la mer est déchainée,
Quatre saisons je t’aime.
J’ai beau y mettre la volonté
Je perds le fil de mes idées.
Le temps s’écoule
Comment ne pas apprécier
Que derrière nos mots secrets
D’une même écriture
Sont devenus singuliers.
Irréversible revanche d’espoir
Que nos corps enlacés,
Enivrés d’un amour éffréné.
Roberte Colonel le 11/11/2019