Bribes de textes choisies en flânant sur mes poésies
Retenues où clamées un jour où il fit gris dans mon cœur.
Etais-ce en Automne ou bien étais-ce en hiver ?
Jour de douleur dans ma poitrine
Où mes mots se perdaient sur des ruines de phrases vidées de tous leurs sens.
Où je me disais qu’il y aurait d’autres qui viendraient prendre place
Pour des lendemains bien différents.
Des mots comme si rien n’avait jamais eu lieu
Ce qui se lie reste-t-il lié à jamais ?
Se délie–t-il pour être relié ?
Lié puis relié sans fin ?
On ne peut se passer de ce qui nous a liés.
Qui de nous peut dire quand exactement
Les fissures deviennent des fêlures ?
Puis se muent en gouffres infranchissables.
Nous mêmes l’ignorons, nous le découvrons qu’en nous perdant.
Roberte Colonel 28/09/2018
Quand l’oiseau rompe le lien de sa cage il ne s’en éloigne pas trop. Il tourne en rond sans savoir ce qui lui arrive. L’immensité du ciel lui fait peur lui qui n’a jamais eu l’occasion de déployer ses ailes. Heureusement que la nature reprend ses droits et que par instinct il s’adaptera au grand air et aux saisons qui qui ne se ressemblent pas. Le lien, se lier, n’est ce pas une volonté de restreindre sa liberté. Bon weekend-end Roberte.
Le lien une fois défait n’est ce pas une volonté de se délier, une façon aussi de reprendre sa liberte. De se défaire de ses habitudes, de s’en éloigner, de vivre sous d’autres cieux.
Bon samedi Charef
Tout à fait Roberte.
Bonjour Marieliane, quel texte superbe, je t’y retrouve sans mal, Bisous et bon fin de journée MTH
Coucou Marie,
Bien sûre je n’écrie que ce que je ressent et c’est en cela que tu me reconnais. Et si c’était cela l’amitié Marie se reconnaitreau travers des mots de l’autre la ressentir en prenant connaissance de ce qu’elle écrit.
Bonne fin de samedi.
Bisous Marie
Je viens de lire des billets plus anciens. Et je pense avoir encore beaucoup à découvrir. C »est tant mieux, ce dont des moments agréables….
Merci Marielianne pour tes partages, ta poésie. Bisous. Re… on va dire. A bientot3. Et au plaisir de te lire. Encore et encore.
merci Solène oui des billets écrits avec mes mots, mes états d’âmes de peine, de joies, d’espoirs.
Je veux lacher prise il le faut maintenant j’ai eu trop de blessures qui m’ont rendu fragile ma santé à en pris un coup. Alors dorénavant quelque soit le choix que je vais faire de ma vie je vais m’atteler a être heureuse.
Merci Solène d’être venue me lire.
Je te souhaite une très belle fin d’après midi.