L’horizon au loin repose
Là ou comme deux lèvres fermées
La mer rejoint le ciel azuré
D’une brise disséminée
Que balaie au vent léger
L’aurore d’un nouveau jour
Sous un ciel limpide
Au creux de ce que je sais inaccessible
Je voudrais pouvoir saisir l’horizon
Et sourire à l’aube naissant te dire
Ma foie, mon espérance
Qui dans mon cœur s’épanouit
Et suscite un désir.
J’entends ton appel venu
Du fond de l’horizon.
Il y a, ô toi dont la pensée
Me rejoint unique, et si exquise.
Roberte Colonel