Malgré la tristesse du moment excellent dimanche de Pâques à tous avec pleins d’amours et de bonheurs! Image Symphonie des Sentiments
Étiquette : amour
Marguerites jolies demoiselles…
Juste pour le sourire pour oublier les mauvais moments à être confiné alors que les jolies marguerites fleurissent dans les près.
Marguerites jolies demoiselles
Ne soyez donc pas cruelles
Derrière votre ombrelle,
Je devine vos ardeurs
Et votre révolte lors que, une à une
Vos pétales vous sont subtilisées
Pour l’émoi d’un je t’aime, un peu, beaucoup,
passionnément pas du tout !
Assez de vos angoisses
Jolies demoiselles.
Personne à la paroisse
Saura mieux que moi
Vous faire entendre l’émoi.
Laissez moi donc l’honneur
De croquer vos je t’aime
L’amour ouvre ses ailes
Derrière votre ombrelle
Aux je t’aime, un peu, beaucoup,
Passionnément, pas du tout.
Roberte Colonel 10/04/2020
Nos mots secrets…
la mer est déchainée,
Quatre saisons je t’aime.
J’ai beau y mettre la volonté
Je perds le fil de mes idées.
Le temps s’écoule
Comment ne pas apprécier
Que derrière nos mots secrets
D’une même écriture
Sont devenus singuliers.
Irréversible revanche d’espoir
Que nos corps enlacés,
Enivrés d’un amour éffréné.
Roberte Colonel le 11/11/2019
Dieu a ramassé une fleur…
Dieu a ramassé une fleur,
Et l’a trempée dans la rosée,
Je me suis offerte
À honorer notre amour amitié
Et dans tous les moments
Où la vie avait toujours
Eu le sens de l’amour
Même ces jours oubliés
Où le soleil perdait
Un a un ses rayons
Quand l’avenir mourait
Bien avant l’horizon,
Je n’ai jamais renoncé
À garder le cap de notre amitié.
À force de t’aimer,
Envers et contre tout
Ces douleurs acceptées
En écartant le doute,
Ne laissant jamais
Matrice de rancœurs.
Mon humour a ce partage,
De mots impulsifs
Que tu n’as pas su accepter
Il est de tes mots égarés
Ça et là, que je ne peux laisser passer.
Ta colère se propage,
Enterrant nos souvenirs
Délaissant le bonheur,
Donnant naissance à cet abîme
Qui se répand sur notre amitié.
Fasse que de nouveaux jours
Nous rendent à la lumière
Qui sait briller si bien à nos cœurs.
(Roberte Colonel) 11/09/2019
Image et titre de la poésie: (Welcome Home)
.
Il est toi et moi…
« Les mots ont un grand pouvoir. »
Je voudrais trouver la terre promise et sentir sur mes joues le souffler du vent.
Aux portes entrouvertes de tant de bonheur, il fait bon me sentir aimer de toi.
Des joies offertes notre vie devient festin lorsque l’envie s’invite, quand l’amour prend la
vague tu me transporte hors des frontières dans un jour un rêvé.
Nous dansons tous les deux enlacés.
Notre amour n’a pas de fin ? Le cœur y est –il pour quelque chose ?
Lentement se tresse au long des jours notre passion.
Toute cette candeur qui emballent notre Cœur
Quand nos lèvres se cherchent, quand le bonheur m’inonde
Au creux de tes bras tout l’amour nous rassemble. Il est toi et moi.
Roberte Colonel 14/ 02 /2019
Sombre ses yeux qui brillent…
Sombre ses yeux qui brillent
dans le matin occulte, antres de mon âme.
Tourterelle, oiseau rêvé qui ne volent pas les nuits,
Roucoule au soleil de mes grasses matinées.
Elle égaie mes Jours de lumière, elle Chasse mes nuages gris.
Au cœur de la nature dés les beaux jours
Elle roucoule, éclaire sans autre raison une journée qui s’allonge.
Elle est éternel dans mes rêves fous, dans mes délires tendres
Dans mon insouciance, elle fait sans le blanc de l’éclair
Un jour réinventé, bonheur absolu, d’amour et de paix.
Roberte Colonel 10/02/2019 Photo : Michel Bordeleau
Les amants de la mer…
L’eau salée sur sa peau brunie,
Les pieds sur le sable velours,
La marée de sa vie se fait haute ;
Passionnément il fait corps avec la mer.
Elle, c’est toute une forêt
Où l’on craint de se perdre dans la pénombre
De ses yeux où semblent s’illuminer
D’innombrables brasiers, d’inexorables tourments.
Peut-être y a t-il entre eux
Trop de différences ;
Peut-être aussi n’a t-il rien vu
Dans ses regards brillants, trop brillants…
Car il rêve d’une fille
Aux cheveux de sable fin et blonds,
Aux yeux bleu-océan,
Comme lui avide d’eau salée et de soleil…
Mais s’il ouvrait les yeux,
S’il ouvrait ses bras et son coeur,
L’amant de la mer comprendrait
Que l’Océan et la Terre
Après tout peuvent s’aimer…
copié collé sur (Blog un mâle ) Un mâle… des mots
L’amour qui occupe tant nos esprits…
L’amour qui occupe tant nos esprits, a fait battre le cœur des poètes, des philosophes et des écrivains…
En prose ou en vers, dans l’intimité d’une correspondance, au cœur d’un roman ou sur une scène de théâtre, le cycle amoureux n’a de cesse de naître, de se cristalliser, de s’épanouir…et parfois de s’évanouir. Des troubadours à Hugo à Musset, de Madame de Lafayette à Laclos et Genêt, de Toltoï à Margueritte Yourcenar, de Cocteau à Neruda, chacun d’entre eux n’ont cessé de nous émerveiller de leurs mots « Amour ».
Grande figure du romantisme autodidacte instinctive Marceline Desbordes-Valmore est considérée par Verlaine comme la seule femme de génie et de talent de son siècle. Elle est née le 20 juin 1786 à Douai (Nord) et morte le 23 juillet 1859 à Paris.
Voici parmi les nombreuses poésies écrites par Marceline Desbordes-Valmore celle qui m’a le plus émue.
Le Serment
Idole de ma vie,
Mon tourment, mon plaisir,
Dis-moi si ton envie
S’accorde à mon désir ?
Comme je t’aime en mes beaux jours,
Je veux t’aimer toujours.
Donne-moi l’espérance ;
Je te l’offre en retour.
Apprends-moi la constance ;
Je t’apprendrai l’amour.
Comme je t’aime en mes beaux jours,
Je veux t’aimer toujours.
Sois d’un cœur qui t’adore
L’unique souvenir ;
Je te promets encore
Ce que j’ai d’avenir.
Comme je t’aime en mes beaux jours,
Je veux t’aimer toujours.
Vers ton âme attirée
Par le plus doux transport,
Sur ta bouche adorée
Laisse-moi dire encor :
Comme je t’aime en mes beaux jours,
Je veux t’aimer toujours.
Comme je t’aime en mes beaux jours,
Je veux t’aimer toujours.
Marceline Desbordes-Valmore
Un printemps doux et plein de fleurs
Ce matin de jolis mots se sont étalés sur mon cœur.
Ils m’annonçaient un printemps doux et plein de fleurs.
Ces mots délicats m’ont fait frémir de bonheur.
Combien faudra t-il laisser venir de printemps
Pour que mille espoirs fabuleux nourrissent
Nos cœurs gonflés et palpitants.
Le vent de ton ombre m’a frôlé,
C’est à la fois peine et plaisir,
Et le ciel c’est embrasé au fond de mes pensées.
L’envie d’entendre ta voix m’a plongé
Dans un abîme fabuleux de désir.
Ce printemps nouveau, souffle de douceur
Et rime ce que dit le vent à un espoir d’amour retrouvé.
Roberte Colonel
Sombre et sans passion…
Mes jours se traînaient taciturne
Sombre et sans passion,
Sans génie, sans inspiration,
Sans vie, sans amour et sans larmes.
Quand devant moi tu apparus,
vision à peine ébauchée
Je ne voyais des traits de ton visage
Que l’image d’un homme triste.
Le vent de février soufflait en rafale
et mon coeur s’est remis a battre.
Grisé de voir réssusciter mes écrits et l’inspiration,
j’en oubliais mon existence maussade
Pour celle d’un bonheur recouvré.
Roberte Colonel
J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité.
Beau texte de la littérature française : Robert Desnos
J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité.
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant
et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix
qui m’est chère ?
J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre, à se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas au contour de ton corps, peut-être.
Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis des jours et des années, je deviendrais une ombre sans doute.
O balances sentimentales.
J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je m’éveille.
Je dors debout, le corps exposé à toutes les apparences de la vie et de l’amour et toi, la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venus.
J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu’il ne me reste plus peut-être, et pourtant, qu’à être fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois que l’ombre qui se promène et se promènera allégrement sur le cadran solaire de ta vie.
Un vrai plaisir que de revisiter de beaux textes de la littérature Française.
C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière
« C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière. »(E Rostand, Cyrano de Bergerac)
Marie contemplait l’immensité mouvante qui déroulait ses anneaux d’argent sous la lune. Tout était calme. Elle regardait le navire qui semblait fendre les flots avec une aisance quasi magique. Elle eut un sourire amer. Depuis longtemps le destin semblait l’avoir condamner à toujours devoir accepter que l’on se moque de ses sentiments. Qu’importait ! Nulle part elle ne trouverait la consolation qu’elle attendait… qui pouvait bien se soucier de ce nouvel échec qu’elle venait une fois encore de subir. Blessée par la force des mots que Paul lui avait déposés, elle l’était dans l’âme…Rien de bien agréable à lire. Aussi ne valait-il mieux ne pas répondre. Elle n’avait pas le gout du scandale bien qu’elle aurait pu le défier ce n’était pas pour lui déplaire. Cependant elle avait aimé cet homme d’un amour passionné cette certitude était douce a son cœur. Elle ne pouvait se résoudre à devenir autre que ce que son cœur lui dictait. L’abandon si cruel fut il, les souvenirs ne sont bon que lorsqu’ils vous aident a vivre.
Elle allait mettre une croix sur ce bonheur là, il le lui avait demandé de le faire certes un peu différemment mais les mots dans ce cas là prennent souvent le même sens…A la perspective d’avoir à le quitter elle en éprouvait un pincement au cœur. Elle était persuadée que le déferlement des mots qu’il employait depuis quelques temps dans ses écrits ce fut lui qu’il les écrivit.
Ce matin là, par une petite route ombragée entre cours d’eau et mer qu’elles que fleurs éclosaient. Le soleil du matin buvait la rosée à même leurs corolles. Les oiseaux chantaient pour répondre au murmure de l’eau qui glissait doucement rejoindre la mer. En cette belle matinée ensoleillée une telle paix se dégageait de l’ensemble qu’on avait peine à le croire fragile. Et pourtant … une déferlante de mots sont venus l’assombrir.
Marie marcha longtemps les yeux mouillés de larmes jus qu’au port ou ils s’étaient assis si proche en ces instants que la perspective de le quitter un jour ne lui serait pas venu a l’esprit. Cependant déjà, elle s’interrogeait bien un peu sur les sentiments qu’elle lui inspirait ? Ce jour là il n’y avait fait aucune allusion.
Ils avaient vu passé bien souvent des orages, des vents mauvais, et chaque fois que le calme revenait il ne donnait que plus de puissance à leur amour. Elle se disait qu’il n’était pas interdit de rêver à un avenir ou ils seraient enfin réunis pour vivre leur amour au grand jour.
Elle finit par comprendre que rien ne se ferait dans les conditions actuelles. Cette fois ci il l’avait humiliée, blessée. Elle paraissait avoir perdu l’envie de se battre pour conserver l’amour de cet homme. A quoi bon s’interroger sans cesse ? Cet abandon la laisse démunie, cependant, pas anéantie.
A cet instant Marie préfère se dire que quoi qu’il arrive elle pourvoira le moment venu à ce que lui réserve son destin. Texte Roberte Colonel 7/07/2017
Il faut avoir aimé si fort…
Il faut avoir aimé si fort pour comprendre que de si loin l’amour perdure.
Après les larmes dans mes yeux
Il faut que tu comprennes que je t’aime.
Qu’après toi il n’y aurait plus d’après.
Que Sans toi je n’existerais plus.
Les jours passe. Tu es toujours là si fort en moi.
Je t’aime de la passion jusqu’au délire.
Je prie le Dieu de l’amour
Qu’il me fasse t’aimer toujours.
Je rêve des mots que tu me dis,
Je rêve à la douceur de nos nuits
A ces moments où il fait si chaud sur nos corps.
Lorsque je regarde passer ma vie si loin de toi,
J’ai le mal de toi. Je t’attends.
Je n’aurais dans ma vie nul autre que toi .
Et, si l’amour entre nous existe
Attends-moi pour que m’a vie ne s’arrête pas là.
Laissons les ombres du passés derrières nous
Et vivons au grand jour cet amour pour toujours.
Roberte Colonel 11/06/2017
Une brume de bonheur après l’orage…
Un très grand amour, ce sont deux rêves qui se rencontrent et, complices, échappent jus- qu’au bout à la réalité. (Romain Gary)
Pour franchir le vide qu’ouvre la feuille blanche sur la table, le nuage passe, se glisse dans les mots que je lui prête. L’ombre d’un instant glisse sur ma feuille. Pendant des heures je regarde le ciel et les nuages me tiennent lieu de pensées.
Faut-il se résoudre à laisser aller notre destinée vers des chimères qui ne nous conduisent que dans la douleur.
Il n’est plus aucune heure sur ton visage qui ne me souvient. Des bonheurs débusqués lorsque la vie espère des lendemains chantant, quand l’amour prend la vague du ressentiment à rebours, la vie devient un festin au repas du destin qui met le mal en fuite. Une brume de bonheur après l’orage pour ne pas oublier que c’était hier que nous nous sommes aimés. (Roberte Colonel 31/5/2017)
Mon Amour…
Mon Amour
Le ciel ce soir se mire sur la mer irisée
Et mes pensées s’envolent au loin te retrouver.
Tout s’illumine lorsque de nos mots échangés
Au cœur de notre passion nous sommes amoureux.
Toute cette candeur qui doucement se tresse
Au long de nos heures bonheurs
Le clavier pianote des mots douceurs.
Nous inventons des histoires que nous mettons en scène
Et nous rions de nos bons mots sans aucune gène.
Nous somme amoureux toi et moi du soleil, des étoiles.
Le soir venu nous n’avons plus peur de nos émotions
Qui parfois emballe nos cœurs et donne des frissons.
Jour après jour nous construisons notre vie sans heurt
Avec la révélation trait d’union de notre amour passion.
Roberte Colonel le 05/O4/2017
L’amour et le printemps…
L’amour et le printemps
Baiser de printemps
Porté par un doux vent
Déposé sur les lèvres rosées
Dégustés avec volupté
Baisers de printemps
Soleil rieur d’un beau temps
Arc-en-ciel de joie dans les yeux
Etincelle de bonheur échangé à deux.
(Sourire 2011)
Cette œuvre qui célèbre l’amour et le printemps est créée durant la longue période de travail de Rodin (une trentaine d’années) autour de la porte de l’enfer
Variante de l’œuvre le baiser des années 1890 , elle est probablement inspirée de la relation passionnelle qui débute en 1890 Pour une dizaine d’années, entre Auguste Rodin et son élève Camille Claudelle.
Exposée au Salon des artistes français de 1898, l’œuvre connait un important succès et est dupliquée en de nombreux exemplaires en Bronze en quatre dimensions différentes, ainsi que six exemplaires en marbre .
La figure féminine de l’œuvre est une reprise de l’œuvre le torse d’Adèle de 1882 inspiré d’Adèle Abruzzesi, un des modèles favoris de Rodin.
Amour tu me dis…
Amour, tu me dis :
Laisse-toi aimer,
Laisse-toi aller,
Je prends ton cœur dans mes mains
Et je t’emmène pour oublier
Laissent tes chagrins de coté.
Je t’écoute te raconter
Une phrase inexpliquée
Des paroles démesurées
Ta peine est effacée.
Tout gommer, tout recommencer,
Viens, viens tout près,
Donne-moi la main,
Fermons notre cœur au passé
Partons touts les deux
Notre route est tracée
Vers des demain à réinventer.
Poésie Roberte Colonel le 28/3/2017
Peinture Trish Biddle
Adieux tristesse…
Adieu Tristesse
Bonjour tristesse
Tu es inscrite dans les lignes du plafond
Tu es inscrite dans les yeux que j’aime
Tu n’es pas tout a fait la misère
Car les lèvres les plus pauvres te dénoncent
Par un sourire
Bonjour tristesse
Amour des corps aimables
Puissance de l’amour
Dont l’amabilité surgit
Comme un monstre sans corps
Tête désappointée
Tristesse beau visage.
Paul Eluard. (la vie immédiate.)
Ne voyez aucune tristesse en moi tout va bien.
J’ai plaisir en ce moment à redécouvrir l’oeuvre de Françoise Sagan « Bonjour Tristesse » est celui qui m’a le plus marqué .
Sur les ailes du Temps la tristesse s’envole ; « le Temps ramène les plaisirs
, écrivait Jean de La fontaine dans sa fable La jeune veuve publiée en 1668. »
Chacun de nous, dans son existence, connaîtra ses heures heureuses suivies par des heures de tristesse : Telle est la vie pour tout le monde !
Il est un proverbe chinois qui dit : Les jours de tristesse sont longs, les jours de joie sont bien courts.
Gardez le moral, et positivez !
Moi, les mots, j’aime bien…
Moi, les mots, j’aime bien. J’aime bien les phrases longues,
Les soupirs qui s’éternisent.
J’aime bien quand les mots cachent parfois ce qu’ils disent ;
Ou le disent d’une manière nouvelle.
A demi mots je les marie, Je les faits s’aimer
Ou se détester comme cela me plait.
Ce qui m’importe c’est ce qu’ils traduisent :
Le respect, la douceur, le bonheur de vivre.
Mes mots s’accrochent à loisir.
Ils se lisent entre eux pour le plaisir.
Ils sont rythmés par mes humeurs.
Mes mots peuvent être gais. Ils font sourire où bien pleurer.
Le plus souvent ils s’étirent à l’envie.
Ils sont poèmes pour faire plaisir
a celui, où celle, qui viendra les lires.
Roberte Colonel
Sur une idée de citation : bloghttp://chamade1000.unblog.fr/
Combien de mots recommencés…
Combien de mots recommencés,
Combien d’images copiées-collées,
Sont gravées dans ma mémoire.
Combien t’en ai-je envoyée
A toi, le poète qui sait,
Tu disais que l’amour prenait sa source
Au fond des mots que je t’écrivais.
Poète, tu sais si bien dissimuler tes sentiments
Sous les affres lumineuses des étoiles
Dans la nuit tu graves
ton image à leurs firmaments.
Tu aimes la vie à contretemps.
Tu rimes tes je t’aime,
A tes jolis mots choisit qui font rêver.
Tu les minimises au fil de ta vie.
Tu fermes les portes étroites de ton coeur
Pour mieux les ouvrirent au pouvoir du bonheur.
Roberte Colonel