Les matins difficile de l’écrivaine…

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Parfois, il y a des matins difficiles, des matins qui annoncent des écrits arides qu’elle ne pourra contourner, parce que le travail le demande. Et parfois, elle fait la tête la, sans s’en rendre compte, parce que le passage que l’écrivaine veut écrire est ardu, mal écrit ou flou, et qu’il demande une lourde révision pour qu’elle puisse donner une quelconque clarté à ces lignes. Mais elle sait, elle qui écrit ne perdre de vue aucun détail. Elle sait que quand elle aura reconstruit, changé des mots, trouvé de meilleures formulations, le texte sera lisible. Et elle sait que si, en cette minute, le travail lui semble fastidieux par moments, dans quelques heures elle sourira, le travail accompli. Elle qui se nourrit de mots, elle dont le regard s’allume à chacun des mots qu’elle écrit, qui s’était livrée comme jamais, celle-là, l’écrivaine, n’avait pas prévu ça. Ni imaginé une seule minute que ça arriverait comme cela. Elle voulait faire vivre à son personnage un amour sans fin, elle voulait pour lui que des mots qui fasse rêvé son lecteur en lisant les phrases qu’elle écrivait parce que jamais quelqu’un n’avait su trouver avant elle des mots qui touchent à ce point. Elle qui, depuis quelques heures, doit se rendre à cette évidence que tout ce qui commence a toujours une conclusion. Et si pour l’écrivaine tout était encore à inventer ? Et si elle avait vraiment cette possibilité ou même juste celle de pouvoir croire qu’elle est encore en mesure de tout réinventer de nouvelles façons de s’exprimer, de dire le désir, est-ce vraiment possible, semble telle se demander ? L’écrivaine est elle en mesure de réinventer l’histoire ? Elle qui dans les livres trouve quelques phrases qu’elle à voulu écrire, elle qui s’attarde ici et là sur un mot, elle qui cherche constamment une nouvelle façon de dire les choses mille fois exprimées, peut-elle vraiment créer encore des suites de mots qui toucheront, qui feront vibrer, des phrases pareilles à aucune autre ? Ceux qui lisent, ceux qui en plus écrivent, n’ont-ils pas cette foi en eux de croire que tout est vraiment à inventer ? Roberte Colonel

Adieux tristesse…

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Adieu Tristesse

Bonjour tristesse

Tu es inscrite dans les lignes du plafond

Tu es inscrite dans les yeux que j’aime

Tu n’es pas tout a fait la misère

Car les lèvres les plus pauvres te dénoncent

Par un sourire

Bonjour tristesse

Amour des corps aimables

Puissance de l’amour

Dont l’amabilité surgit

Comme un monstre sans corps

Tête désappointée

Tristesse beau visage.

Paul  Eluard. (la vie immédiate.)

Ne voyez aucune tristesse en moi tout va bien.

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J’ai plaisir en ce moment à redécouvrir   l’oeuvre de Françoise Sagan  « Bonjour Tristesse » est celui qui m’a le plus marqué .

 

 

 

Sur les ailes du Temps la tristesse s’envole ; « le Temps ramène les plaisirs, écrivait Jean de La fontaine  dans sa fable La jeune veuve publiée en 1668. »

Chacun de nous, dans son existence, connaîtra ses heures heureuses suivies par des heures de tristesse : Telle est la vie pour tout le monde !

 

Il est un  proverbe chinois  qui dit : Les jours de tristesse sont longs, les jours de joie sont bien courts. Gardez le moral, et positivez !

Hier au soir…

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Hier le vent du soir, dont le souffle caresse,

Nous apportant l’odeur des fleurs qui s’ouvrent tard;

La nuit tombait; l’oiseau dormait dans l’ombre épaisse.

Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse;

Les astres rayonnaient, moins que votre regard.

Moi je parlai tout bas. C‘est l’heure solonnelle

Où l’âme aime à chanter son hymne le plus doux

Moi je parlais tout bas. C’est l’heure solonelle

Voyant la nuit si pure et vous voyantsi belle

J’ai dis aux astre d’or: vesez le ciel sur elle

Et j’ai dis a vos yeux: Versez l’amour sur eux.

Victor Hugo : Les contemplation

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Cette poésie de Victor Hugo

N’est pas de saison

Pas plus que ne l’est la rose

que j’ai plaisir a vous offrir.

Rose fleur éternel de la passion

Dans les pas de l’amour

Elle surprends les amants

A leur corps défendant

La rose s’offre a vous en toute saison .

Roberte Colonel

L’humour c’est un choix

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Un sens de l’humour bien développé est comme le pilier qui donne de l’équilibre à tes pas pendant que tu marches sur la corde de la vie. (William Arthur Ward)Blog Lali2

L’humour c’est un choix

Il déstresse ceux qui en sont pourvus.

Par principe il les rend heureux.

L’humour mets a mal le trop sérieux,

Alors je revendique et j’insiste

Avec tous les comiques

Ce petit droit a vouloir être heureuse

D’en rire c’est aussi ma survie.

Roberte Colonel

*illustration de Fernando Vicente

 

 

Rester simple vous rendra exceptionnel.

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Savoir ne pas se rendre plus important que l’on c’est une qualité rare de nos jours.

Tant de personne se donne tellement d’importance à se croire la dernière merveille de ce monde alors qu’elles ne sont qu’une toute petite chose parmi le grand univers qui nous entoure.

Pourquoi ce thème ce soir en faite? La vérité c’est que je n’en avais pas d’autre à vous proposer j’ose l’avouer avec toute la modestie qui me caractérise.

Je suis humble cela fait de moi quelqu’un de simple es ce pour autant que je serais reconnue par mes ami(es) qui me liront… comme exceptionnellement simple ?

A vous de me le dire… aille…aille !!! (rirre)

Il le faut bien rire de temps en temps et  surtout ne pas toujours se prendre trop au sérieux !

Ne m’en veuillez pas si je me suis permis de faire ce petit brin d’humour.

Roberte Colonel

La vie est un beau voyage

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La vie est un beau voyage,

La vie est belle quand on y pense

Malgré des zones de turbulences

Ont prend la vie comme elle vient

Qu’elle soit mauvaise ou bien

Qu’elle importance puis a chaque instant

Nous voyageons dans un nouvel espoir

Des recommencements avec ses joies et ses peines

Avec un rien qui nous fait sourire ou trébucher

Quelque chose qui est derrière sois

La vie est belle avec juste un peu de bonheur,

Un peu de chance, une page blanche avec

Le bleu et le gris des beaux et mauvais jour

La vie un beau voyage au  long cour.

Roberte Colonel

Tu m’as dit

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Tu m’as dit

Tu m’as dit approche là, tout prêt, et je t’ai répondu mais je suis là, tu ne me vois pas ?

Tu voulais que dans tes bras je survole la mer.

Tu voulais que nous partagions ensemble l’immensité du ciel.

Je t’ai suivi tout là haut d’où l’on commençait à voir pointer une légère clarté.

Pas une étoile ne brillait au firmament du petit jour.

Dans le ciel on n’apercevait rien d’autre

Que des merveilleux nuages dorés

Qui se déplaçaient sous l’effet du vent léger.

Dans le ciel, tendrement nous nous sommes enlacés

Grisés par le bruit des vagues et le vent qui s’élevait au dessus de la mer.

Émerveillés par la beauté qui nous entourait nous avons dansé, dansé !

Il n’y avait que toi et moi enveloppés dans les nuages de ce petit matin glacé.

Nous aurions voulu pour tous les deux que cela dure une éternité.

Hélas, il me fallut bien me réveiller et revenir à la triste réalité

Ce n’était qu’un joli rêve doré que j’aurais aimé voir se réaliser !

Roberte Colonel

(Photo José-Valentin- Fabre de Valras-Plage)

 

L’Imaginaire… c’est aussi une poésie

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L’imaginaire

Je suis tombée dans ce monde dès ma plus tendre enfance et très vite j’ai appris à construire, à donner corps a des histoires que je m’inventais.

Et, grâce a cette faculté que possède mon esprit je me représentais des images irréel : Fictif, légendaires qui n’existait que dans ma propre imagination.

Aussi loin qu’il me souvienne j’ai toujours eu cette faculté d’imaginais que ce qui m’entourait été moins noir, moins anxiogène si j’y mettais des couleurs.

Je suis rêveuse , parfois mon imagination fait que j’imagine aisément des situations imagées, des chimères, des rêves en pure imagination.

L’imaginaire

Pour certaine personne l’imaginaire sa peut être aussi désespèrant car il n’existe que dans sa propre imagination : « Le malade Imaginaire » pièce historique de Molière en est l’exemple. (Roberte Colonel)

L’Imaginaire… c’est aussi une poésie

C’est avoir des couleurs dans sa tête…
Et les déposer…
Des mots, des phrases, un texte…
Et les écrire…
Une note, une gamme, une mélodie….
Et la composer….
Une épice, une sauce, un plat….
Et cuisiner…
Une terre, une graine, de l’eau….
Et jardiner….
Une main, une écoute, un sourire….
Et éclairer….
En fait, ces étoiles dans ma tête s’expriment…
L’imaginaire, c’est un conte d’amour raconté par le cœur…
Mon Cœur M’aime… (Catherine Jean)

 

Mercie à Symphonie des sentiments

Lire un roman qui vous emporte …

 

 

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Lire un roman qui vous emporte écrits  a deux mains de Roberte Colonel et Charef Berkani une nouvelle que vous ne pourrez pas lâcher, que vous essaierez de faire durer comme un plaisir toujours reconduit restera un des grands bonheurs de votre vie de chaque jour

Passion sur Internet

Les effets naturels d’une extrême amitié… Les oiseaux n’ont-ils jamais chanté comme cette année ? Ont-ils été aussi présents par le passé ? Marie se le demande, alors qu’éveillée bien avant le soleil, elle les entend d’un arbre à l’autre faire leurs vocalises dans le noir de la nuit. Elle se rend compte que sûrement ils ont toujours été là, plus discrets, attendant leur heure pour la rendre complice du jour qui pointe déjà à l’horizon. Elle attend, comme chaque matin, de voir le soleil briller de mille étoiles sur la mer. Et ce matin, un roulis sans fin de vagues et d’écumes n’arrive pas à troubler la mélancolie qui s’est emparée d’elle.

À quoi rêve-t-elle ? Rêve-t-elle aux blessures dont on ne guérit jamais vraiment tout à fait ou se laisse-t-elle bercer par d’heureux souvenirs qui prennent le pas sur tout le reste ? Cela fait des années qu’elle se complaît dans l’écriture de courtes nouvelles qu’elle range soigneusement dans un classeur. C’est sa thérapie, son monde à elle. Toutes ses journées s’écoulent interminables et sans joie. Cependant, elle aime à se réfugier dans sa passion. Là, où elle se sait être en sécurité, là où rien ne peut venir interrompre sa solitude. Marie n’écrit jamais de nouvelles scandaleuses, jamais de mots violents. Elle veut que les personnages de ses fictions lui ressemblent. Pourquoi se contente-t-elle de vivre dans cette douce torpeur ? Finira-t-elle par comprendre que sa solitude n’est autre qu’un besoin de se préserver des soucis du dehors ?

Lorsque Marie vit la photo de cet homme sur les pages de son blog, le temps s’arrêta. C’est lui se dit elle ! Qu’elle dure une minute, une vie, une nuit, la rencontre qu’elle fit avec cette photo fut magique. Elle se dit qu’au-delà de la séquence émotion, quand on rencontre l’autre on se raconte toujours une histoire !

Les comportementalistes le disent : « c’est lors du premier échange que se mettent en place les ferments de l’idylle. Une rencontre, c’est toujours une part de soi qu’on retrouve dans l’autre. »

Bref, tout s’était joué dès le départ par la découverte de cet homme sur la photo. Elle en était bouleversée. Depuis bien longtemps Marie n’avait connu une pareille émotion. Une vague de bonheur la submergeait. D’ordinaire, l’émotion prenait le pas sur sa volonté et l’empêchait d’avancer. Elle savait d’ores et déjà aujourd’hui qu’elle mettrait tout en oeuvre pour gagner le coeur de cet homme. La venue d’Augustin sur son blog allait changer le quotidien de sa vie… elle en était certaine. Depuis quelques semaines déjà, il venait régulièrement chaque jour commenter ses écrits. Marie attachait de l’importance aux billets laissés par ses ami(e)s et elle n’avait accordé aucune attention particulière à ceux d’Augustin. Jusqu’à ce jour de février, où, elle découvrit son portrait.

Elle en fut si bouleversée que son coeur s’était emballé. Les textes de poésie qu’il écrivait sur son blog étaient stylés. C’était un vrai poète ! Quel intérêt pour cet homme de venir la lire, alors que ses écrits à elle, lui semblait très ordinaires ? Chaque matin, elle se posait sur ses pages, écrivait un nouveau billet espérant qu’il la gratifierait d’un nouveau commentaire. Elle devenait friande de ses mots. Puis, sans y prendre garde, elle s’était mise à penser souvent à lui. Qu’avaient-ils donc en commun se demanda-t-elle ? Peu de chose sans doute. Par deux fois, elle Passion sur Internet

voulut savoir ce qui le motivait à venir la lire ? Il lui répondit avoir aimé sa façon de commenter les billets chez une de ses amies et de là, il était venu voir ce qu’elle même publiait.

Elle s’imprégnait de ses commentaires, les lisait, les relisait. C’est ainsi, que très vite, Marie s’était éprise d’Augustin. Elle aurait aimé lui dire qu’elle n’était pas indifférente à ses écrits très amicaux qu’il lui laissait sur ses pages de son blog. Elle espérait maintenant qu’en venant la lire si fidèlement, il finirait par comprendre que ses sentiments à elle allaient bien au-delà de l’amitié. C’est ce qu’elle espérait ! Ainsi se décida-t-elle à lui écrire sa plus belle page :   « Ce soir, la mer est si jolie ! La lune se mire sur l’eau salée lui donnant des reflets d’argents »

A découvrir disponible  sur Amazone. com et en  librairies.

 

Le cœur à ses raisons

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Le cœur à ses raisons.

Désormais j’ai vieilli

Je ne perçois plus ma vie

Comme un jour de pluie

Devant mes souffrances

J’ai tiré ma révérence

Ainsi va la vie.

Derrière mon sourire

Au-delà du temps

sous les nuages et le vent

Je connais de merveilleux moments.

Tourner les moulins à vent

Qu’importe le temps,

Sublime et troublants instants.

Que passe le temps

Que tournent les moulins à vents

Qu’il pleuve ou qu’il fasse vent

Mon cœur à ses raisons

Pour n’aimer qu’avec passion.

Roberte Colonel  (image minibouts.canablog.com)

J’écrivais des silences..

 

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« J’écrivais des silences, des nuits, je notais l’inexprimable. Je fixais des vertiges. (Arthur Rimbaud) »

J’écrivais la nuit nul ne le savais même pas toi mon amour.

J’écrivais l’inexprimable besoin de t’aimer au grand jour.

J’écrivais mes désirs ceux que je te réservais dans mes silences.

J’écrivais des vers pour te dire combien déjà tu me manquais.

J’écrivais la nuit ma déception de te savoir dans les bras d’une autre.

J’écrivais mon tourment que tu puisses lui dire nos mots si beaux.

J’écrivais notre bonheur passé, notre futur incertain.

J’écrivais sans tabous la dure leçon de la passion.

Roberte Colonel

 

Il est venu de si loin…

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Il est venu de si loin…

Il a franchi la mer balotté par les vagues qui mouillait ses pauvres aillons qu’il portait encore sur lui.

Pour toute richesse, il n’avait qu’ un petit ballot contenant les quelques souvenirs de sa vie d’avant.

Pour son voyage lointain il avait emprunté de l’argent afin de payer le passeur qui louait son radeau de fortune à des centaines de pauvre gens.

Il voulait fuir la misère pensait –il. Il voulait trouver de ce coté ci son bel el dora do

mais au cours de la traversée celui ci s’échoua en mer.

Les vagues empotèrent avec elles des centaines de ces compatriotes.

Lui, il s’accrocha de toutes ses forces à la coque du bateau qu’il serra si fort qu’il ne pouvait plus sentir ses doigts endoloris.

En quittant son pays de misère il avait fait un vœu qui le transcendait et lui donnait du courage.

Il ne pouvait pas se laisser engloutir, il fallait à tout prix qu’il réussisse a gagner le rivage.

Dans son pays la bas on le lui avait souvent répété qu’en France il serait respecté, qu’il trouverait du travail.

Il avait fini par croire que sa vie serait meilleur de ce coté ci de la mer. Il choisit donc de rejoindre ce pays du bien être pour trouver sa place, il ne devait pas se démoraliser il y arriverait.

Il luta Jusqu’à l’épuisement  pour atteindre la côte, et ce répéta comme un leitmotiv qu’il serait heureux dans ce pays des libertés ou chacun peut entreprendre, ou chacun a sa place dans une juste société.

Il adressa une prière à son Dieu de bonté de l’aider d’avoir la force de tenir bon, de ne pas flanché. IL senti sur lui la brise du vent léger qui le poussait doucement vers ce monde meilleure, un monde de liberté.

Il continua à nager… longtemps… jusqu’au moment où trop épuisé il s’échoua  fatigué sur le sable mouillé.

Il s’endormit.

A son réveil il sentit dardé sur son corps éreinté les rayons du soleil. Il regarda le ciel et se dit qu’ici quelque soit la couleur de la peau des hommes, ce petit coin de ciel bleu appartenait à tout le monde… sans distinction de race ni de religion.

Roberte Colonel

 

Ecrire la première page d’un livre

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Ecrire c’est nager très longtemps, nager page après page sans jamais regarder le rivage de l’impossibilité. (Antoni Casas Ros)

Ecrire la première page d’un livre c’est penser, composer, imaginer …

Ecrire un livre c’est un petit jardin ou chaque jour je dépose mes mots qui couvriront mes pages d’histoire tendres mais aussi parfois si tristes qu’elles font pleurer.

J’écris j’en suis le compositeur et l’histoire est symphonie il faut qu’elle soit belle pour toucher les coeurs. Parfois elle sera de joie, en d’autres moments elle sera de peine mais une histoire est la vie.

Je compose, j’assemble sur mon clavier de doux mots, que je fais valser de joie ou pleurer de tristesse. Je tisse avec mes mots une relation intime, un bonheur à nul autre tant est puissante entre nous notre relation.

Je craies des personnages à mon images toujours romantique a souhait. Lors que parfois l’un de mes personnages doit mourir ma peine est si grande qu’il me faut plusieurs mois avant que ma décisions lui soit fatal !

Je vis avec mes mots des moments très intimes.  Il m’arrive que mes mots servent à dessein une fiction sentimentale.

Je craie  mes personnages de toute pièce et dans ce cas bien évidemment j’en tombe amoureuse !

Je m’éternise sur le manuscrit.  Je n’aime pas poser le mot fin.

Ce mot est la fin du rendez vous au quotidien qui me reliait  a mes personnages, chaque jour. Je vivais avec eux des moments privilégiés qui m’unissait à leurs histoires, à mon histoire.

Ecrire le mot fin me dépossède de mes personnages de fiction et me plonge dans une profonde solitude qui peut durer jusqu’à plusieurs semaines. Roberte Colonel

Les images ci dessus sont celles de mes dédicaces.