La passion est un ouragan…

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La passion est un ouragan. La passion est un ouragan, quelque chose de sublime qui précipite le désastre. (Tahar Ben Jelloun

Nous nous frôlons dans des jeux d’ombre comme des enfants déraisonnables et doux passagers d’une nuit sans sommeil qui nous transporte et nous déposent dans des lieux insolites où la douceur se répand dans nos cœurs en déroute.

Pris au piège des merveilles de l’éblouissement au confluent de nos rêves, de nos dédales, d’où parfois surgit plus qu’un éclair qu’un reflet je tends les mains vers toi inconsciente de ce qui a pris le large il y a plus de mille et une nuits.

Les rôles principaux de notre histoire
ont déjà été distribués mais il m’est permis d’être tienne dans mon livre d’images pour adulte.
J’aimerais avoir d’autres vies à écrire dans mes livres que je publie.

L’imaginaire m’offre des pans suaves que je ne peux pas goûter. Un bonheur inemployé me fait tourner à vide.
Il m’élève soustrait ma patience me fait crier dans mes nuits des noms de la beauté que j’enfouis dans la case rêves de mes nuits de sommeil. (Roberte Colonel 12/04/2019)

 

 

Ce n’est pas vrai qu’on oublie les personnes

 

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Ce n’est pas vrai qu’on oublie les personnes. 
On les met dans un coin de notre vie qu’on ne regardera plus jamais. On les met dans ce coin, simplement parce qu’on ne retiendra pas l’expérience de cette rencontre.

On n’oublie pas les gens. En fait, on s’en souvient très bien. Et c’est justement parce qu’on n’oublie pas, que certaines personnes restent avec nous et d’autres restent dans ce coin qui est appelé le « passé ».

Rien ne s’oublie et rien ne s’efface, mais il y a une règle qu’il faut respecter en premier, et c’est celle de choisir qui devient  » passé « , qui mérite d’être  » présent  » et qui sera honoré d’appartenir à votre  » futur « …
 Merci à (« À fleurs des Mots… ❤️Black Out Forever)

Sophie, La clé du Bonheur — Ggo – Diaporamas

Sophie, La clé du Bonheur Veuillez cliquer >> ICI

via Sophie, La clé du Bonheur — Ggo – Diaporamas

Un livre particulièrement original qui se déroule en grande partie dans la région de Valras-Plage, Sérignan et Béziers.

C’est lors d’un matin brumeux sur la plage de Valras-Plage que l’auteur, Roberte Colonel, croise un homme qui marche devant elle. Il semble porter une charge de souffrance sur ses épaules. L’écrivaine se dit qu’elle se devait de partager cette rencontre qui la bouleverse avec ses amies bloggueuses. Son imaginaire aidant, elle ne tarda pas à créer de toute pièce un billet pour son blog. Son écrit rencontre chez ses amies un vif succès. Elles l’encouragent à écrire une histoire romanesque autour de ce personnage de rencontre.
Elle confie l’histoire à son ami et coauteur Charef Berkani qui saisit cette opportunité pour écrire avec elle un roman, une nouvelle histoire à quatre mains.
Sophie, la clé du bonheur, pour quatre hommes aux destins contradictoires en quête de leur devenir.
Thibault qui incarne le parfait amour en totale harmonie avec son âme sensible.
Guillaume, le latino-américain, aux mutations douteuses, prédateur des opportunités occultes, dans le seul objectif d’assouvir sa passion pour le jeu.

L’éditeur, imbu de sa personne, usant de passe-droits pour satisfaire les promotions canapés.

Paul un écrivain qui reconstitue le puzzle de sa vie ressemblant étrangement à celui de Sophie.
Truffé de surprises où l’amour s’invite comme solution aux situations étriquées, ce livre est une saga trépidante.
Dans cette fiction imaginaire la réalité dépasserait-elle la fiction elle même ?
C’est ce que le lecteur découvrira dans ce roman qui initie les deux auteurs à l’écriture d’un semi policier, riche en prose poétique très romancée. Un agréable moment de lecture. Un livre qui devrait plaire à tous ceux et celles qui ont aimé déjà les personnages créés par les deux auteurs dans leurs livres :  » Passion Sur Internet » et  » Équinoxe ».
A la suite de l’édition de ces deux derniers livres, Roberte Colonel et Charef Berkani poursuivent leur écriture à quatre mains pour ce nouveau roman.
Une fiction écrite avec la collaboration de mon coauteur, écrivain et homme de théâtre. Charef Berkani est natif de Mostaganem, ville côtière de l’ouest algérien.

A ce jour 10861 personnes sont passées lire l’article de lHérault Tribune.

L’âge ne nous protège pas de l’amour…

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L’âge ne nous protège pas de l’amour, mais l’amour jusqu’à un certain degré nous protège de l’âge. (Anaïs Nin) Photo Google

Nina n’était pas préparée à cela. Aux mots d’amour. Aux souvenirs qui ont jailli qu’elles croyait oubliés, alors qu’en elle tout était toujours aussi vif, le désir qu’elle avait tu, les gestes qu’elle n’avait pas osés.
Elle n’était pas prête à défier les regards des uns et des autres.
Pourtant. Ceux qui les avaient croisés ensemble n’avaient vu qu’un couple rayonnant, malgré leurs âges avéré dépassant la soixantaine. Ils étaient heureux.
Sans penser une seconde qu’ils n’avaient jamais franchi la frontière ténue qui sépare parfois l’amitié de l’amour.

Leur cœur qui bat trop vite.
Les mots qui ne suffisent plus.
Et la voix qui parle d’elle, qui parle d’eux.

Comme elle, il, souhaite leur histoire éternelle. Et si malgré leur certitude de s’aimer longtemps encore, leur histoire prenait fin, elle à penser que, si un jour elle devait être de ceux qui décident d’en finir, il fallait qu’elle le fasse un matin de janvier où bien en février. En  ces mois, le temps est parfois si triste, que cela lui servirait d’excuse. Elle dit que cela lui donnerait même bonne conscience. C’est dingue ce que la tête peut vous offrir de pensées idiotes lorsque les matins sont gris et que vous n’avez pas vraiment de raisons d’atteindre le printemps. Parce qu’à l’intérieur de vous il y a comme une voix qui vous murmure qu’il n’y aura jamais de printemps. Où alors que cette saison ne vous apportera rien de plus.

Perdu dans ses pensées, Nina ne sait pas aperçu que le temps était si gris. Laisser le froid dehors. Ne pas aller vérifier s’il est cinglant, si l’humidité traverse le manteau le plus chaud.
Savourer une tasse de café. Longuement. Déplier les notes accumulées depuis des jours, éparpiller les livres autour de soi. Hésiter sur le choix de la chanson à écouter en sourdine. Ne plus penser qu’à savourer cet instant présent. Roberte Colonel

 

 

La mi-carême

e7o39logIl est dans l’existence des moments où on oublie un peu certaines traditions et le pourquoi de la tradition. En parlant avec un ami ce matin une foule d’images  me sont revenue en mémoire au sujet de la mi carême. Je me suis rappelée des odeurs de cuisine et de mes  joies d’enfant le seule moment ou l’on me permettait de me déguisé . Cette année la mi-carême sera fêtée le Jeudi 8 mars 2018 .

La Mi-Carême est une fête carnavalesque traditionnelle, d’origine française.

Fêtée le jour arrivé à la moitié du Carême, c’est-à-dire, selon la tradition judéo-chrétienne, au vingtième des quarante jours du jeûne avant Pâques, c’est une pratique qui remonte au Moyen Âge et se perpétue jusqu’à nos jours aux Antilles, dans certains villages de France (par exemple à Équihen-Plage) ainsi que dans les anciennes colonies françaises (comme au Québec, dans l’ancienne Nouvelle-France ou à Saint-Martin). La Mi-Carême était aussi jadis en France la Fête des blanchisseuses, des débitants de charbon et des porteurs d’eau1.

Fêtée à grande échelle à Paris, la Mi-Carême a disparu dans cette ville au début des années 1950. Elle est reparue sous le nom de Carnaval des Femmes en 2009, et donne lieu de nouveau à un défilé chaque année.

Au Brésil, une fête carnavalesque ayant lieu en dehors de la période traditionnelle du Carnaval est appelée micareta, mot dérivé du français mi-carême.Origine de la Mi-Carême Aux AntillesAu CanadaÀ Paris Date Célébration Canots à glac Voir aussi Notes et références Lien externe  

Origine de la Mi-Carême

Le char automobile de la Reine des Reines de Paris à la Mi-Carême au Carnaval de Paris 1903.

À l’occasion de la Mi-Carême 1890, le journal parisien La Presse écrit2:

L’invention de la Mi-Carême est bien plus récente que celle du carnaval. On avait de très bonne heure senti le besoin d’inaugurer par des plaisirs bruyants une longue période d’abstinence ; quand la foi se fut encore affaiblie, on jugea à propos de couper par une halte cette longue période de privations : on créa la Mi-Carême. Telle est sa raison d’être évidente ; quant à la cause occasionnelle de son existence, elle est moins sûrement connue. On attribue la Mi-Carême à la coutume établie dans quelques petites villes, parmi les jeunes gens, de donner, le mardi-gras un dernier bal aux jeunes filles du pays ; celles-ci donnaient à leur tour une fête le troisième jeudi de carême.

À cela s’est joint, surtout à Paris, l’habitude parmi les blanchisseuses, de se nommer à cette époque une reine, de se déguiser et de donner un bal dans leur bateau.

Cette coutume, souvenir probable des anciens rois des métiers, s’est étendue de Paris à la banlieue et bien au delà. Dans beaucoup de villes, la Mi-Carême demeure la fête des jeunes filles.

Aux Antilles

La Mi-Carême est toujours fêtée aux Antilles par exemple en GuadeloupeMartinique3 et en Guyane française, .Au Canada Au Canada, par exemple, on célèbre toujours la Mi-Carême en cinq endroits, en Acadie, et au Québec :

Acadie (provinces Maritimes)[ dans la région de Chéticampen Nouvelle-Écoss sur l’Île-du-Prince-Édouard

Au havre de Grand Étang en Nouvelle-Écosse, il y a un Centre de la Mi-Carême qui vise à préserver cette ancienne tradition qui perdure dans la région acadienne du Cap-Breton depuis plus de 200 ans. Le Centre offre entre autres une exposition de masques confectionnés localement4.

À Cheticamp, la Mi-Carême est fêtée pendant la troisième semaine du Carême, du dimanche au vendredi.

Québec[à Natashquan,à Fatima, aux Îles-de-la-Madeleine àL’Isle-aux-Coudres(Charlevoix)

La Mi-Carême au Carnaval de Paris, appelée aussi fête des blanchisseuses, est, avec la Promenade du Bœuf Gras, une des deux grandes fêtes du Carnaval de Paris.

Date[Comme son nom l’indique, la Mi-Carême se célèbre au milieu de la période dite du Carême, une période de quarante jours de privations qui précède la Semaine sainte dans le calendrier chrétien. Constituant une pause dans l’observance austère des journées menant au dimanche de Pâques, la Mi-Carême est fêtée par définition « le jeudi de la troisième semaine entière des quarante jours de pénitence ». En faisant un simple calcul (40/2), on pourrait penser que la fête doit tomber le troisième lundi du Carême (vingtième jour à compter du Mercredi des Cendres), mais les dimanches ne faisant pas partie du carême de pénitence, il faut donc rajouter trois jours de la semaine ce qui tombe un jeudi. La pratique semble déroger à ces deux règles, puisque certaines localités choisissent une date antérieure ou postérieure au troisième jeudi ou au lundi mitoyen, et optent plutôt pour plusieurs journées de fastes culminant généralement en une grande célébration communautaire.

Célébration La célébration de la Mi-Carême ressemble notamment à celle des Mardi gras en Louisiane. À l’Isle-aux-Grues (Québec), par exemple, les hommes (et, moins fréquemment, des femmes) sont déguisés par les femmes du village qui s’investissent souvent des mois durant à confectionner de somptueux costumes. En groupes plus ou moins importants, les « mi-carêmes » défilent dans le village, de maison en maison. Ils visitent les salons et les cuisines où on leur a préparé des mets et des boissons alcoolisées. Lorsque le groupe de lurons masqués – plus ou moins éméchés à mesure qu’avance la soirée – investissent un salon en dansant et faisant toutes sortes de simagrées, les enfants encore debout à cette heure tardive, et n’attendant que ce moment, s’écrient typiquement : « les Mi-Carêmes !, les Mi-Carêmes !» – un peu à la manière dont ils s’exclameraient à la vue d’un Père Noël -, tandis que les adultes tentent de deviner qui se cachent derrière le masque (l’identité des Mi-Carêmes est un secret chèrement gardé jusqu’à la toute fin des festivités, qui durent cinq soirs). Ce n’est que lors d’un dernier tour de piste dans une grande salle communautaire le soir du samedi que les Mi-Carêmes finissent par retirer leur masques dévoilant leur identité, au grand plaisir des spectateurs. Le lendemain matin, dimanche, une messe est célébrée à l’église du village et il est de coutume que les Mi-Carêmes assistent à l’office encore vêtus de leur costume de la veille.

À Paris, la Mi-Carême est traditionnellement la fête des femmes. Après une interruption de soixante-trois ans, son cortège est à nouveau organisé depuis 20095. La Fête des blanchisseuses, baptisée Carnaval des Femmes ou Carnaval des Femmes de la Mi-Carême, a lieu à nouveau depuis chaque année le dimanche qui suit le jeudi de la Mi-Carême6.

Canots à glace On constate récemment un renouveau dans une vieille pratique alliant deux traditions, soit celle de la Mi-Carême et l’autre, non moins typique du fleuve Saint-Laurent, dite du canot à glace. Moyen de transport essentiel entre les îles du Saint-Laurent durant les long mois d’hiver d’antan, il est à nouveau coutume pour une petite flottille de canotiers à glace de Québec et des environs de franchir les ultimes champs de glaces suivant la débâcle des rivières au printemps afin de se joindre aux insulaires et célébrer avec eux la dernière soirée festive à l’Isle-aux-Grues.

Voir aussi[ Sur les autres projets Wikimedia :

 

Résultat de recherche d'images pour "image de mi-carême"Carnaval de Nantes

Notes et références[

En 1858, dans une étude consacrée à la famille d’un porteur d’eau parisien [archive], publiée par la Société internationale d’économie sociale, est mentionnée « la fête patronale des porteurs d’eau, qui a lieu le jeudi de la mi-carême. » Timothée Trimm écrit dans son article-éditorial Les festoyeurs de la Mi-Carême [archive]Le Petit Journal, 24 mars 1865, page 1, 2e colonne : « C’est donc aujourd’hui que les filles du lavoir, les débitants de charbon et les porteurs d’eau sont en liesse ; »

Article sur la Mi-Carême paru dans La Presse du 14 mars 1890 La Mi-Carême à Paris [archive], page 1, 5e colonne. Le même article reproduit dans Commons.

Vaval renaît de ses cendres pour la Mi-Carême. [archive]

Centre de la Mi-Carême [archive]

Fr.wikipadia.org/wiki/Mi-Carême

La trahison…

La trahison est douloureuse pour celui qui la subit, mais honnêtement, celui qui trahit se trahit lui-même. Sa parole ne vaut plus rien, et la confiance disparai.

Nuage

Il existe tant de façons de trahir quelqu’un. On peut chuchoter dans son dos. Le tromper volontairement. Le livrer à l’ennemi, alors qu’il vous fait confiance. Ne pas tenir une promesse. La question est: se trahit-on soi-même en agissant ainsi?

Jodi Picoult

Recopier sur le billet de Nuages

 

 

 

 

Si maman si

Lors de mes premiers pas dans la blog sphère j’étais avec bon nombre de mes amis sur Spaces nous avions beaucoup de possibilités a réalisés de belles choses sur nos blogs. C’était différent d’aujourd’hui sur wordpress.

Un ami m’avais mis a ma demande la vidéo de France Gall si « Maman si . »

Cétait un hommage que je rendais alors a ma maman.

Aujourd’hui c’est a toi que je rends hommage merci  France Gall de si bien avoir chanté Si Maman Si.

Je ne t’oublierai jamais. Roberte Colonel

Tous mes amis sont partis
Mon cœur a déménagé
Mes vacances c’est toujours Paris
Mes projets c’est continuer
Mes amours c’est inventer

Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi

Et le temps défile comme un train
Et moi je suis à la fenêtre
Je suis si peu habile que demain
Le bonheur passera peut-être
Sans que je sache le reconnaître

Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi

Mon cœur est confortable, bien au chaud
Et je laisse passer le vent
Mes envies s’éteignent, je leur tourne le dos
Et je m’endors doucement
Sans chaos ni sentiment

Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi

Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi

Je vous souhaite une bonne année 2018…

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Je vous souhaite une année 2018 de santé, de bonheur, avec mille occasions de sourire et des images qui vous feront rêver ou à tout le moins vous donneront l’envie de le faire, avec des regards qui vous mettront du baume au cœur et des couleurs pour effacer les gris, le terne et le brouillard.

Je vous souhaite des étoiles dans les yeux souvent, aussi souvent que possible.
Et je vous invite à regarder le temps passer parce qu’il n’y a rien de tel que rêver.

Bonne année à chacun d’entre vous Ami(es) blogueuers
Faisons ensemble de 2018 une année inoubliable. Roberte Colonel

 

Il est des instants de magies…

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Il est des instants de magies comme seule la nature sait en offrir a l’œil avisé du photographe.

Noël déjà nous a quitté nous laissant nostalgique de nos heures passées en famille.

La fin de l’année approche a grand pas et je suis pressée de lui faire mes adieux elle l’aura bien mérité!

A chaque année nouvelle on est plein d’espoir on se souhaite la bonne année, de la santé,  du bonheur, et on est sûre qu’avec les vœux que l’on nous dédies que l’on sera paré contre la maladie et que tous les jours ne seront que bonheur. Pure Utopie!!!  Pourtant c’est de tradition et  comme chaque année, je ne manquerait pas de vous présentez mes vœux au 31 Décembre. Roberte Colonel

Là, seulement Là, les choses profondes sont à perte de vue.

 

Je dédie a mon amie Marie ce texte écris au mois de mars 2013

C’est à nous d’être vrai, de comprendre ce que la nature nous offre. IL suffit d’un instant pour observer attentivement ce qui nous entoure pour comprendre que : Là, seulement Là, est le spectacle de la vie. (Roberte Colonel)

Ce début de matinée s’annonce bien triste et le moral n’y est pas… depuis la veille une pluie battante n’a cessé de tomber. De nos fenêtres on distingue à peine la maison des voisins d’en face. Le ciel est si sombre que je pense que notre promenade prévue pour l’après midi risque d’être compromise. La radio égrène une chanson triste à mourir. Sans enthousiasme j’hume mon café et plonge mes lèvres dans l’onctueux breuvage espérant y trouver un peu de réconfort.

Mes pensées vagabondent vers je ne sais quelle destination quand levant les yeux de mon bol, j’aperçois  deux jolies Pies qui tournoient dans la coure puis se dirigent vers un abri de fortune. Ces deux belles élégantes au plumages caractéristique : robe noire et blanche et longue queue sombre et étagée aux reflets allants du vert brillant au bleu violacé en passant par le bronze et le pourpre. Elles ont fière allure lors qu’elles déploient leurs ailes et s’accrochent sans difficulté au faîtage de la maison d’en face. A cet instant sous mes yeux ce déroule une extraordinaire scène d’amour. Le couple vole ensemble tout en communiquant intensément.

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Devant ce spectacle aussi inhabituel qu’imprévu je reste ébahie. Que peuvent se raconter ces jolies demoiselles les Pies ? Bec contre bec, elles s’amusent à boire les gouttelettes de pluie qu’elles transportent sur leurs ailes mouillées. Elles se donnent de petits coups de bec, l’une semble vouloir quitter son abri, tandis que l’autre l’entoure en sautillant voulant la retenir. Que le spectacle est beau, j’en oublie la pluie qui n’a eu de cesse de tomber. Le spectacle est ravissant. Jamais je n’aurais imaginé que ces oiseaux puissent nous donner un tel spectacle d’amour. L’une s’envole, l’autre fait de même à son tour  et la force  à revenir sous le faîtage de la maison.  Le spectacle s’éternise dans un ballet de va et viens incessants. De nouveau des échanges tendresse bec a bec, des petits frottements de plumages, de corps à corps, des battements d’ailes, elles sont si proche l’une de l’autre que je pense qu’elles se font des confidences murmurées dans un langage que nous humains ne pourrions comprendre. Ces jolies demoiselles les Pies, m’ont offert ce dimanche le plus joli spectacle qu’il me soit donné de voir. (texte roberte colonel)

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– « C’est en début d’année que les pies se rassemblent pour que chacun puisse trouver sa chacune, mais contrairement aux humains, pas question de se tromper de partenaire, ni de flirter sans s’engager. En effet,  une fois que les couples se  sont formés, ils resteront ensemble toute leur vie.
Si l’un des deux meurt, l’autre cherchera un nouveau partenaire pour se reproduire.

Les accouplements ont lieu au printemps. Les mâles entament leur parade nuptiale en mettant en valeur leur plumage, ouvrant leur queue tel un éventail tout en émettant des appels à la tonalité douce et très différente de leur croassement habituel. »

Saudade — La Page @Mélie

Saudade est un mot fort, profondément émotionnel… C’est une somme d’émotions et de sensations qui remontent… C’est sentir le vide généré par la distance existant avec la personne aimée, cette brûlure intérieure qui ne s’éteint jamais… C’est la présence d’un manque… C’est ce qui reste quand tout meurt. Plusieurs personnes ont essayé de la traduire, mais son sens reste […]

via Saudade — La Page @Mélie

Noyer quelques feuilles de papier…

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J’ai parfois en moi cette envie de partir lire devant la mer qui se déchaîne, pour évacuer ce trop plein en moi dans cette eau qui bouillonne, en jetant page après page ce manuscrit écrit et que personne ne lira jamais.

Mais je sais fort bien que noyer quelques feuilles de papier ne taira en rien le tumulte qui s’agite en moi, ne me rendra pas raisonnable, n’effacera rien de mes rêves parfois trop grands ni de mes élans amoureux.

Et si la mer m’appelle, ce n’est peut-être pas pour autre chose que parce qu’il me manque et non pas pour ces quelques feuilles qu’il vaut peut-être mieux déchiqueter ou brûler. Geste que je n’ose pas faire. La mer me donnerait-elle ce courage qui me manque? Roberte Colonel  27/08/ 2O17

Griserie merveilleuse…

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Prise par l’absolu des mots qui captaient son attention Soraya avait lu vite. Les joues contractées, ses mèches de cheveux tombants sur son visage elle semblait si imprégnée par sa lecture qu’elle n’entendit pas sonner à la porte d’entrée. Un long moment  s’écoula avant qu’elle ne prenne réellement conscience qu’une personne se trouvait à attendre derrière la porte. Encore si troublée par sa lecture, les mains dans les poches de sa robe, d’un pas nonchalant elle se dirigea vers le hall d’entrée. Elle hésita une fraction de seconde avant d’ouvrir la porte  réprimant cet élan avec la crainte de se trouver face à un importun.

Il était face à elle. Il avait le teint hâlé, un air de distinction et de finesse. Elle percevait la puissance dévorante qu’elle ressentait déjà  au contact de sa main. Elle avait parlé vite freinant l’élan qui la poussait à se jeter dans ses bras. Il y avait si longtemps qu’elle ne l’avait revu. Elle se souvenait de ses mains entourant sa taille, de la chaleur de sa bouche, de la pureté de leur premier baiser. Ils n’étaient que de jeunes adolescents lorsque ils s’étaient rencontrés. Elle poursuivait ses études loin de chez elle. Ils ne se voyaient que pendant les vacances scolaires. Le temps avait passé sur leur jeunesse et chacun avait poursuivi sa route. Jusqu’au jour où le hasard décida de les faire se rencontrer à nouveau. Griserie merveilleuse ! Ils se redécouvraient d’instinct. Cœurs à cœur, par l’amour à l’amour infini qu’ils reconnaissaient dans le plus simple de ses élans. Les lèvres blêmes, entrouvertes, trouvant la force de prononcer « Pour quelles disaient ces lèvres sommes nous restés si longtemps éloignés l’un de l’autre? » Tu le conçois ? Petit silence. Il souriait  et son sourire faisait bouger le filet de rides sur son front.  Il l’attira à lui. Elle avait un corps long, mince, et le visage d’une grande  beauté, les lèvres généreuses cependant. Sa robe très sobre était faite d’une seule pièce de laine bleue, ornée d’un col plus foncé. Elle portait un collier avec une grosse perle verte où s’allumaient des lueurs brillantes.  Elle sortait de mots rapides dont Jordanne ne cherchait même pas à capter le sens trop préoccupé d’imager ce corps qu’il reconnaissait et qui l’enflammait. Ils s’étaient aimés à l’âge de l’étudiant, il s’en souvenait, tout n’était pour eux que rêves, désirs, troubles délicieux, espoirs confus, avec cette confiance au creux de l’âme qui ajoutait à ses émerveillements ! Ils s’étaient retrouvés, ils auraient le temps pour l’explication comme s’ils étaient conscients, subitement, de l’importance que leur procurait la joie d’être seul au monde en cet instant. Roberte Colonel Texte paru 6/07/2013 (peinture Emmanuel Garant)

Parfois…

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Parfois lorsque je suis près de lui je veux toujours être encore plus près ensemble autant que sont le mot vent le mot vague dans une poésie sur la mer.

Cela vient de ce qui
grandit ou se retire qu’image et poésie avec les vagues le vent et la mer

Parfois, j’ai cette peur qu’il ne me touche plus. Qu’il ne caresse plus ma peau nue, qu’il ne s’attarde plus aux plis et aux courbes de mon corps et que peu à peu celui ci devienne muet.

Parfois, un seul regard de lui me fait frémir de désir.

Parfois encore cette peur qu’il ne m’aime plus. Il est mon sourire du matin. Il donne vie à toute chose, il est la raison de ma métamorphose.

 Parfois j’ai cette peur qui s’empare de moi la nuit lors qu’ouvre ses angles de lune je cherche ses pas sur la plage déserte.

Parfois je l’appel dans le bruit assourdissant des vagues de la mer qui couvre ma voix.

 Roberte Colonel 09/06/2017

Salon du livre international du livre de Mazamet dimanche 21 Mai de 9 h à 18 h

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Roberte Colonel et Charef Berkani seront au Salon International du livre de Mazamet pour la dédicace leur nouvelle « Passion sur Internet »

Roberte Colonel dédicacera son dernier ouvrage « RÊVES ENFOUIS » livre témoignage émouvant sur la nécessité de connaître ses origines, sa filiation et de son appartenance à un arbre généalogique.

insaisissable bonheur…

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Le bonheur est insaisissable et c’est illusion que de l’attendre. Il est volage, il ne reste guère en place. A peine vous a-t-il approcher que déjà il vous fuit vous laissant a des regrets.

C’était hier, ce sera demain, je l’attendrais toujours avec la même impatience car je sais pertinemment bien qu’il repassera il ne pourra s’en empêcher même pour voir si je l’attendais!

Il est imparfait le bonheur il est même parfois cruel puisqu’il s’approche et repart de nos vies en laissant un trait de son passage, juste quelques maux dont il faudra guérir.

Le bonheur est insaisissable, toujours à venir semblable à une illusion d’optique. Nous avançons alors d’espoir en espoir, ne nous épargnant aucun effort.

Le bonheur nous le cherchons jour après jour au cœur de nos passions. Ils emballent nos cœurs.

Le bonheur peut nous echapper. Il fuit comme la peste ce qui est ordinaire et si on le conteste il joue la fille de l’air.

(Roberte Colonel ) 4/5/2017

 

Le poisson est le symbole de l’énergie.

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Le poisson est le symbole de l’énergie.

Avec le poisson apparaît la capacité de saisir les choses derrière les apparences extérieures des choses.

Si un poisson se sent limité où bien agressé il se cache très loin derrières une politesse qui le rendra inaccessible. Il laissera ses adversaires l’accuser injustement sans rien dire. Il à la possibilité derrière un écran de fumée artificiel de se retirer dans ses profondeur. Voilà larme redoutable du poisson.

Le poisson est peu prédisposé à jouer un rôle de leader, non par faiblesse mais par souci de sa dignité. Voilà pourquoi un poisson est souvent sous-estimé et passe inaperçu.

On ne peut dire que celui qui ne peut s’entendre avec un poisson ne peut s’en prendre qu’à lui-même.

Pour ceux d’entre vous qui sont du signe poisson et qui ce reconnaissent dans ce que je viens de tracer qu’ils viennent à moi car je suis bien du signe des poissons !!!!

Le poissson est Passionnément romantique…Roberte Colonel

Article mis en ligne le 28 mars 2010