Voici Le Printemps…

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La nature comme l’homme se pare de beauté avec bon humeur.

Voici donc le printemps joli, et si plein de bonheur

Il semble que tout rit et que les arbres fleuris

Sont heureux et se racontent des histoires.

On dit que le printemps les amours renaissent

Couronné d’une aube fraiche pleine de tendresse.

Quand vient la nuit le long du canal endormis, se retrouve

les amoureux sur le banc pour chanter une prière bénite

 Spéciale pour les amoureux, quelque chose

D’heureux chanter à l’infini.

(Roberte Colonel) 20/03/2019

Quand la nostalgie nous mort le coeur

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Quand la nostalgie nous mort le cœur c’est que le souvenir est encore plein d’espoir. (Jacques Salomé)

Elle dit que si toute fois ce doux billet

était recouvert par l’écume de ses larmes

Elle griffonnerait ces silences, et ses mots,

Un alphabet pour renouer avec l’écriture.

Elle terminerait sur des sourires ourlés d’espoirs.

A l’heure ou sa pensée apprivoise son cœur

Sur des mots désertés, des vœux, un instant de bonheur,

Une heure, un je t’aime coulant dans le vent chaud

Sur le clapotis doux de la mer bleue

Elle dit que si que si toute fois ce doux billet était recouvert

Par l’écume de ses larmes brisant ses insomnies

dans la lumière cristalline

Du rêve qui se moque de la nuit.

Roberte Colonel

Plus rien n’a d’importance…

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Plus rien n’a d’importance

Dans le royaume de mes songes.

J’avais juré de garder les yeux ouverts

Effacé les torpeurs de mes nuits.

Il n’’exite plus que des souvenirs,

Des lambeaux de mots flétris.

Oublier le soleil qui réchauffait ma peau,

Oublier l’ombre de nos silhouettes.

Sans un bruit on trépasse,

Le temps fuit, les jours se font moins longs

Laissant dans le gris du vide

L’hiver qui s’annonce.

Je me consume, le temps s’efface

Dans le labyrinthe des glaces

J’écoute ce que disent les vents.

Je tisse des mots au fond de mon encrier.

Roberte Colonel

Toile prise surle Net

 

Voyage dans tes rêves…

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« Voyage et ne le dis à personne
Vis une vraie histoire d’amour
et ne le dis à personne
Vis heureux
et ne le dis à personne…
Les gens ruinent les belles choses »
Khalil Gibran

altes Buch mit Tusche und Feder

Voyage dans tes rêves,

Dans tes nuits parsemées d’étoiles

Retrouve-moi sous la voûte du ciel étoilé.

Tu ne me vois pas cependant je suis là, si près

Voyage mon aimé par cette belle nuit d’été

Ou nos pensées succombent épuisées

À la source de l’espoir retrouvé.

Roberte Colonel 18/07/2017

 

C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière

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« C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière. »(E  Rostand, Cyrano de Bergerac)

Marie contemplait l’immensité mouvante qui déroulait ses anneaux d’argent sous la lune. Tout était calme. Elle regardait le navire qui semblait fendre les flots avec une aisance quasi magique. Elle eut un sourire amer. Depuis longtemps le destin semblait l’avoir condamner à toujours devoir accepter que l’on se moque de ses sentiments. Qu’importait ! Nulle part elle ne trouverait la consolation qu’elle attendait… qui pouvait bien se soucier de ce nouvel échec qu’elle venait une fois encore de subir. Blessée par la force des mots que Paul lui avait déposés, elle l’était dans l’âme…Rien de bien agréable à lire. Aussi ne valait-il mieux ne pas répondre. Elle n’avait pas le gout du scandale bien qu’elle aurait pu le défier ce n’était pas pour lui déplaire. Cependant elle avait aimé cet homme d’un amour passionné cette certitude était douce a son cœur. Elle ne pouvait se résoudre à devenir autre que ce que son cœur lui dictait. L’abandon si cruel fut il, les souvenirs ne sont bon que lorsqu’ils vous aident a vivre.

Elle allait mettre une croix sur ce bonheur là, il le lui avait demandé de le faire certes un peu différemment mais les mots dans ce cas là prennent souvent le même sens…A la perspective d’avoir à le quitter elle en éprouvait un pincement au cœur. Elle était persuadée que le déferlement des mots qu’il employait depuis quelques temps dans ses écrits ce fut lui qu’il les écrivit.

Ce matin là, par une petite route ombragée entre cours d’eau et mer qu’elles que fleurs éclosaient. Le soleil du matin buvait la rosée à même leurs corolles. Les oiseaux chantaient pour répondre au murmure de l’eau qui glissait doucement rejoindre la mer. En cette belle matinée ensoleillée une telle paix se dégageait de l’ensemble qu’on avait peine à le croire fragile. Et pourtant … une déferlante de mots sont venus l’assombrir.

Marie marcha longtemps les yeux mouillés de larmes jus qu’au port ou ils s’étaient assis si proche en ces instants que la perspective de le quitter un jour ne lui serait pas venu a l’esprit. Cependant déjà, elle s’interrogeait bien un peu sur les sentiments qu’elle lui inspirait ? Ce jour là il n’y avait fait aucune allusion.

Ils avaient vu passé bien souvent des orages, des vents mauvais, et chaque fois que le calme revenait il ne donnait que plus de puissance à leur amour. Elle se disait qu’il n’était pas interdit de rêver à un avenir ou ils seraient enfin réunis pour vivre leur amour au grand jour.

Elle finit par comprendre que rien ne se ferait dans les conditions actuelles. Cette fois ci il l’avait humiliée, blessée. Elle paraissait avoir perdu l’envie de se battre pour conserver l’amour de cet homme. A quoi bon s’interroger sans cesse ?  Cet abandon la laisse démunie, cependant, pas anéantie.

A cet instant Marie préfère se dire que quoi qu’il arrive elle pourvoira le moment venu à ce que lui réserve son destin.  Texte Roberte Colonel 7/07/2017

Tu es le soleil de ma vie

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Tu es le soleil de ma vie

Qui me fait croire en des jours meilleurs.

Dans tes puissants rayons, qui raniment mes sens

Enveloppé de calme, et d’ombre, et de silence

Mon âme, de plus près, adore ta présence ;

D’un jour intérieur je me sens éclairer.

Qui me dit d’espérer a chaque instant de la journée

Je te vois en tous lieux et j’entends ta voix

Tu es le Soleil qui inonde mon cœur

De tes mots tu me couvre de bonheur

 M’inonde de chaleur, de vie et lumière

Qui ranime mes sens, c’est ton souffle que je sens

Je te cherche partout, j’aspire à toi, je t’aime 

Quand la nuit, guidant son cortège d’étoile, tu viens me retrouver

Alors mon âme est un rayon de lumière et d’amour

De désirs dévorants loin de toi consumé

Brûle de remonter à sa source enflammée

Je respire et je sens, je pense, j’aime en toi

Là, quand l’aube, agitant son voile dans les airs

Entrouvre l’horizon qu’un jour naissant colore,

Je veux croire pour nous en des jours de bonheur.

Roberte Colonel 

 

 

 

 

 

Toi le poète…

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Si l’âme, souvent enferme ses émotions la poésie sait ouvrir leurs prisons. R.C
Ces quelques lignes pour Charef  mon ami de blog.  La sortie de son  premier recueil de poésie 
« Zoulika »
« La soeur que je n’ai pas eu »  édition Edilivre  parait  aujourd’hui. 
Et c’est ainsi que le poète trace ses lignes dans le silence de la nuit.. Il ne voit pas le temps passer. Même si tous les quinze minutes, l’horloge lui rappelle que la nuit avance. Même si le silence est de plus en plus profond. Il ne voit que les mots qu’il écrit avec avidité comme si sa vie en dépendait, comme si ni le temps ni la raison n’avaient plus cours. Et les mots se bousculent. Et les mots le troublent. Et il continue, parce qu’il ne sait pas comment abandonner sa page il y a des heures qu’il écrit. Parce qu’il ne sera rassasié que quand il aura écrit le dernier vers de sa poésie. Et encore, ce n’est pas sûr. Il restera peut-être un doute. Parce que certains vers ont une fin ouverte qui laissent entendre ce que chaque lecteur veut bien lire. Roberte Colonel

Est-ce le bleu qui rend visible l’invisible?

Résultat de recherche d'images pour "Est-ce le bleu, Qui rend visible l’invisible?"Est-ce le bleu,
Qui rend visible l’invisible?
Est-ce
Une mélancolie
Incompressible
Entre jour et nuit
Où le rouge fuit?
Est-ce
La terre noire
D’oublis et d’ancêtres
Qu’une mousse verte
Recouvre de silence?
Est-ce Le récit d’un monde Perdu
Ou le rêve de naître
De l’azur?
Jean Royer, Au seuil de l’inespérableCe
 Blog en Pause pour 2 semaines de vacances 
A bientôt de vous retrouver .
fontaine

Le ballets des fleurs…

elsa

Les heures sont des fleurs l’une après l’autre écloses
Dans l’éternel hymen de la nuit et du jour;
Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses
Et ne les donner qu’à l’amour.

Ainsi que de l’éclair, rien ne reste de l’heure,
Qu’au néant destructeur le temps vient de donner;
Dans son rapide vol embrassez la meilleure,
Toujours celle qui va sonner.

Et retenez-la bien au gré de votre envie,
Comme le seul instant que votre âme rêva;
Comme si le bonheur de la plus longue vie
Était dans l’heure qui s’en va.

Vous trouverez toujours, depuis l’heure première
Jusqu’à l’heure de nuit qui parle douze fois,
Les vignes, sur les monts, inondés de lumière,
Les myrtes à l’ombre des bois.

Aimez, buvez, le reste est plein de choses vaines;
Le vin, ce sang nouveau, sur la lèvre versé,
Rajeunit l’autre sang qui vieillit dans vos veines
Et donne l’oubli du passé.

Que l’heure de l’amour d’une autre soit suivie,
Savourez le regard qui vient de la beauté;
Être seul, c’est la mort ! Être deux, c’est la vie !
L’amour c’est l’immortalité !

 Poésie Gérard de Nerval

(blog éternels éclaires http://www.éternel-éclaires.fr/ poèmes-nerval.php

information wikipedia.org/wiki/gerard_ de_nerval

Gérard de Nerval, pseudonyme de Gérard Labrunie, est un écrivain et un poète français, né le22 mai 1808 à Paris, ville où il est mort le 26 janvier 1855. Il est essentiellement connu pour ses poèmes et ses nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du feu, recueil de nouvelles (la plus célèbre étant Sylvie) et de sonnets (Les Chimères) publié en 1855.

1 Biographie

1.1 Jeunesse de Gérard de Nerval

1.2 Premiers pas vers le succès

1.3 Premières folies, premières expériences

1.4 L’écrivain

2 Gérard de Nerval vu par Apollinaire

3 Œuvres

3.1 Poésie

3.3 Romans

3.4 Théâtre

 

3.6 Pamphlet

4 Notes et références

4.1 Notes

4.2 Références

5 Voir aussi

5.1 Bibliographie

5.1.1 Œuvres en rapport avec Nerval

5.2 Liens externes