Un jour j’écrirai…

pasteImage1505834816015 (1)

Un jour lorsque septembre aura fini de revêtir ses habits de velours aux feuillages couleur d’ambre il fera beau.

Peut être un souffle d’air bercera la brume de septembre pour  de nouvelles aventures littéraires que j écrirai. Je me cramponne à mes mots défaillants depuis quel que temps.

Mon cœur frémit en cette douce matinée et le ciel semble s’étoiler de bonheur. Les touches de mon clavier chantent sur ses mots.

Non je ne rêve pas, ou je ne veut pas rêver. D’où me vient cet instant merveilleux unique et si nostalgique ? Pourquoi ce matin le ciel est-il si bleu ?

Pourtant le voile se dissipe soudain la vie m’apparait a nouveau triste et sans intérêt.

« Tu avais tout bousculé dans ma vie  jusqu’au paradis je serais allée pour te plaire à l’infini. Tous nos projets, nos secrets qu’on avait pris soin de protéger qu’en a tu fais ? Ils ont éclataient comme des bulles de savon. Tout s’est écroulé comme un château de cartes ! »

Parfois, un seul détail, un grain de sable, un imprévu, peut faire basculer même les plus intimes convictions. La vie sans fondation est si fragile pour qu’un mot inexploré détruise à jamais nos certitudes à nous aimer.

Je me suis enfermée dans mes écrits à raconter mon histoire. Quelle histoire ? Quelques regrets amers retiendront ses moments où je me sentait si bien. Je laisserai surement sur le chantier une œuvre inachevée qui dormira dans mon dossier.  Peut être alors mon âme confessera dans mes nouveaux écrits mes peurs, mes tourments, et mes larmes et mes menus malheurs, il sera présent.  De plus J’ écrirai ses quelques mots : « J’avais douté de tes sentiments. »

Roberte Colonel19/09/2017

Ma chère maman…

wild-flowers-849401_960_720

 Ma chère maman tu es là haut parmi les étoiles qui illuminent ma vie.

Mille fois j’ai essayé de lâcher ta main sans jamais y parvenir.

Il m’arrive de te confier mes secrets comme lorsque j’étais une petite fille.

Il y a dans mon cœur encore tant d’amour pour toi.

L’ors ce que ma vie devient trop dur à supporter,

je voudrais que tu sois près de moi

Tu étais  ma douce maman, tu m’as tant manquée.

Depuis toujours, je n’ai fait que t’imaginée, il m’était difficile

De croire que tu avais pu me laissée dans cette famille,

Qui n’eurent de cesse de me dire que tu m’avais abandonnée.

J’ai cueilli ces quelques fleurs des champs pour toi Maman

 Tout me rappel aujourd’hui que je n’ai jamais été autorisée

A te dire ces quelques mots : « Bonne fête maman. »

Lettre à maman : « boite postale dans le ciel et les étoiles »

mère et fille 3

Ma douce maman aujourd’hui c’est la fête des mères je n’ai jamais pu te la souhaiter comme le font tous les enfants. Cependant tu fus toujours dans mes pensées.

Maman tu m’as accompagnée tout au long de ma vie mais aujourd’hui  j’ai besoin de prendre mon envol. Tu m’as toujours tenu la main, sans que je te vois. Tu étais présente à chaque étape de ma vie  mais j’ai grandi. Je voudrais vivre ma propre vie. Je voudrais voler tel le papillon, de mes propres ailes et vivre enfin mon bonheur. Mes larmes se sont taries d’avoir trop coulé sur mes joues. Au cours de ces dix dernières années j’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir  pour retrouver les traces de notre histoire et  j’ai réussi à remonter le temps jusqu’à la découverte de mon géniteur tout cela grâce à toi et aux petits cailloux blancs semés sur ton chemin.  Notre puzzle familial est achevé.  Aujourd’hui maman  je suis apaisée.  Nous nous retrouverons un jour.  Je sais que tu seras à l’heure au rendez vous pour me mener dans ton royaume de  lumière et de  paix. Ce jour là plus rien ne pourra t’empêcher de me serrer tout contre toi. Ma douce maman je dois lâcher ta main, je dois te laisser en paix dans ton ciel étoilé et conduire ma vie sans ton aide.  Je le sais maman ce n’est pas facile de te quitter mais je le dois. Je penserai toujours à toi je ne t’oublierai jamais.

Il y a quelques mois encore tu m’as envoyé un message.  Tu souhaitais que je trouve le bonheur. Tu voulais que ma vie ait un sens et tu voulais que le soleil soit présent dans mon cœur. Ton appel a été entendu maman.  Sois rassurée mon arc en ciel saura illuminer ma vie.  Tu  as veillé sur moi depuis si longtemps m’envoyant des petits signes que je savais interpréter.  Si je t’ai entendue maman c’est bien que tu voulais que ma vie prenne de jolies couleurs, alors soit rassurée   je suis heureuse.

Ton éternelle petite fille qui n’a cessé de t’aimer.

Vieillir, ce n’est pas vivre moins mais vivre autrement…

                                                                   Vieillir, un nouveau printemps ?
 

L’AVEZ-VOUS REMARQUÉ ?

Ce sont les vieux pommiers qui sont les plus chargés de fleurs, les vieux séquoias qui s’élèvent à des hauteurs majestueuses, les violons anciens qui produisent les plus riches harmonies, les vieux vins qui sont les plus goûtés. Ce sont les monnaies antiques, les vieux timbres et les meubles anciens que beaucoup recherchent avec passion.

L’AVEZ-VOUS REMARQUÉ ?

C’est à son déclin, lorsqu’il va mourir, que le jour déploie les splendides couleurs du soleil couchant. C’est au terme de l’année que la nature transforme le monde en une féerie de neige.

 

 

 Je me souviens d’un de mes après midi lectures au foyer des personnes âgées de Villeneuve Les Béziers 

L’AVEZ-VOUS REMARQUÉ ?

Ce sont les vieux amis qui sont les plus chers, et les vieilles gens que Dieu aime depuis si longtemps.

Merci, mon Dieu, pour les bénédictions du vieil âge, la sagesse, l’expérience, la maturité, la foi, l’amour, l’espérance.

Vieillir, ce n’est pas vivre moins mais vivre autrement. Ce n’est pas effacer nos rides pour n’avoir pas l’air vieux, mais tourner chaque jour le regard de nos

coeurs pour qu’ils continuent à s’émerveiller de tout ce qui est grand et bon. .

Vieillir, ce n’est pas la fin d’une aventure, c’est une aventure nouvelle, inédite, qui peut être passionnante.

Oui, vieillir c’est beau, encore faut-il apprendre à bien vieillir. Bien vieillir, c’est tout un art ! (Texte anonyme) Ce billet a déjà été publier.