La nuit sombre s’efface, les étoles s’estompent
Mon cœur vogue vers des royaumes bleus et doux,
Vers des mirages étoilés ou j’entrevois ton tendre visage,
J’ai besoin des merveilles, j’ai besoin du soleil.
A l’infini j’écris ton nom.
En marchant sur le port, je rêve a des contrées enchantées
je cherche dans l’azur un peu de cet air pur, je cherche des soleils.
D’où vient soudain ce moment magique, unique et nostalgique ?
Le bonheur est comme un frêle voilier en pleine mer
Il avait suffit d’un orage pour le détruire.
Le voile se dissipe inopiné la vie m ‘apparaît moins triste
Oh ! Non je ne rêve pas ! La mer berce mon âme de ses flots.
La vie s’écoule en moi lente et douce, je m’abandonne en elle.
Roberte Colonel 8 /07/2017