Tempête sur ma poésie,
Qui perturbe ma régénération,
Dois-je me soumettre à ce vent mauvais
Et que durent et perdurent
Les larmes de mes peines ?
Va pour la vie,
J’ai rêvé l’espace d’un instant
Je m’en repens.
Maintenant, seule sur la rive
Je regarde le vent disperser mes mots dans l’air.
Le ciel n’entend pas mes prières.
J’ai cru voir au delà des nues
Des oiseaux voler dans le ciel sombre,
J’ai même cru entendre le battement de leurs ailes.
Parmi les étoiles et la lune
Sous un nuage inconstant d’un vent mauvais,
Dans l’obscurité d’une mer houleuse, se répandent mes larmes.
Copyright©2023Roberte Colonel
Mes livres et mes mots douceurs. 
« Dois-je me soumettre à ce vent mauvais » ?
Non, il ne faut jamais se soumettre.
Je vous souhaite une bonne journée, Roberte.
Chère Olivia cette poésie est très imaginative puisque lorsque j’ai posé mes yeux sur l’image je fus littéralement happée par le décor qu’y se trouvait.
Ensuite les mots sont venus…
Je vous souhaite une très bonne journée.
Très beau poème et belle image. Nous avons tous en nous une étincelle pour nous faire aller de l’avant. Bonne journée. Bisous
Bonjour Georges
Cette poésie je l’ai faite en me servant entièrement de l’image.
J’étais subjuguée par les détails qui semblaient me parler.
Bon jeudi Georges.
ici la mer est d’un joli bleu et le ciel est lumineux.
Bisous