Parfois…

photo personnelle de mon voyage au Cape won. Afrique du Sud

Parfois …

Parfois lorsque je suis près de lui je veux toujours être

Plus près encore, ensemble autant que sont le mot vent, le

mot vague, dans une poésie sur la mer.

Cela vient de ce qui grandit ou se retire qu’image et poésie

avec les vagues le vent et la mer.

Parfois, j’ai cette peur qu’il ne me touche plus.

Qu’il ne caresse plus ma peau nue de ses mots,

Qu’il  ne s’attarde plus  aux plis et aux courbes de mon corps

Et, que peu à peu celui ci devienne muet.

Parfois, un seul regard de lui me fait frémir de désir.

Et parfois encore cette peur qu’il ne m’aime plus.

 Il est mon Sourire du matin. Il donne vie à toute chose, il

Est la raison de ma métamorphose.  

Parfois j’ai cette peur qui s’empare de moi la nuit lors

qu’ouvre ses angles de lune, je cherche ses pas sur la plage

Déserte.

Parfois je l’appel dans le bruit assourdissant des

Vagues de la mer qui couvre ma voix.

Parfois…

Copyright©2022Roberte Colonel

Cette poésie figure sur mon cahier de poésie.

Ma douce et tendre petite fille

Ma douce et tendre petite fille

Tu étais si jolie dans ta robe blanche,

Une princesse souriant à sa vie de jeune mariée.

Ton destin c’est aux Etats Unis que tu es allée le chercher

Lors que jeune étudiante tu intègres une prestigieuse Université

Un souffle nouveau va alors souffler sur tes années d’adolescente.

Lorsque tu vis Paul pour la première fois.

épris d’amour l’un pour l’autre

L’étincelle  qui a jailli de vos deux cœurs

Vous  a conduit samedi à cette union sacrée votre mariage.

Un grand jour de bonheur et de joie

Un moment de partages entourés de vos familles et de vos amis.

Nos souhaits : ceux de vous Aimer toujours.

Publié avec l’autorisation de mes petits enfants

Roberte Colonel

Un jour entendras-tu mon appel ?

Je t’offre ce texte écrit à l’encre sympathique

Poésie de mots douceurs, de mots nostalgiques.

 « En se tournant face au vent,

On sentirait l’air du  large sur nos visages,

Imagine-nous enlacés, mon ami ,

Sous le soleil strié de nuages

Que tout le soleil éclabousse.

Seule l’étendue de la mer immense de bleu

Enserre notre secret.

Imagine-nous mon ami. » 

Notre histoire est pour moi une île de tendresse,

Sans toi les étoiles ne brilleraient plus du même éclat.

Es ce si absurde que de vouloir aimer l’autre sans qu’il le sache ?

Es ce de ma faute et jusqu’à quel point mon histoire, en ce ci, du moins, devient-elle celle de toutes les

femmes quel qu’en soit l’endroit et ce même a des milliers de kilomètres.

Un jour entendras-tu mon appel ?

Copyright©2022Roberte Colonel

Photo Westerman-Arne

La dame de la nuit…

La dame de la nuit

C’est elle qu’il vient voir

À dix heures du soir.

C’est un rendez vous en rase marée

Ce n’est pas une promesse qu’il vient chercher

C’est prendre possession d’elle.

Elle n’a pas bien pu décider

La pauvre elle est sous son emprise 

Rien ne résonne encore plus loin dans sa folie.

Elle n’aura qu’un court rendez vous à hauteur de son attente,

Quelques échanges de mots qui pense-t-il feront office de calmants

Jusqu’au lendemain.

Présage marqué  de son sceau pour la dame du soir  

L’obsession de tout ce qu’elle n’a pas choisit d’être

Et pourtant elle se fond en lui, s’y replonge et s’y dissout.

Il le sait que d’un mot qu’il tire à sa volonté

A son arc-en-ciel  de rideau de pluie… elle y replonge.

Elle le sait il est le bonheur partagé à deux

Dans l’intimité de leur histoire.

Copyright©2022Roberte Colonel

Photo Pinterest

Joli mois de Mai

« Joli muguet, au mois de mai fleurit,
Pour nous charmer de son parfum de lys.
Rien n’est plus frais que ses corolles pâles
Offertes par une main amicale. »

Cloches naïves du muguet
Carillonnez ! car voici Mai !

Sous une averse de lumière,
Les arbres chantent au verger,
Et les graines du potager
Sortent en riant de la terre.

Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet !

Les yeux brillants, l’âme légère,
Les fillettes s’en vont au bois
Rejoindre les fées qui, déjà,
Dansent en rond sur la bruyère.

Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet ! »
Maurice Carême