» Le temps agit sur toute chose. Il façonne les rivières, ride la surface de la terre, met au monde le grain de sable qui provient du rocher de demain, roule les saisons. Le temps file. Pourtant il reste toujours du temps, du temps à rattraper, du temps à effacer, du temps à attendre. On […]
La mer, c’est le cœur du monde. Vouloir visiter les océans, c’est aller se frotter aux couleurs de l’absolu. (Olivier de Kersauson) (Photo Emmanuel Colonel)
Le chanteur et compositeur Alain Barrière, auteur de Ma Vie et Tu t’en vas, est mort, mercredi 18 décembre, à l’âge de 84 ans, a annoncé son agent, Fabien Lecœuvre. Déjà victime de plusieurs AVC ces dernières années, il en a subi un autre avant le décès de sa femme début décembre. De son vrai nom Alain Bellec, il naît à la Trinité-sur-Mer (Morbihan) le 18 novembre 1935, dans une famille de mareyeurs. Dernier d’une fratrie de trois, il est élevé par sa mère seule. Il grandit dans « les barques, les pinasses, les chalands et l’odeur de la marée du matin » entre la criée et le petit commerce familial.
Plus enthousiasmé par la nature que par l’école, et alors qu’il s’attend à échouer au certificat d’études, il fait la rencontre providentielle d’un instituteur qui éveille sa curiosité et le propulse dans les études. Son baccalauréat en poche, il part pour Angers où il entre à l’Ecole nationale des ingénieurs des arts et métiers en 1955. Passionné par la musique de Django Reinhardt, il achète sa première guitare et commence à composer.
Sur le point d’obtenir son diplôme d’ingénieur, il apprend qu’il est atteint de la tuberculose. Immobilisé en cure et postcure, il tue le temps en créant des chansons dont il compose la musique et écrit les paroles. Il achève Cathy en 1961. La chanson, sélectionnée au concours d’Europe n° 1 Le coq d’or de la chanson française, lui offre l’occasion de son premier passage à l’Olympia. Son succès est suivi d’un autre, en 1963, quand il arrive cinquième au concours de l’Eurovision avec Elle était si jolie.
Numéro un des ventes en France
Ma Vie sort en 1964 : le slow de l’été et son plus grand tube. Numéro un des ventes en France, devenu vedette internationale, Alain Barrière enchaîne alors scènes françaises et tournées à l’étranger, en Amérique du Sud, au Japon, au Canada… En cette fin de décennie, son répertoire s’enrichit d’autres titres, Emporte-moi (1968), A regarder la mer (1970), Rien qu’un homme (1971), mais qui pourtant ne rencontrent pas le succès escompté par le chanteur, notamment sur les ondes. « Je croyais m’être fait un nom. C’était une illusion totale ! », dit-il dans son autobiographie Ma Vie (éd. du Rocher) publiée en 2006.
Il crée en 1971 son propre label, Albatros. Dans le même temps, il tente de troquer la ballade romantique contre des textes d’un style plus engagé, tels V comme Vietnam (1968), Avion, béton, camion (1970) sur la pollution, ou bien Amoco (1978) sur la marée noire, et Mon pays (1978), sur ses démêlés avec l’administration fiscale. Un choix artistique qui l’isole davantage, malgré la réussite inattendue en 1975 de Tu t’en vas qu’il chante en duo avec Cette même année, il a 40 ans et rencontre Agnès Cohen-Solal, qu’il épouse et avec qui il a une fille, Guenaëlle.
Un exil aux Etats-Unis
Peu disposé à courtiser les médias qui l’ignorent, il se consacre à partir de 1973 à un projet ambitieux, la construction du Stirwen, en breton L’Etoile blanche situé à Carnac, auquel il donne l’apparence d’un château et qui rassemble sous ses solives théâtre, bar, restaurant et discothèque. Jusqu’en 2002, le Stirwen accueille de grands noms de la variété française.
L’éclaircie est de courte durée. Son nouveau train de vie et l’indélicatesse d’un collaborateur, lui attirent les foudres de l’administration fiscale. Ce sont, dit-il, « trente années d’acharnement » qui le poussent, sa famille et lui, une première fois à un exil aux Etats-Unis, de 1978 à 1980, puis à un second départ, de 1983 à 1988, pour le Canada.
De retour en France, ruiné, il ne compose plus jusqu’en 1997, année de sortie d’une compilation intitulée Ma vie : trente années de chansons et d’un double CD Barrière 97, constitué de nouveaux titres qu’il interprète sur scène avec succès en 1998. Pleyel affiche complet, deux jours de suite.
En 2003, il fait ses adieux au public. Mais sur les conseils de sa fille, il revient sur scène en 2005 pour un enregistrement live au Stirwen. Puis, au printemps 2007, il est à l’Olympia et quelques mois plus tard au Palais des Congrès. Toutefois miné par ses problèmes de santé, il annonce son retrait définitif de la scène en 2011.
Disparition doublement émouvante, il avait aussi chanté « Nous partirons ensemble », titre prémonitoire, son épouse Agnès est décédée il y a 15 jours. Ils étaient mariés depuis 1975. L’au-delà les a réuni… l’Amour est éternel !
Dates
18 novembre 1935 Naissance à la Trinité-sur-mer (Morbihan)
Citations du Livre Equinoxe écris à quatre mains par Charef Berkani et moi-même.
Vous pourrez vous procurer ce livre sur commande à :
Roberte. Colonel@sfr.fr
Il y a des voyages qui durent une éternité pour celui qui reste sur le quai.Derrière chaque déception, se trouve un nouvel espoir de recommencement.
Une amitié douce et sincère naît toujours dans un mystère. Elle chemine à pas de loup, elle y creuse le doux nid du sublime bonheur.
Le sentiment d’être différent de l’autre nous rapproche et l’amour se charge de transformer le rêve en réalité.
La rime n’a plus sa place aux côtés de la prose qui savoure seule les fruits de la passion de deux corps soumis.
On regarde les nuages, on fixe le ciel et on pense à une personne avec quelques larmes aux yeux. C’est ça le manque.
Dans notre obstination à vouloir corriger nos fautes de style, il vaut mieux tourner la page pleine de ratures, au risque de la surcharger et provoquer sa déchirure
Pourquoi retomber sur terre quand l’univers ouvre ses bras pour nous ?
Le Temps qui passe n’est pas menace si le cœur rime avec bonheur…
Tout paraît facile quand en fin de compte on s’épargne l’amertume, et les regrets de ne plus être aimée de l’être que l’on a chéri.
L’amour est plus fort que la guerre, plus fort que les lois parentales, plus fort que tous les interdits religieux, plus fort même que la raison.
On ne peut s’empêcher d’aimer, pas plus que l’on ne peut retenir celui qui décide de partir si c’est ce que lui dicte son cœur.
On sait que c’est fini quand on se sent plus amoureux de ses souvenirs que de la personne qu’on a devant soi ?
La vie décide–telle de nous et de l’avenir au détour d’une phrase ? Tout se joue dès le départ !
C’est le soleil qui revit, qui réinvente des couleurs pour faire briller la nuit, effacer les torpeurs pour la rendre plus jolie.
Le bonheur est une trajectoire et non pas une destination.
La nuit est souvent porteuse de doutes même si souvent elle sait aussi nous éclairer sur certains de nos choix.
Comme la plante l’amour se ressource du fond de ses racines cachées pour bourgeonner de nouveau.
Citations du Livre Equinoxe écris à quatre mains par Charef Berkani et moi-même.
Vous pourrez vous procurer ce livre sur commande à :
Roberte. Colonel@sfr.fr
Les petites peines sont bruyantes et les grands chagrins muets.
Internet n’est pas l’apanage des extrémistes de tout bord. Internet peut semer l’amour au-delà des frontières et des cultures.
On peut par moments être triste et heureux, l’un n’empêche pas l’autre.
on est solitaire à force d’aimer écrire des livres, et tout ce qui a trait aux mots et au savoir On aime toutes ces choses parce qu’on est avant tout, par nature, solitaire.
L’amour n’est plus, l’amitié toujours.
Les souvenirs et les mots qu’on tait, sont de curieux souvenirs qui nous assaillent au détour d’une phrase.
c’est dans un esprit clair et libre, au dessus de la mêlée des membres, au-dessus des soupirs et des cris, que se creuse l’inquiétude.
Il faut apprendre à gérer ses tourments pour en faire une force et s’en servir afin de ne pas s’abîmer dans la souffrance.
le bonheur n’est jamais tout rose, il est blanc et rose. Mais les couleurs tendres lui reviennent de droit.
La femme passionnée est capable d’affronter n’importe quel supplice, certaine qu’elle avancerait sur une planche étroite, au dessus d’un précipice sans fond.
Les rêves qu’on lance dans la mer, sur une plage, finissent toujours par se rejoindre quelque part entre eux. Ils finissent par engloutir les larmes versées, jetées comme une poignée de sable dans la Méditerranée.
il y aura toujours des mots qui sembleront plus beaux que d’autres parce qu’écrits avec l’encre de l’amour.
On s’aime sans raison, et l’on se quitte sous le motif d’une grande incompréhension avec le sentiment d’avoir été trahi. Rien n’arrive dans la vie ni comme on le craint ni comme on l’espère.
L’amour s’écoule. Il ne connaît pas de frontière d’un autre toi et moi, indissociable.
La douleur posthume peine à cicatriser les traces qu’a laissées l’absence d’un être cher.
Il y a des voyages qui durent une éternité pour celui qui reste sur le quai.
Derrière chaque déception, se trouve un nouvel espoir de recommencement. Une amitié douce et sincère naît toujours dans un mystère. Elle chemine à pas de loup, elle y creuse le doux nid du sublime bonheur.
Le sentiment d’être différent de l’autre nous rapproche et l’amour se charge de transformer le rêve en réalité.
La rime n’a plus sa place aux côtés de la prose qui savoure seule les fruits de la passion de deux corps soumis.
On regarde les nuages, on fixe le ciel et on pense à une personne avec quelques larmes aux yeux. C’est ça le manque. a suivre
Citations du Livre Equinoxe écris à quatre mains par Charef Berkani et moi-même.
Vous pourrez vous procurer ce livre sur commande à :
Roberte. Colonel@sfr.fr
La vie décide-t-elle de nous et de l’avenir au détour d’une phrase ? Tout se joue dès le départ !
C’est le soleil qui revit, qui réinvente des couleurs pour faire briller la nuit, effacer les torpeurs pour la rendre jolie.
Le bonheur est une trajectoire et non pas une destination.
La nuit est souvent porteuse de doutes même si souvent elle sait aussi nous éclairer sur certains de nos choix.
Comme la plante l’amour se ressource du fond de ses racines cachées pour bourgeonner de nouveau.
L’ amour qui arrive par des chemins détournés que ce soit par destin, ou par hasard, ou par le mélange des deux, croise nos jours sans lumière pour éclairer tout cela.
Les épreuves difficiles sont parfois nécessaires pour savoir que dans la vie rien n’est acquis même pas le bonheur.
Je me propose de vous faire connaître et ce ci pendant plusieurs jours, des citations du Livre Equinoxe écris à quatre mains par Charef Berkani et moi-même.
Vous pourrez vous procurer ce livre sur commande à :
Roberte. Colonel@sfr.fr
Un cœur qui ne se brise pas, ne peut pas guérir.
L’intensité d’un amour se mesure à l’impatience ou l’extrême patience d’attendre
Au-delà des frontières, la fatalité ouvre la fenêtre close de notre âme.
Un mot n’est pas une chose, mais un éclair, à la lueur duquel, on le perçoit
Aimer ne peut se faire que sans mesure, puisqu’aimer, au fond, n’est ni rationnel, ni raisonnable.
Il est toujours difficile d’abandonner ou de voir comment le temps épuise peu à peu les sentiments de deux personnes qui se pensaient assez forte pour rester ensemble. Mais vouloir espérer a tout prix ce qui était le passé n’est pas une bonne chose.
Lorsqu’il y a eu un doute, une trahison difficile de croire à nouveau que ce doute n’était pas la réalité. Alors se pose la question ? Es ce que je veux régler ce problème sans donner la véritable raison qui est de ne pouvoir régler ce problème. Il est possible que l’amour prenne fin, et lorsque ce sera le cas, vous devrez continuer votre chemin.
L’amour passe par différentes étapes et croire qu’il s’est terminé parce que l’on traverse une étape différente de celle du début est une erreur plus habituelle que ce qu’on peut croire. Traverser cette phase où l’on tombe amoureux est fascinant, mais ce n’est pas vraiment réel. L’amour est un long chemin et il est parfois compliqué ; c’est pour cela que, parfois, le fait de mettre fin à une relation signifie maintenir une pincée d’amour entre les deux, d’une façon différente et, d’autres fois, le fait de tirer un trait sur une chose déjà terminée peut finir par rompre les extrémités de ceux qui tirent.
Rompre avec quelqu’un signifie aussi en finir avec la stabilité puisque, même si l’autre personne était très intermittente comme point d’appui, dans notre esprit nous ne cessions de compter sur elle pour nos projets. Des projets qui peuvent s’être en partie brisés avec la fin de la relation. D’autres survivront mais nous les réaliserons avec d’autres personnes ou toute seule.
L’amour doit être démontré, non mendié. Le faire, c’est se soumettre à notre capacité à aimer le pire des bourreaux: l’indifférence . En effet l’indifférence déséquilibre au sein d’une relation et se maintient grâce à la fragilité des ciments de base. Nous méritons une relation qui se base sur la complicité, l’estime, le temps passé ensemble et l’affection mutuelle. Souffrir par amour nécessite de la réflexion et un surpassement, car l’angoisse de se rendre compte qu’une personne ne nous aime pas nous fait ressentir une chose qui nous dévore de l’intérieur. Un amour mendié, ce n’est pas de l’amour, c’est un manque de dignité et de respect envers soi-même. Ainsi, s’aimer est la première chose à faire pour vivre l’amour dans la plénitude, pour ne pas tomber dans la manipulation, la maltraitance ou la victimisations.
Un maître de l’Orient voyant un scorpion se noyer, décida de le tirer de l’eau mais lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua.
Par l’effet de la douleur, le maître lâcha l’animal et celui-ci tomba à l’eau une seconde fois.
Le maître tenta de le retirer à nouveau et l’animal le piqua encore.
Quelqu’un qui était en train d’observer la scène, se rapprocha du maître et lui dit : » Excusez-moi, mais vous êtes têtu ! Ne comprenez vous pas qu’à chaque fois que vous tenterez de le retirer de l’eau il vous piquera ? »
Le maître répondit : « La nature du scorpion est de piquer, et cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider. »
Alors, à l’aide d’une feuille, le maître retira le scorpion de l’eau et le sauva de la noyade.
Puis il lui dit: « Petit Scorpion, ne change pas ta nature : si quelqu’un te fait mal, prends juste des précautions. Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent. »
Moralité
Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire.
Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation.
Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation, c’est ce que les autres pensent de toi…
Et ce que les autres pensent de toi…c’est leur problème.
Les portes du dixième Salon International du livre de Mazamet s’ouvriront ce dimanche 12 mai à 9h au Palais des Congrès.
Neuf ans ce n’est pas anodin, c’est preuve de pérennité et cette réussite est à saluer puisque l’on se souvient que l’organisation est portée à bout de bras par un seul homme : Michel Sabarthes.
Pour l’avoir fréquenté, je le décrirais comme un être de grande simplicité, le cœur sur la main. Une main de fer dans un gant de velours semble expression créée pour le personnage. Le président de l’Association Culturelle du Tarn Sud (France) rappellera lors de la conférence de presse qu’un évènement d’une telle ampleur ne saurait exister sans l’équipe de bénévoles qu’il convient de saluer. En effet, chargés de la mise en place des exposants et de l’accompagnement du flux de visiteurs, ces derniers travaillent en coulisse attentifs au bon déroulement d’une journée qui se veut festive.
Mazamet un Salon qui couronne les talents.
À souligner également qu’un comité de lecture aura la lourde tâche de sélectionner les lauréats retenus pour les différents prix remis à l’occasion sous la présidence de Christophe Chabbert. Une centaine de livres ont été retenus comme « éligibles » et parmi ces titres, le jury aura la lourde tâche de récompenser les plus méritants. Le Président du jury avait proposé en 2017 d’ajouter le « prix jeunesse » qui a pour vocation de porter motivation à des vocations qui s’ignorent encore.
Pour la deuxième année consécutive le Prix de la Critique qui est désignée par des journalistes et chroniqueurs indépendants de Belgique et de France télévisions et radios. En 2018 le Prix de la Critique avait été remporté par l’auteure belge Martine Rolland qui s’est vu remettre une œuvre d’art.
Rire de chanson satirique oui cela m’arrive quelques fois je ne suis pas parfaite.
Le rire des journalistes dans les studios de France Inter sur la chanson satirique de frédérique Fromet ma mise en colère.
En voici la raison: Lisez
« Non je ne chanterai pas Allumer le feu ». Mais alors pardon : l’incendie de Notre-Dame de Paris, c’est quand même du pain béni…. »pourqui? pour lui car malgré moi je participe a la diffusion de sa chanson…
Il est fini le temps d’la cathédrale
Si ça pouvait signifier
Aussi la fin des curés !
Est-ce que ça vaut quasi un deuil national
Sur les radios, les télés
Avec Stéphane Bern pour chialer
Une simple histoire de combustion
Bordel de dieu, on sort les violons
Genre la chute du mur de Berlin
C’est plus la chute de Christine Boutin
Un fait divers certes très très chaud
Qui montre bien que chez les cathos
Il n’y a pas que la pédophilie
Le feu au cul c’est aussi l’incendie
Elle a cramé, la cathédrale
Hélas, rien du côté
De Saint-Nicolas-du-Chardonnet
Voilà Pinault, Arnault, Total, L’Oréal
Alignant les billets
Quand les pauvres peuvent toujours crever
C’est l’abattement pas que pour les soussous
On pleurniche pour un tas de cailloux
Quand un chômeur s’immole par le feu
On n’est pas aussi malheureux
Dans cette hystérie à grande échelle
Il y a quand même une bonne nouvelle
Sur Amazon, Victor Hugo
Détrône Guillaume Musso
Elle a cramé, la cathédrale
Pourquoi Dieu s’il est sympa
A-t-il pu laisser faire ça ?
Laisser chanter Arielle Dombasle
Pourquoi pas durant l’incendie
Elle aurait fait tomber la pluie
Je n’en peux plus d’la cathédrale
🔴 [ URGENT / IMPORTANT : appel à plaintes au CSA ]
👉🏻 « L’incendie de Notre-Dame de Paris, c’est quand même du pain béni » ; « Il est fini le temps d’la cathédrale si ça pouvait signifier aussi la fin des curés ! ».
👉🏻Les catholiques sont aussi amalgamés à la pédophilie : « Un fait divers certes très très chaud qui montre bien que chez les cathos il n’y a pas que la pédophilie le feu au cul c’est aussi l’incendie ».
1- Vous êtes un particulier.
2- Votre saisine concerne un service de radio.
3- France Inter / La Chanson de Frédéric Fromet / 19 avril 2019 / 17h50.
4- La déontologie de l’information et des programmes.
5- Motif : Incitation à la haine contre une religion et ses fidèles, amalgame et discrimination envers une communauté, apologie de l’incendie de Notre-Dame, christianophobie.
Je vous offre ces quelques fleurs de muguet porte bonheur juste pour vous mes ami(es). Qu’elles vous apporte le bonheur tout au long de l’année et que leurs parfums embaume votre journée.
Il est, à coup sûr, peu de plus belles pages architecturales que cette façade où, successivement et à la fois, les trois portails creusés en ogive, le cordon brodé et dentelé des vingt-huit niches royales, l’immense rosace centrale flanquée de ses deux fenêtres latérales comme le prêtre du diacre et du sous-diacre, la haute et frêle galerie d’arcades à trèfle qui porte une lourde plate-forme sur ses fines colonnettes, enfin les deux noires et massives tours avec leurs auvents d’ardoise, parties harmonieuses d’un tout magnifique, superposées en cinq étages gigantesques, se développent à l’œil, en foule et sans trouble, avec leurs innombrables détails de statuaire, de sculpture, et de ciselure, ralliés puissamment à la tranquille grandeur de l’ensemble ; vaste symphonie en pierre, pour ainsi dire ; œuvre colossale d’un homme et d’un peuple, tout ensemble une et complexe comme les Iliades et les romanceros dont elle est sœur ; produit prodigieux de la cotisation de toutes les forces d’une époque, où sur chaque pierre on voit saillir en cent façons la fantaisie de l’ouvrier disciplinée par le génie de l’artiste ; sorte de création humaine, en un mot, puissante et féconde comme la création divine dont elle semble avoir dérobé le double caractère : variété, éternité.
Et ce que nous disons ici de la façade, il faut le dire de l’église entière ; et ce que nous disons de l’église cathédrale de Paris, il faut le dire de toutes les églises de la chrétienté au Moyen Âge. Tout se tient dans cet art venu de lui-même, logique et bien proportionné. Mesurer l’orteil du pied, c’est mesurer le géant. » Bruno Rotaillau
Notre Dame de Paris . Victor Hugo
Natacha Polony
Mille ans d’Histoire disparaissent, et la France est en deuil. Nos larmes collectives nous rappellent qu’une nation, c’est le partage du charnel et du spirituel, de ces pierres, de la mémoire des hommes et des mots des écrivains. Ce soir, nous sommes français dans les larmes.
Il y a toujours un moment où on a envie d’interroger le ciel, de lui demander ce qui nous attend, ce qu’il attend de nous.
Et c’est ce qu’on fait, même si parfois le réponse tarde à venir ou même n’arrive jamais jusqu’a nous.
Et c’est ce qu’on fera encore, pour qu’un jour le vent mumure tout bas ce qu’on espère.
Je crois bien que c’est cela aimer la vraie vie.
Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du temps qui brise mes épaules et me penche vers la terre, il me fallait les mots.
Ils sont des graines, ils ont besoin de la lumière de l’esprit et de la chaleur pour germer. Ils ont le pouvoir de creer un jardin d’abondance au champs de l’endurance. (Roberte Colonel)
La passion est un ouragan. La passion est un ouragan, quelque chose de sublime qui précipite le désastre. (Tahar Ben Jelloun
Nous nous frôlons dans des jeux d’ombrecomme des enfants déraisonnables et douxpassagers d’une nuit sans sommeil qui nous transporte et nous déposentdans des lieux insolitesoù la douceur se répand dans nos cœurs en déroute.
Pris au piège des merveilles de l’éblouissementau confluent de nos rêves, de nos dédales, d’oùparfois surgit plus qu’un éclair qu’un reflet je tends les mains vers toiinconsciente de ce qui a pris le largeil y a plus de mille et une nuits.
Les rôles principaux de notre histoire ont déjà été distribuésmais il m’est permis d’être tienne dans mon livre d’images pour adulte. J’aimerais avoir d’autres vies à écrire dans mes livres que je publie.
L’imaginaire m’offre des pans suavesque je ne peux pas goûter.Un bonheur inemployé me fait tourner à vide. Il m’élèvesoustrait ma patienceme fait crier dans mes nuitsdes noms de la beautéque j’enfouisdans la case rêves de mes nuits de sommeil. (Roberte Colonel 12/04/2019)
Ce n’est pas vrai qu’on oublie les personnes. On les met dans un coin de notre vie qu’on ne regardera plus jamais. On les met dans ce coin, simplement parce qu’on ne retiendra pas l’expérience de cette rencontre.
On n’oublie pas les gens. En fait, on s’en souvient très bien. Et c’est justement parce qu’on n’oublie pas, que certaines personnes restent avec nous et d’autres restent dans ce coin qui est appelé le « passé ».
Rien ne s’oublie et rien ne s’efface, mais il y a une règle qu’il faut respecter en premier, et c’est celle de choisir qui devient » passé « , qui mérite d’être » présent » et qui sera honoré d’appartenir à votre » futur « … Merci à (« À fleurs des Mots… ❤️Black Out Forever)