très personnel de mon prochain livre : Pas de dates prévues sur sa parution.

 « Mon Corps En Bataille » Thème : La frayeur incontrôlable à l’annonce de mon cancer… guérit à ce jour

Copyright©2024Roberte Colonel

(peinture de Cécile Desserle)

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Poésie…et… Phrase du jour

Aujourd’hui c’est une de ces belles journées

d’hiver, sentant le retour du printemps,

mais où la température fraîchit

dès le milieu de l’après-midi

quand le soleil encore haut ,

pourtant perd de sa force.

Il en est comme de ces amours

encore douces et tendres, mais

palissantes, déjà,

lorsque s’atténuent peu à peu l’émerveilleusement

et la surprise des premiers émois

c’est comme une passion

dont le feu s’alanguit doucement

quand subsistent seulement

la beauté et la tendresse des coeurs émus,

deux coeurs parlant le doux langage de

la tendresse et de la sympathie;

alors la douleur peu à peu s’apaise,

faisant place à la nappe chaude

des sentiments sublimés, dépassant la folie des passions

Copyright©2024Roberte Colonel

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Ne ment veut pas…

Ne ment veut pas pour te dire que je ne peux oublier tous ces jours

Passer à t’aimer.

Au moment où tu m’as envoyé cette chanson je ne dormais pas,

Mon cœur était connecté avec toi et tu ne le savais pas.

Le téléphone était en sourdine je l’ai cependant entendue

Et je suis restée à rêver.

Puis, j’ai écouté la vidéo et me suis endormie bercé par la musique,

Par les paroles de la chanson, qui ressemblent tant à notre vécu.

« Ne m’en veux pas si je ne peux t’oublier »… Oh, non… « Jamais »

Le sable du Sahara sur mes volets bleu lavande,

Le vent et la pluie ont faits leurs; ils se retrouvent rouge aubergine.

Cependant, que le ciel se paraît d’un somptueux arc-en ciel

le soleil enflammé transperce l’horizon en une minute.

Un frissonnement agite mon corps, le noir de la nuit me prive de toi ;

on ne réalise pas combien c’est énorme

Une moitié à ses côtés, pour accueillir, panser les blessures, les révéler peut- être.

Chasser les pensées. Revenir dans ce corps en demande d’amour.

Ce n’est pas difficile faut juste faire semblant en fermant les yeux, c’est bon de

s’abandonner quand on à perdu la moitié de soi-même, c’est fou comme on vacille !

Ne ment veut pas pour te dire que je ne peux oublier tous ces jours passer à t’aimer.

 Copyright©2024Roberte Colonel

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Joyeuses fêtes de Pâques…

En ce jour de fêtes de Pâques

Il fait un temps maussade

Dame nature et ravie 

Elle est belle à craquer

De ce bleu naissant, d’un camaïeu.

 L’arbrisseau en touffe

Et aux aguets du moindre souffle

L’oiseau et la pâquerette se courtisent

L’Orbe timide forme une frise,

Divaguant prête à se jeter à la mer.

En battements d’ailes, l’oiseau s’égosille.

Insouciants, des étoiles dans les yeux

Les enfants excités s’animent, s’amusent, tournoient

À l’idée de trouver sous les branchages, bien cachés des regards

La traditionnelle chasse aux œufs de Pâques en chocolat !

 Copyright©2024Roberte Colonel

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Un souffle léger d’amour s’élève dans l’air…

La tempête à souffler si fort

Et mon cœur pris en otage

Sous un ciel rougeoyant dérive

Et s’abîme sur les vagues baignées de reflets d’or.

Mélodie infinie que cet enroulement des vagues tumultueuses

À la naissance de la lumière qui tremblotent dans l’horizon enflammé.

Des traces laissées par le temps roulent les coquillages sur la grève blanche d’écume

Dans la pureté du jour qui embrase l’horizon flotte une troublante renaissance,

Un souffle léger d’amour s’élève dans l’air.

  Copyright©2024Roberte Colonel


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Un homme nommé « LO PELIN »…

Un homme nommé « Lo Pelin » nous raconte son histoire qui se déroule du Languedoc au Médoc il ne croyait ni au lutins, ni au sorciers farfadets ou fées….ce pendant un jour il rencontra un personnage bien étrange: La Dame Blanche.

Mettant en doute l’existence de celle-ci, elle lui imposa un voyage et lors de celui-ci, il rencontra la fée du Pyla.

Lo Tac, des loups-loups-garous ou encore les joyeuses sorcières de Collioure.

Et c’est ainsi que depuis il ne met plus en doute l’existence de qui que se soit.

« LO PELIN » un joli Conte Musical ce soir au Palais De La Mer à Valras-Plage qui m’a redonner mon âme d’enfant.

26Mars 2024 Photo Perso de l’ensemble instrumental en version bi-lingue Français/OccitanieChoeur d’enfants du conservatoire.Direction misicale: Mathieu Bonnin

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Que le temps passe vite…

24 mars 2018  · 

Une magnifique journée passée en compagnie d’écrivains à la médiathèque de Puissalicon pour le deuxième printemps du livre. Nous avons eu un accueil chaleureux, convivial, extraordinaire dés notre arrivée et ce pendant toute le reste de la journée. A midi Un bon repas nous fut servi en compagnie de Monsieur Le Maire présent toute la journée a nos cotés. Qu’ il soit ici remercié ainsi que la présidente et les adhérents du foyer rural de Puissalicon.

Merci à Facebook de nous faire revivre nos partages d’un jour.

Parfois il suffit d’un seul mot…

Ce sont les mots, ces tristes sires, ces monarques changeant…

Ils nous transpercent, ils nous transcendent. Ils nous glissent des douceurs. A l’oreille, on les fredonne, en mâchouillant une réflexion.

Parfois, il en suffit d’un seul pour déformer nos intentions.

A force de les fuir, ils nous tombent dessus, à l’affût de la foudre, raisonnant comme sur les murs d’une cathédrale. Ils sont l’avant, ils sont l’après.

Ils viennent troubler les amants.

Et du péché le plus infime, ils bâtissent un noyau d’odieux, où ni les sages, ni les victimes, ne calment leur désaveux, et s’accouplent jusqu’à renaître au plus profond de leurs adieux.

 Copyright©2024Roberte Colonel

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Avec le temps va tout s’en va. »S »

J’veux du soleil
Où il fait froid
Dans le détroit du coeur.
J’veux de la Chaleur
Sur le visage
Pour le sécher de mes larmes
J’veux des couleurs,
Dans mon jardin de vie,
Des désirs et des envies.
J’veux respirer le parfum du bonheur
J’veux de la musique
Pour mes nuits d’insomnie
De la tendresse et des caresses
Je voudrais encore
Des papillons dans mon ventre,
Et des battements de tambours dans le cœur.
Un morceau de douceur,
Pour le temps qu’il me reste.
Juste un moment de Vie.

Auteur « S »

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Cette foutue mauvaise foi!

Quand tout est contre toi,

Quand les autres ignorent tout,

De c’ qui se passe sous ton toi

Et fait trembler ton coeur

Lorsque tu es à bout

À force de rancoeur;

Quand il entre chez toi,

Le vent de la colère,

On te dit: « prends sur toi,

Ne laisse pas tes nerfs

S’user et s’abîmer encore

Contre des murs de pierre »

Tais-toi et fais le mort,

Tu ne peux rien, c’est vrai,

Sinon ronger ton frein,

Ton coeur bat à l’envers,

Et sort de son écrin.

Mais, moi aussi je sais

Que sa fait mal très fort,

Et dans un temps record,

Quand elle passe près de toi,

Cette foutue mauvaise foi!

Copyright©2024Roberte Colonel

Accueillir ce qui vient comme il vient.

Ne pas s’épuiser à vouloir arrêter les marées, à tenter de changer ce qu’on ne changera pas, mais vouloir ce qui arrive de la manière dont il arrive.

Jouer sa partition du mieux que l’on peut, même si l’on n’a pas écrit la symphonie ;

Naviguer sans faillir alors qu’on n’est pas maître des flots

L’océan a ses marées, la vie à ses hauts et ses bas.

Il est préférable d’accompagner le mouvement plutôt que de s’y opposer… »

Laurence DevillairsPatricia Robert
PsychoAnalyste Sophrologue Hypn’Ose
Laurence Devillairs Normalienne, agrégée, docteur en philosophie, habilitée à diriger des recherches en philosophie Attachée de recherches Collège de France Direction …

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 L’amour est vraiment un sentiment étrange. ..

 L’amour est vraiment un sentiment étrange. 

N’étais je pas assez que mon âme contemple

Cette nostalgie, traînant sur la rose des sables

D’une présence passée, figée couleur de sépia

Au fond de mes souvenirs je viens souvent m’assoir…

Pourquoi a-t-il fallu que je vous voie ce soir ?

Et pourquoi ais-je repris l’album

Aux pages épaissies

Par l’entassement de ma vie

Sur toutes ces photographies ?

Pardon pour cette humeur née de mélancolie…

Je referme l’album…

Je voulais seulement calmer l’étrange folie

De vous faire revenir.

Copyright©2024Roberte Colonel

Peinture Josef Kote.com

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L’amour n’est-il pas à inventer chaque jour ?

L’amour n’est-il pas à inventer chaque jour

 Et de se sentir soulevé comme la sève qui aime

La fleur au lever du soleil levant

Mais oui bien sûr, l’amour, c’est tout cela

Eh bien plus, indescriptible et sublime à la fois

Pour que le jour soit éblouissant, semblable à la rose qui s’ouvre

En pétales de vie protégée avec soin dans l’antre infini de l’aube.

Douce mélancolie d’un baiser donné et jamais oublié

Mots à l’encre magique, mots d’amour où les nuages se dissipent

L’amour réinvente les éclats de rire, les échanges de mots folie,

De rêve si beau, si insensé, d’amour si doux.

Il y a un secret au cœur des mots hantés par le spectre de la mélancolie,

Où viennent sombrer des pensées éphémères sur l’esquisse de l’instant

Pour nourrir l’amour sans en apporter l’oubli.

« Mais oui bien sûr, l’amour, c’est tout cela »…

Copyright©2024Roberte Colonel