L’amour et le printemps…

 

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L’amour et le printemps

Baiser de printemps

Porté par un doux vent

Déposé sur les lèvres rosées

Dégustés avec volupté

Baisers de printemps

Soleil rieur d’un beau temps

Arc-en-ciel de joie dans les yeux

Etincelle de bonheur échangé à deux.

(Sourire 2011)

 

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Cette œuvre qui célèbre l’amour et le printemps est créée durant la longue période de travail de Rodin (une trentaine d’années) autour de la porte de l’enfer

Variante de l’œuvre le baiser des années 1890 , elle est probablement inspirée de la relation passionnelle qui débute en 1890 Pour une dizaine d’années, entre Auguste Rodin et son élève  Camille Claudelle. 

Exposée au   Salon des artistes français  de 1898, l’œuvre connait un important succès et est dupliquée en de nombreux exemplaires en Bronze  en quatre dimensions différentes, ainsi que six exemplaires en  marbre .

La figure féminine de l’œuvre est une reprise de l’œuvre le  torse d’Adèle de  1882 inspiré d’Adèle Abruzzesi, un des  modèles favoris de Rodin.


 

Des petites vagues de mots…

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Les souvenirs me parlent de toi

Sur le ton d’une confidence nostalgique,

Ou nos lettres éparpillées

Sont des silences blancs

Qui coule sur nos âmes meurtries

Et éclaire de ses songes intimes nos écrits

Avec des petites vagues de mots

Qui roulent sur nos pages au son du violon.

Des phrases qui scintillent

et que j’appelle nos poésies.

Roberte Colonel

*toile de Michael Gorban

Des mots qui illuminent l’âme…

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Dans le jardin des désirs,

Il est des mots que je tairai

Impossible de te livrer mes secrets

Ils danses sur le fil de mes rêves.

La mémoire avait laissé l’empreinte

Ou mes nuits se trouvaient troublées

Par cet appel sensuel.

Il est des mots que je tairai

Des mots qui illuminent l’âme

Tant ils se dévoilent à travers mes états d’âme.

Sur le clavier de ma vie courent encore des mots que je te confié

Ces nobles soirs qui jalonnaient nos nuits d’extase

Il est de ces mots que je tairais.

Roberte Colonel

 

Au coeur de l’incertitude…

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A mon ami fripon

Il avait toi, et moi, lorsqu’ici nous étions à rimer

Puis, sans que j’en connaisse la raison tu es devenu insaisissable.

Tu es partis en laissant dans ma vie les traits de ton passage.

Les cicatrices d’une amitié qu’on clamait trop fort.

Tu as gravé ton image ami des toujours

Dans les mots que tu semais.

Malicieux, tu vivais ta vie a contre temps

Et tes rimes mimaient ce que disaient les vents.

Tu me disais que ton absence n’était que passagère et que

Le bonheur en vainqueur viendrait un jour reprendre ses droits.

Ami, je le sais tu ne faisais parti d’aucun ordre rangé.

Au cœur de l’incertitude il y a toujours l’espoir si fragile soit-il a réinventé.

Roberte Colonel

Le poète…

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Le poète

Décrit avec bonheur

Les pétales des jolies fleurs.

Il recréait les couleurs

Au cœur de la nature

Une clarté toute pure

Il réinvente avec candeur

Le bonheur en vainqueur

Et ouvrent aux fleurs,

Les portes du bonheur.

Il sait voir le souffle du vent,

L’abeille subtile bourdonnante

Effleurer de sa danse exaltée

Sur le pistil sucré à souhait

Des graciles demoiselles endimanchées.

Roberte Colonel

Photo Anna maria Szepesia

rêver…

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J’ai rêvé que ce poème trouverait le chemin de votre coeur ami(es) lecteurs. R. Colonel

Rêver, c’est oublier la réalité
en se donnant un moment de liberté.
Rêver, c’est dire non à l’impossible
mais aussi atteindre ce qui est inaccessible.
Rêver, c’est s’inventer des roses
quand dans la vie il n’y a pas grand-chose.
Rêver, c’est se promener dans son jardin secret
aussi sereinement qu’un roitelet.
Rêver, c’est se créer un monde à soi
illuminé par un soleil de joie.
Rêver, c’est toucher la beauté
mais aussi émouvoir sa sensibilité.
Rêver, c’est broder un poème
avec la soie d’un je t’aime
sur le ciel de son cœur
pour le donner à toutes les douleurs.
Rêver, c’est savoir se mentir
et transfigurer la souffrance en plaisir.
Rêver, c’est pénétrer dans un autre univers
où l’on ne voit ni la tristesse ni l’enfer.

Nadjet Taibouni
Algérie

 

 

Rêve en douceur

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Rêve en douceur, ne pas me réveiller.

Fleur de mai ton soleil à cesser à de briller.

Juin chagrin, à peine a tu montré le bout de ton nez,

Que le ciel déjà s’obscurci de gros nuages  gris.

Pluie ne cesse de tomber, le vent me fait pleurer.

Voudrais-tu bien cesser de déverser tes eaux,

Elles inondent  mon cœur de tristesse.

Juin, retrouve tes couleurs d’Antan?

 Moisson des blés, sur les sentiers embaumés

Je souriais à une  vie que je m’inventais,

je voyageais dans mes pensées,

je voulais

que sur cette terre, l’amour y régne en paix.

                                                                              Roberte Colonel

Je ne sais si je vais mieux…

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Je ne sais si je vais mieux,

Ou si je m’habitue seulement à la douleur.

Je lui ai fait cadeau de mes douceurs moi qui défendais mes valeurs

Je lui ai fait cadeau de mes faveurs,  je n’écoutais que mon cœur.

Je lui ai fais cadeau de mes prières  et  pour lui combattu l’enfer.

Je vénère la vie, et eu très envie de lui faire crédit.

Je n’ai plus de colère et j’en appel à ma raison

Que je nomme compassion,  je rêve de m’y arrêter,

Pour faire prospérer mes humeurs,

Je veux célébrer l’amour  parce qu’il enrichit la vie,

Et que la haine passe son tour  elle qui me fait périr d’ennui.

Roberte Colonel le 22/3/2016

Image Symphonie des sentiments (Les beaux proverbes)

JOURS GRIS, JOURS DE PLUIE

Le temps fuit

Les jours passent

Sans bruit l’amour trépasse.

Tant d’années nous ont vu nous aimer.

Sans bruit le temps a fuit

Jours gris,  jours de pluie.

Nous avons su résister aux tempêtes

Qui nous ont auréolés de cheveux gris.

Notre bel amour a perdu de son éclat,

 Jours gris, jours de pluies,

Nous sommes encore unis.

Quand le soleil Brille

On  oublie très vite l’ombre,photos_diverses_019

Pour laquelle nous n’avons que mépris.

Roberte Colone

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Roule s’en roule ma vie à la tienne…

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Roule s’en roule ma vie à la tienne

Dans des je t’aime écris sur parchemin,

Dans mes attentes des petits matin blêmes

 dans mes craintes,

dans mes mots  subtiles

sans cesse renouvellés a  l’ancre de mes larmes.

Mots fragiles comme l’est  notre amour  qu’il faut protéger

 bien au-delà de l’infini et dans tout les moments.

Roule s’en roule ma vie à la tienne 

Ce beau sentiment  a grandit joliment  écartant les doutes,

Ne laissant jamais matrice de rancœur.

Pour voir le bonheur l’emporter sur la peur

 Tu me donna l’amour pour que de nouveaux jours

Voient la lumière briller  dans mes yeux  amoureux.

 (Roberte Colonel)

Merci à Mariejeanne pour son image 

Blog:   http:/mariejeanne1950 wordpress pour son image.

Dis Moi …

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Dis moi,

Dis moi ,si nous faisions une petite escale là où nous n’aurions  plus jamais mal.

Je veux regarder tout en bleu et ne plus rien prendre au sérieux.

On va étudier les plaisirs là où les rêves se réalisent et viennent nous prendre par surprise.

Dis moi, si on faisait une paranthése là où tous les ennuis se taisent.

Et puis travailler nos désirs oublier nos malheurs, et ne plus penser

Qu’a des  matins bonheurs  là  où les rêves se réalisent

Si nous inventions un nouveau bonheur qui durerait des heures et des heures.

 Dis moi, si nous faisions une p’tite escale là où on n’a plus jamais mal ;

Passer des jours devant les vagues et instaurer des tours de drague.

Traverser notre vie au soleil en s’disant : « l’existence est belle! »

Oublions tous les fous de guerre, et ne vouloir  que le nécessaire.

Dis moi, Si nous faisions une p’tite escale pour oublier que j’ai mal …

!cid_B179DE9A0EB343B2A392EBA12CA392A5@JaniePC(Robertecolonel)

La poésie et la vie…

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La poésie est à la vie ce qu’est le feu au bois. Elle en émane et la transforme. (Pierre Reverdy)

Rêverie

Lorsque l’esprit se perd,

La pensée vagabonde,

C’est le poète, en expert

Qui recrée le monde.

La vie que vous rêvez,

il peut la transcendez

Il sait réinventer

Les rêves que vous formez.

Suivez donc ses écrits

Voyez ou il vous conduit,

Et regardez la vie.

A travers le regard

D’un poète qui crée,

Il n’y a plus de hasard,

Tout ce qu’il écrit est poésie.

Quand vos pensées dérivent,

voyez les couleurs

Dans un monde que ravive

le poète et ses humeurs.

(Roberte Colonel) (toile de Lenz Geerk)

Imagine-nous…

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Imagine-nous

Tous les deux mon aimé

L’espace d’une seconde

De voir un nouveau jour,

On fermerait les yeux,

On respirerait profondément.

Cela nous suffirait.

En se tournant face à face

Au vent, on sentirait

L’air du large sur nos visages.

Imagine-nous

Enlacés mon aimé

Sous le ciel strié de nuages

Que tout le soleil éclabousse.

Imagine nous mon aimé

comme il fait doux,

Seule l’étendue de la mer immense

Le moteur de nos vies,

 De notre existence ,

Enserre notre secret.

(Roberte Colonel)

J’use les mots…

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Les vacance en montagne sous la pluie me le laisse tout loisir  de lire de beaux textes de poésies. Je partage avec vous un extrait  « Les mots »   de Rosa Alice Branco (épeler le jour)

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Ce soir j’ai tout à dire et j’use les mots
pour y parvenir. J’ignore si je m’écarte
ou je m’approche. Si jamais j’ai effleuré
la peau de l’essentiel. Et je demande toujours
pourquoi ces lignes têtues en moi.
Le passé n’est pas ce qu’on a accompli,
mais ce qu’aucun mot ne refera.
C’est pourquoi je lis toujours dans l’avenir, mais j’ignore
de quel côté du temps j’écris. Et si je savais
que je traîne les lettres comme un crabe
je dirais que j’ai seulement cette poignée de mots.
J’épelle les choses en chaque jour qui me regarde
quand je me sens capable de la voir. Voilà tout.
Et il n’y a pas d’excuse à ce que je fais        

Pein ture 26-franck-h-desch)

Rosa Alice Branco
Nascimento 1950 (65 anos)
Aveiro
Nacionalidade Portugal portuguesa
Ocupação poetisa

Est-ce le bleu qui rend visible l’invisible?

Résultat de recherche d'images pour "Est-ce le bleu, Qui rend visible l’invisible?"Est-ce le bleu,
Qui rend visible l’invisible?
Est-ce
Une mélancolie
Incompressible
Entre jour et nuit
Où le rouge fuit?
Est-ce
La terre noire
D’oublis et d’ancêtres
Qu’une mousse verte
Recouvre de silence?
Est-ce Le récit d’un monde Perdu
Ou le rêve de naître
De l’azur?
Jean Royer, Au seuil de l’inespérableCe
 Blog en Pause pour 2 semaines de vacances 
A bientôt de vous retrouver .
fontaine

Mon tendre amour…

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Mon tendre amour, Je voyais briller en tes yeux tant de projets d’avenirs. Tu pensais que nous deux devions vivre une éternité d’amour. Ce soir l’angoisse me serre, m’étreint, elle est un peu comme le chagrin,tout doucement, elle s’enfonce, elle est en moi, comme une ronce. Elle me brûle, elle m’étouffe j’en perds presque mon souffle. Elle vient en moi comme la mort et même si je fais des efforts, elle resserre encore son étreinte, elle est en moi lugubrement, teinte. Elle est presque comme la peur et elle me donne des frissons, elle m’amène à des torpeurs oui  mon cœur tu me faits faux bond. Ô ! Étrange organe sièges des sensations, des émotions, des sentiments, des passions ! Toi, mon cœur du problème organe central de mon amour quand tu serre un peut trop fort ma poitrine,tu dissous mes aspirations d’être aimée pour toujours. Roberte Colonel

Que raconte le jour à celle qui attendait qu’il soit là?….

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Que raconte le jour à celle qui attendait qu’il soit là? Lui parle-t-il de celui qu’elle aime? Lui offre-t-il un peu de vent chargé des bruits de la mer? Caresse-t-il doucement sa nuque? Et que lui dit-elle? Lui parle-t-elle de lui? Du livre qu’elle a abandonné quelques instants sur ces genoux pour sa rêverie ? Lui parle telle une fois encore de cette rencontre exceptionnel et du bonheur qu’elle ressent au fond de son cœur ? Nul ne peut le savoir c’est leur histoire qu’ils ne veulent pas révéler et jaloux ne désirent pas partager leurs « Je t’aime. » Seul les oiseaux sont attentifs a leur complainte d’amour. Ce que le jour lui raconte c’est que par de là l’horizon il est le seul à connaître ses secrets, ses attentes. Ce que le jour lui raconte c’est qu’ils sont seuls à croire en leur amour. Ils se sont fait le serment de s’aimer et de laisser le temps de décider de leur avenir. Voila ce que le jour ce matin est venu lui rappeler.( Roberte Colonel) (Peinture Szunowoki-Peter)

A l’automne de ma vie …

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A l’automne de ma vie vint un lutin qui, soudain écrivit

Amour dans mon destin.

Moi qui n’y croyais plus, ou qui voulais en rire,

Tout à coup, je l’ai vu courir dans mon sourire.

Je me sentais perdue à l’idée du finir

et je ne voulais plus, aimer jusqu’au mourir.

Mais si je n’aimais plus, si je laissais partir ce bonheur entrevu,

Si je voulais le fuir, la solitude viendrait avec des jours sans fin…

Même si je le pouvais, que ferait le destin?

Parfois la vie se moque, on ne peut la contrer,

Même si l’on en suffoque, à elle d’en décider

De mettre sur la route des amours à trouver,

A vivre coûte que coûte, des peurs a surmonter…

Avec ces bonheurs-là qu’elle nous fait découvrir,

A portée de nos bras qu’il nous suffit d’ouvrir…

Que serait le destin à l’hiver de ma vie?

Si le petit lutin que j’aime était parti?

Je ne veux pas savoir ce que ma vie prévoit

Ce que je sais vouloir c’est la vivre avec toi.

(Roberte Colonel)

L’amour Caché…

tristes mots d'amour

L’amour caché

Mon âme a son secret, ma vie a son mystère
Un amour éternel en un moment conçu :
Le mal est sans espoir, aussi j’ai dû le taire,
Et celle qui l’a fait n’en a jamais rien su.

Hélas! j’aurai passé près d’elle inaperçu,
Toujours à ses côtés et pourtant solitaire ;
Et j’aurai jusqu’au bout fait mon temps sur la terre,
N’osant rien demander et n’ayant rien reçu.

Pour elle, quoique Dieu l’ait faite douce et tendre,
Elle suit son chemin, distraite et sans entendre
Ce murmure d’amour élevé sur ses pas.

A l’austère devoir pieusement fidèle,
Elle dira, lisant ces vers tout remplis d’elle :
 » Quelle est donc cette femme ?  » Et ne comprendra pas !

Félix ARVERS(1806-1850) image (motdamour.blogspotc)…

Chéri à vie…

comi-luigiChéri à vie,

Chéri ma vie s’écrit aux lignes

De ta main et mes ennuis s’enfuient.

Toutes ces heures gâchées, privées de tes mots,

Tous ces moments passés a recherché ton cœur…

Mes yeux te regardent, c’est le bonheur qu’ils voient,

Comme le temps s’attarde sans nouvelle de toi !

Les minutes s’allongent comme des jours sans fin,

La tristesse me ronge je te sais si loin de moi.

J’ai le besoin de tes bras comme les fleurs on besoin de l’eau.

Dés que j’ai vu ta photo, j’ai su que je t’aimais.

Oui je t’ai reconnu, c’est toi que je recherchais.

Que de jours sans saveur avant que je ne te rencontre !

Ma traque du bonheur n’y trouvait pas son compte.

Comme j’aimerais vivre auprès de toi

Ce serait savoir qui aimer,

Et marcher dans tes pas ce serait vouloir te garder.

Il fait soleil, même aux alentour de minuit,

Et lorsque tu m’écris il fait grand jour

Même lorsque la lumière s’assombrit.

Je ne voudrait pour nous que des toujours

Je veux gommer tous les jamais,

Toi qui m’a inventé l’amour,

Avec toi, je ne veux plus d’après.

Roberte Colonel

(Toile de Comi-Luigi)