J’ai parfois en moi cette envie de partir lire devant la mer qui se déchaîne, pour évacuer ce trop plein en moi dans cette eau qui bouillonne, en jetant page après page ce manuscrit écrit et que personne ne lira jamais.
Mais je sais fort bien que noyer quelques feuilles de papier ne taira en rien le tumulte qui s’agite en moi, ne me rendra pas raisonnable, n’effacera rien de mes rêves parfois trop grands ni de mes élans amoureux.
Et si la mer m’appelle, ce n’est peut-être pas pour autre chose que parce qu’il me manque et non pas pour ces quelques feuilles qu’il vaut peut-être mieux déchiqueter ou brûler. Geste que je n’ose pas faire. La mer me donnerait-elle ce courage qui me manque? Roberte Colonel 27/08/ 2O17
Coucou
Ravie que tu sois de retour, je suis très contente de te lire
Ca donne encore plus qu’envie de partir à la mer, pour me détendre et être loin de ces bruits de la ville
Passe une très belle fin de semaine
Bisous
Bonjour Anita ton commentaire c’est mon rayon de soleil ce matin.
Ce pourquoi tu ne me lisais plus c’est que j’ai du faire un voyage douloureux ce ne fut pas facile de l’entreprendre mais j’y ais été contrainte… Dans quelques jours ce ne sera plus qu’un mauvais rêve qui se termine sous haute surveillance. Je m’en expliquerais prochainement dans un billet.
Passe toi aussi une très belle journée
Bisous
Bonjour Marieliane, je ne saurais te conseiller, la mer ou brûler ces pages? pour moi tes écrits tu dois les garder, tes mots sont si beaux, ils disent tant de choses, même des choses qui se cachent derrière eux. Bisous et bonne fin de journée MTH
Bonsoir Marie.
Merci pour ton commentaire si chaleureux. J’espère que de ma part bien d’autres mots douceurs s’ajouterons encore longtemps a ceux ci.
Je te souhaite une très bonne nuit
Bisous.
Bel écrit Roberte
Bon week-end bisous 🙂
Bonsoir Gyslaine
Les mots me sont venus en relisant certains de mes écrits datant de plusieurs années. Le pourquoi de ce brin de nostalgie.
Bon week-end à toi aussi
Bisous