Pardonne-moi, amie,
Si je suis trop « gavroche »
Si je ris à la vie
Ne m’en fait pas reproche ;
Si j’affiche souvent
Cette fausse assurance
Qui sert de paravent
A ma grande ignorance
Tu as vraiment,
Pour moi la patience.
Ô, je te remercie de l’indulgence
Dans l’art d’être mon amie
Quand tu parles de ta vie,
Je vois tes yeux s’animer
Tu es sans précédente
Et soudain je t’envie.
Lorsque gentiment
Tu dis que pour moi
Il ne me faut pas pleuré,
que le soleil reviendra,
Il y a dans ton regard
Cette belle noblesse
Que dans l’mien, on ne peut voir
A cause du chagrin qui m’étreint .
Merci pour le bonheur
Que tu mets dans ma vie
Merci de tout mon cœur,
D’être Sylvie, mon amie.
21/01/ 2019