Mon amie….

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Pardonne-moi, amie,

Si je suis trop « gavroche »

Si je ris à la vie

Ne m’en fait pas reproche ;

 

Si j’affiche souvent

Cette fausse assurance

Qui sert de paravent

A ma grande ignorance

 

Tu as vraiment,

Pour moi la patience.

Ô, je te remercie de l’indulgence

Dans l’art d’être mon amie

 

Quand tu parles de ta vie,

Je vois tes yeux s’animer

Tu es sans précédente

Et soudain je t’envie.

 

Lorsque gentiment

Tu dis que pour moi

Il ne me faut pas pleuré, 

que le soleil reviendra,

 

Il y a dans ton regard

Cette belle noblesse

Que dans l’mien, on ne peut voir

A cause du chagrin qui m’étreint .

 

Merci pour le bonheur

Que tu mets dans ma vie

Merci de tout mon cœur,

D’être Sylvie, mon amie.

21/01/ 2019

Dans la main d’un, d’une amie…

Partager l’amitié, aide à chasser la tritesse, apporte un baume sur les âmes en détresse. Même si elle n’est que virtuelle elle n’est pas moins réelle.

L’amitié est un trésor qui prend de la valeur avec le temps. C’est ce dire que quelque part un ami, une amie est là prête a répondre à vos urgences lorsque votre détresse ce fait trop  lancinante.

Un ami, une amie c’est tout celà, et bien plus encore ! … il y aura toujours un oiseau qui chantera pour nous, un enfant qui nous sourira, et un papillon qui nous fera cadeau de sa beauté.

– Mais si un jour tu vois que je ne marche pas, que je ne souris pas ou que je me tais alors approche toi de moi et donne moi un baiser, tiens moi dans tes bras, et offre moi un sourire, seulement un geste de ta part me fera retourner à mon chemin. Ne l’oublie Jamais… 

Billet paru en Janvier 2011 et retravailler aujourd’hui.

Mes Souvenir de 1er Mai  

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Que les années filent, filent vites.  alors que je n’étais qu’une adolescente je me souviens de certain  dimanche de premier Mai où  avec mes amis (es) nous allions dans la forêt cueillir le muguet . Nous étions une joyeuse bande d’étudiants, chacun ayant sa chacune. Une véritable fête que cette cueillette du muguet! J’étais protégée par deux garçons de bonne famille cela va s’en dire. Ils étaient charmants et pour me plaire chacun à son tour m’accompagnait sur les sentiers forestiers.  Nous étions tous amoureux et il fallait nous entendre chanter et danser sur le tapis de mousse que nous offrait le sous bois.  La chanson « scoubidou-hou! était notre préférée. Sacha Distel à l’époque était très à la mode. Au loin  l’écho renvoyait nos rires et nos voix plus où moins éraillées. C’était merveilleux ! Après la cueillette nos ventres criaient  famine. Le moment était venu de festoyer et pour cela  nous mettions en commun nos paniers-repas. Nous échafaudions des projets et chacun avaient sa propre idée sur ce qu’il ferait de son avenir. Peut de mes amis de l’époque  que j’ai rencontré depuis on vu leurs projets se réaliser, mais qu’importe c’était notre jeunesse, nos plus belles années. On ne parlait pas encore de chaumage, cela ce passait bien après guerre, et certains d’entres nous avez eu à souffrir de la perte d’un parent, d’un frère où d’un ami. Quand j’y repense je me demande comment j’avais pu me faire accepté par cette bande de gais lurons tous bien nés. J’étais en décalage complet avec eux et cependant, bien qu’étant  la plus jeune, je n’étais pas la moins aimée. Aujourd’hui j’éprouve un peu de nostalgie en pensant à toutes ces amitiés,  ces années bonheur  laissées derrière moi. Depuis, le muguet n’a plus tout à fait le même parfum. Trop d’événements douloureux ont affectés certains de mes amis(es) depuis cette époque pleine d’insouciance. (Roberte Colonel) image:www.maplumefeedansparis.com/

 

@. wordpress.com….

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Il n’y a rien de plus inutile que ces amitiés héroïques qui demandent des circonstances pour se prouver. Je ne veux avoir ni amour, ni haine, ni pitié, ni colère. Quant à la sympathie, c’est différent : jamais on n’en a assez. (Gustave Flaubert)

Internet n’est par définition : ni cruel, ni bien veillant, ni égoïste. Tout dépend de ce que nous en faisons, des sites que nous suivons, des blogs auxquels nous sommes abonnés.

Le Web suscite chez chacun d’entre nous des comportements spécifiques, et nous créons des liens par affinités… Devant notre écran nous n’y voyons que ce que nous y mettons.

En bloguant nous donnons un sens à notre vie, à notre histoire. Cependant il arrive que par un malentendu nous remettons en cause l’autre, celui que nous considérons comme l’ami (es). Apparaissent alors des échanges de part et d’autre d’agressivité, voir de la méchanceté. Nous ne sommes pas dans la vraie vie et nous oublions que parfois derrière l’écran ce tiens une personne avec sa vulnérabilité, sa susceptibilité, sa demande de reconnaissance. Il arrive que nous blessons notre interlocuteur ami, nous voulons réparer «  je me suis mal exprimée, ce n’est pas ce que je voulais dire. »

De même qu’il est impossible d’attraper le vent dans un champs on ne peut rattraper une parole lâchée. (Constantin Mourousy)

Convaincue que plus jamais vous n’échangerai vos mots avec cette personne, il vous reste l’espoir qu’elle vous lise.

carrie-1Je suis blogueuse depuis de nombreuses années. Sur le web lorsqu’une personne m’agace il me suffit de la bloquer. Ceux et celles qui on choisi de rester sur mes mots douceurs  sont devenues tout au long de mon parcours des ami (es). Pour quelles que personnes nous avons oublié le mot virtuel. Nous sommes bien ensemble, et nous n’hésitons pas à utilisé le téléphone et les mails pour nos confidences plus personnelles.

« Concevez l’amitié comme bon vous semble, avec votre sensibilité et votre sincérité. » (Roberte Colonel)

J’ai écrit ce texte en me référent à quelques passages des écrits  de Cécile Guéret  » Internet est-il gentil » conçu pour la journée de la gentillesse. 

 

 

Les vrais amis…

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Les amis, le temps passe.

La vie s’envole.

Les distances nous éloignent

Les enfants grandissent

Le travail va et vient.

La passion diminue

La famille n’est jamais ce

Qu’on aimerait qu’elle soit.

Le cœur se brise.

Les parents meurent.

Les collègues oublient les services rendus,

Les carrières professionnelles arrivent à leurs fins.

 

Mais les amis sont là,

et peu

Importe si le temps a passé,

Peut importe la distance.

Un (e) ami(e) n’est jamais loin

Pour te venir en aide

Quand tu en as besoin.

Quand tu devras traverser une vallée

En solitaire et que tu devras le faire seul

Les amis de ta vie, seront tous autour de toi,

Devant toi, poussant les bras ouverts au bout du chemin.

Quelque fois ils briseront les règles et chemineront à tes côtés.

Avoir des amis est un cadeau de la vie !

Le monde serait bien différent

                Sans les amis.

Quand nous avons commencé cette

Aventure sur terre, nous n’avions pas su non plus

Que nous aurions besoin les uns des autres

Pour nous soutenir.

Et pas un jour passe sans que nous ayons besoin  les uns des autres.  

(texte recopié sur un pps d’auteur inconnu)