
» Il y a deux façons de voir la vie, l’une comme si rien n’était un miracle, l’autre comme si tout était miraculeux. «
Albert Einstein
.Pour quelles raisons ce trouble et cette question a t’elle son entendement ?
Alors qu’une image précise soudaine vient s’immiscer dans mes pensées
Etre l’écrivaine, l’héroïne qui mettrait au rebus un hier inconstant,
Ecrire ma propre histoire romantique franchir la meilleure des places, sans aucun sentiment de culpabilité.
Comment cette représentation imaginaire s’est telle imposée à moi.
Un nouvel univers s’ouvre peut être à mon présent,
Laissant place au roman que j’ai souvent bâti,
Sans jamais en écrire la moindre ligne.
Il me suffit d’y penser pour glisser dans un tourbillon d’écriture
D’où il me serait difficile de sortir.
Au fil de cette errance rêveuse, le ciel s’éclaircit,
Comme si une main entrouvrait une page nouvelle de ma vie.
Serais-je- l’écrivaine d’une histoire d’un romantisme
Dont les pensées secrètes se délectent pendant que la nuit fait sa belle,
Et que l’aurore doucement s’éveille.
Dans la tourmente de mes émotions quel sera le langage de mon corps à l’appel grandissant de mon désir :
Saurais- je le décrire ?
Copyright©2022Roberte Colonel

(un blogueur en 2015 m’avait fait ce commentaire ci-dessous sur un de mes billets concernant mon imaginaire entre rêve et réalité…
« Imagination fertile qui oscille entre le rêve et la réalité. Qui sait? Il suffit de petits rien pour se réveiller aux milieux du pays des merveilles. Il suffit d’y croire. »
(Ma réponse…)
« Qui sait oui parfois moi même je ne sais. Mais mon imaginaire y croit et cela donne des idées aux mots qui s’échappent au pays des merveilles. »

« Toutes les histoires qu’elles soient personnelles ou seulement inventées portent avec elles une instruction.
Donner corps a mes personnages lorsque j’écris, lorsque je suis à la recherche de la plus mystérieuse vérité, je ne laisse rien échapper, ni de ce que je vois, ni de ce que j’entends ».
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