J’ai fais un rêve celui d’un amour aussi grand et éternel qui embrassait l’infini en mon cœur de son nom béni je l’évoquait tendrement et sans répit.
Je voulais son amour sans fin et si fort à porter nos deux âmes au-delà des mers.
Je le voulais beau comme le ciel d’un matin de printemps.
Je le voulais sensible et doux comme une caresse de la brise caressant les vagues de la mer dans son immensité.
Je le voulais sincère, fort, pour l’étreindre tout le reste de ma vie.
Mon rêve, un rêve dans ma nuit endormie qui c’est enfuit à mon réveil dans l’aube d’un matin gris ! Roberte Colonel 27/09/2O17