L’absence,  on essaye de l’accepter

A mon tendre mari

L’absence,  on essaye de l’accepter

De la vivre silencieusement

De s’en accommoder.

Lorsque je suis seule avec ma peine

Un  rappel ! À mon doigt depuis peu ton alliance…

Une émotion d’un toujours nous nous sommes aimés.

Ton absence désole mon cœur d’une déchirure,

Une souffrance que je ne peux partager qu’avec ma solitude

Laissant mes larmes prisonnières dans mes yeux

Dans l’infinie de ma vie.

Copyright©2022Roberte Colonel