
Il y avait un secret au cœur des mots… Il suffisait de lire pour entendre et voir….et l’on n’avait que du papier entre les mains… Il y avait dans les mots des images et des bruits…la place de nos peurs et de quoi nourrir nos cœurs..
Alice Ferney

Il y avait un secret au cœur de nos mots
Dans le silence de nos nuits.
Que de paroles douces et insensées tu m’avais bercée !
Que d’espoirs j’avais imaginé dans nos nuits à nous aimer.
La douleur sourde à ses tourments a volonté,
Il y avait un secret au cœur de nos mots
Dont je n’ai pu remplacer le vide.
Des mots de feu, des mots de lumière,
Qui éclataient et brulaient en moi,
Qui jaillissaient en éclair
Et brillaient en m’illuminant
M’épanouissant comme jamais.
Je pleure cette partie de mon âme qui s’en est allée,
Me laissant dans le désarroi.
Je me cherche et je me retrouve nulle part.
Copyright©2023Roberte Colonel
C’est toujours triste quand l’amour s’en va à cause d’une maladie, d’une longue distance, d’une séparation ou d’autres raisons.
Je vous souhaite un bon dimanche soir, chère Roberte. Portez vous bien.
Je dois me renouveler dans de nouveaux thèmes, mon imaginaire fertile bouillonne d’idées ! « sourire »!
Belle soirée a vous chère Olivia.
Les nouvelles idées sont toujours bonnes, chère Roberte. Surtout dans les situations difficiles, je pense qu’il est important de se concentrer sur les choses positives qui restent dans notre vie. Peut-être les enfants ? Ou la nature ? Un jardin? Des animaux? La vie est plus facile quand nous trouvons de la joie dans ce qui est beau.
Je suis tout à fait d’accord avec vous Olivia.
L’écriture aussi loin qu’il m’en souvienne à toujours été mon refuge.
Merci chère Olivia pour vos mots de réconfort .
Merci Roberte 🙏
Merci à toi Eveline de passer me lire.
Heureusement que tu trouve refuge dans l’écriture cela aide beaucoup à surmonter tes épreuves douloureuses. Bon début de semaine. Bisous
Bonjour Georges oui l’écriture m’aide à faire face a cette maladie c’est mon échappatoire pour ne perdre la raison. Vivre au plus près de mon mari malade dans un lieu où règne différentes pathologies aussi graves que destructives, c’est difficile de garder les idées claires.
Bisous Georges