
photo personnelle de mon voyage au Cape won. Afrique du Sud
Parfois …
Parfois lorsque je suis près de lui je veux toujours être
Plus près encore, ensemble autant que sont le mot vent, le
mot vague, dans une poésie sur la mer.
Cela vient de ce qui grandit ou se retire qu’image et poésie
avec les vagues le vent et la mer.
Parfois, j’ai cette peur qu’il ne me touche plus.
Qu’il ne caresse plus ma peau nue de ses mots,
Qu’il ne s’attarde plus aux plis et aux courbes de mon corps
Et, que peu à peu celui ci devienne muet.
Parfois, un seul regard de lui me fait frémir de désir.
Et parfois encore cette peur qu’il ne m’aime plus.
Il est mon Sourire du matin. Il donne vie à toute chose, il
Est la raison de ma métamorphose.
Parfois j’ai cette peur qui s’empare de moi la nuit lors
qu’ouvre ses angles de lune, je cherche ses pas sur la plage
Déserte.
Parfois je l’appel dans le bruit assourdissant des
Vagues de la mer qui couvre ma voix.
Parfois…
Copyright©2022Roberte Colonel
Cette poésie figure sur mon cahier de poésie.