
J’aurais :
J’aurais aimé décrire la beauté au milieu de cette laideur
dans ce monde incertain,
Trouver les mots qu’il faut pour espérer
Mais je n’ai que des mots qui séduisent les touches de mon clavier
pour vivre quelques instants fugitifs de bonheur usurpé.
J’aurais aimé écrire tout ce qui fait la beauté de ce monde amputé ;
Parler de la brise de ce printemps annoncé
des couleurs du crépuscule,
du vent du Sud
du sable doré,
des plus diluviennes sur la grande bleue.
J’aurais voulu vous parler du tableau fleuri de Monet.
Qui inspire les poètes
De parfums exaltants qui invitent les ascètes.
Alors je préfère puisque tout est chimère
Ma sagesse au délire
Poser des rires aux larmes
Délire d’une journée annoncée
Ou je brode la toile d’un espoir avoué.
Copyright©2022Roberte Colonel
Magnifique texte Marieliane, je trouve que tu as de plus en plus d’inspiration, les mots semblent couler de source pour toi . Bisous Bonne soirée MTH
Marie je suis touchée par ton appréciation.
La plaisir d’écrire me revient face que cela dure.
Je te souhaite une très douce soirée
Bisous
A reblogué ceci sur Marie des vigneset a ajouté:
Un texte magnifique écrit par Roberte Colonel, mais qui est pour moi « Marieliane »elle écrit des mots qui vont droit au coeur, Merci à Toi Marieliane pour toutes ces belles poésies, bonne soirée à toutes et à tous MTH
marie il te faut rectifier: Colonel
Merci Marie pour avoir reblogué mon texte.
Bisous
C’est super, Roberte. Bravo !
Bisous 😘
Bonsoir Colette
Merci pour ton appréciation Colette.
Gros bisous
Qu’il est magnifique ce texte et belle photo. Bonne soirée. Bisous
Bonsoir Georges
Merci pour ton compliment.
A mon tour je te souhaite une très bonne soirée.
Bisous
Bonjour Roberte
Je ne sais qu’ajouter …
Tout est si bien dit
Très belle photo, en effet
C’est quand on plonge dans le malheur
Qu’on se rend compte
Qu’on était dans le bonheur sans le savoir.
Georges
Bonsoir Georges merci pour ton appréciation elle me touche beaucoup.
C’est quand le désarrois ne laisse de place à aucun espoir que l’amitié fidèle et l’écriture sont d’un grand réconfort.
A bientôt Georges.