Gentil coquelicot mes dames…

 

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Symbole d’ardeur fragile, dans le langage des fleurs, le coquelicot signifiera:  » Aimons-nous au plus tôt. Le coquelicot annonce aussi une promesse de loyauté et de fidélité, malgré le côté éphémère des sentiments et de la beauté qui passe, les noces de coquelicot annoncent huit années de mariage. Dans le langage des fleurs, le coquelicot exprimera également un désir de quiétude et de réconfort. Le coquelicot  symbolise « l’ardeur fragile » l’apaisement, le repos.

Cher coquelicot tu restes un de mes plus merveilleux souvenir d’enfance avec cette ronde enfantine :

Gentil coquelicot mes dames

Je descendis dans mon jardin

Je descendis dans mon jardin

Pour y cueillir du romarin.

Refrain :

Gentil coquelicot, Mesdames,

Gentil coquelicot, nouveau.

J’en avais pas cueilli trois brins

J’en avais pas cueilli trois brins

Qu’un rossignol vint sur ma main.

Refrain

Il me dit trois mots en latin

Il me dit trois mots en latin

Que les hommes ne valent rien.

Refrain

Et les garçons encore bien moins

Et les garçons encore bien moins

Des dames, il ne me dit rien.

Refrain

Des dames, il ne me dit rien

Des dames, il ne me dit rien

Mais des demoiselles beaucoup de bien.

Refrain.

 

Amour ! quel est le + important? Amitié!

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Il est des amours comme des amitiés, parfois lorsque l’on se quitte on ne peut le faire qu’avec difficulté.  J’ai besoin de ton épaule pour y déverser mon trop plein d’amitié puisque que d’amour je ne puis plus parler. Je peux me passer  de ton amour si je garde ton amitié. Mais es ce si facile que je l’imagine ? Amour, Amitié deux mots commençant par la même lettre comme c’est étrange! Es ce que l’Amour serait si proche de l’Amitié que je n’y ai pensé ? Les poètes clament souvent ces deux mots : Amour, Amitié. C’est peu dire que ces deux mots se confondent parfois. Lorsque l’un déserte, l’autre prend place.  Et vis versa !  Quand le A de l’Amitié est si grand  il laisse dès lors sa place  au grand A de l’amour.  Comment reconnaître le grand A de l’amitié si proche de celui du grand A de  l’amour ? J’ai beau tourner dans tous les sens mes deux grands A que je m’y perds. Amour, Amitié comment puis je faire pour ne plus vous confondre ? Laisser filer le grand A de  l’amour qui n’est plus, et accepte  celui du grand A de l’amitié qui va le remplacer. Voilà, l’ultime solution c’est qu’ il sufisait simplement de savoir  les séparer.

Roberte Colonel

L’amitié est le seul sentiment plus fort que l’amour, même s’il ressemble à l’amour dépouillé de l’attirance physique. (Nicolas Hulot)

La vie est devant moi…

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Je m’absente pour une semaine de vacance. A très bientôt de vous retrouver.

La vie est devant moi comme un éternel printemps avec de nouveaux vêtements et brillant.
~ Carl Friedrich Gauss

« La guérison est le voyage. La destination est toi-même. »

« La pleine reconnaissance de tous les différents aspects de vous-même votre joie, votre tristesse, votre douleur, votre plaisir-tous vont vous conduire à la source de qui vous êtes.

Seulement en ayant des relations intimes avec cette source elle seule peut te faire découvrir la plénitude de ta vie. Seulement en apparence sans peur dans ce que tu peux embrasser le paysage de ta vie et t’ouvrir complètement à tout l’amour et la compassion qui vit à l’intérieur de toi. »   ~ Philip berk…

(cette citation copièe sur le blog de Simone Prilongan)

Image:  https://www.facebook.com/%E0%A5%90-Nature-Heals-Nature-Reveals-%E0%A5%90-729612107082182/?fref=nf:

 

Derrière chaque déception…un nouvel espoir de recommencement.

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« Derrière chaque déception, chaos ou échec se trouve un nouvel espoir de recommencement.  »

Et soudain, un orage creva sur la ville et sur la mer. Claire se réfugia dans un de ces abris de terrassiers en bordure de la place de la République. Elle n’était pas seule dans la baraque. Des ouvriers du chantier l’y avaient précédé, cinq en tout, et Claire sortit son paquet de cigarettes achetées le matin même sur la place de la République. Elle en offrit autour d’elle, poussée par un besoin confus de se sentir à l’aise devant ses visages qui l’observait dans l’ombre tous les hommes sauf le plus jeune s’étaient assis sur des madriers, en attendant la fin de la pluie. Quelqu’un lui demanda :

– Vous n’êtes pas d’ici ?

– Non, de Paris !-

– Ah ! Paris…dit la voix comme s’il avait cité un pays exotique, une contrée fabuleuse.

Mais Claire fut heureuse de cet intérêt, elle éprouva un sentiment qui ressemblait à de la reconnaissance, elle eut envie de parler d’elle, de convaincre ses compagnons de hasard qu’elle était digne de leur estime, de leur amitié !

De nouveau elle avait peur. Peur de cette solitude marécageuse dans laquelle, elle allait replonger.

Lorsque la pluie cessa, les hommes sortirent, reprirent leur place dans la portion de chaussée qu’ils défonçaient. « Attention travaux ! » Délavée la plaque noir et jaune luisait. Elle s’arrêta au coin de la rue posa un denier regard en direction des ouvriers. « Vous n’êtes pas d’ici ? » Non ni d’ici ni de nulle part ! Elle se souvenait de la voix grave, fraternelle, qui lui avait posait cette importante, cette décisive question, mais sur l’instant elle n’en n’avait pas compris le sens caché, le sens véritable. Convaincue de n’être jamais au bon endroit elle sentait au fond d’elle même qu’elle n’était de nulle part et que c’était son destin à elle que d’être toujours redevable à ceux qui l’approchait. Rien ne se passait jamais comme elle l’avait souhaitait, ni projetée, et aujourd’hui son amour pour Pierre venait de voler en éclat. Elle se souvenait encore de ses nuits ou il venait la retrouver, de son halètement dans le plaisir, de cette respiration précipitée qui était comme la respiration même du monde avec ses soleils solitaires, tournant dans l’épais velours de leur éternité.  Elle se disait que certaine nuit elle avait eu tellement envie de lui qu’elle se tournait, se retournais dans ses draps, qu’elle allait même sur la terrasse avec l’espoir qu’il serait là en bas, et qu’elle n’aurait qu’a l’appeler pour qu’il la prenne dans ses bras. Jamais un homme ne l’avait attiré ainsi soumise aux caprices de son amour dont l’étrangeté même la subjuguait.

Cet aveu la laissa désemparée comme s’il lui donnait conscience de vivre dans un monde inventé, sans fondations réelles et qui pouvait se renverser au premier choc.

Texte Roberte Colonel

Libellule…

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Libellule,

En te voyant toute belle

Blanche dans ta robe azur

Aussi légère que le vent

Tu es venue te poser sur ma main.

Tu m’as dit que la vie était belle,

Que si je traversais une mauvaise période

De ne pas me laisser abattre,

De ne pas tomber

Dans une quelconque addiction.

Nymphe parmi les nymphes

Tu voyais en moi mon potentiel,

Ma capacité à réagir.

Il me fallait juste croire en moi.

Gardienne de mes rêves

Tu passes ton temps sur l’eau.

Tu virevolte sur les roseaux,

 Sur les nénuphars.

Tu es si belle et si légère

 Tu embellie le paysage.

De tes ailes de dentelle

Tu me délivre ce message :

Accomplir ce que je désir

Vivre ma vie.

Laisser passer le monde frivole

Changer la scène et le décor,

Ne plus laisser mon esprit s’égarer

Dans des chimères dorées.

Libellule reprend tes ailes azurées,

Moi j’irais sous un ciel plus frais

Et plus léger,

 Je suis, à ce jour, apaisée.

 Roberte Colonel

Image et inspiration:http://www.divinatix.com/superstition/les-pouvoirs-libellule/

N’ignore jamais une personne qui t’aime…

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 N’ignore jamais une personne qui t’aime,
Une personne qui s’inquiète pour toi,
Une personne qui t’ouvre tout grand son cœur,
Car un jour tu te réveilleras et te rendras compte
Que tu as perdu la lune en tentant de compter les étoiles.

L’amour est douloureux

parce que le bonheur est intimement lié à la souffrance…

L’amour ne veut pas la durée, il veut l’instant et l’éternité…

Je ne t’aime plus es ce la vérité ? Mensonge tu le sais.

Dans le sombre d’un mensonge en réalité

Se balance une tristesse excessive

 Alors qu’un fil nous retient encore relié

 même lorsque la trahison

Et la déception est commise.

Pourtant, un amour fort arrive à pardonner.

Il  dépend de l’intensité de l’amour

Et de l’aveuglement à aimer.

On peu, ne plus s’aimer d’amour,

Simplement d’amitié toujours.

« Roberte Colonel »

Ephémère…

1d93c7d34cf0267b67900adfc4c5dbb6Oh ! Combien   l’amour est éphémère.

D’ombre, d’illusion,  d’espoir, et de chimères.

Ces souvenirs qui  sont évanescent

disparaissent graduellement.

Ils deviennent flous, insaisissables, éphémères.

Les grands bonheurs,

Sont pires que les grands malheurs.

Cet amour que l’on voulait éternel

N’emporte avec lui  que le souvenir de bonheur.

Au-delà du temps, les serments

Qui brillaient de milles éclats dans le firmament

Ne  Subsistent  plus.

La force des sentiments  s’effaceront sous l’effet du temps

Ainsi va la vie, une succession de faibles étincelles

Qui disparaissent et meurent à  l’instant même où elles naissent.(Roberte Colonel)

Inspiré d’une poésie de Ernest PARDO :Vie éphémère et sentiments éternel

 

Mais quel est c’est autre que je ne suis pas…

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« Mais quel est c’est autre  que je ne suis pas ? »

Lui –  Tu es mon soleil ! Lorsque tu apparais  dans cette pièce la lumière réchauffe mon cœur. C’est chaque fois pareil.  Je n’osais te  dire que je t’aime depuis tant d’années.  Te savoir à un autre je me fait violence pour ne pas t’arracher à ses bras. J’aime te respirer lorsque chez moi  tu viens te faire soigner. Et pour  un instant je suis au paradis. Il est toi et moi et je crois bien que je perce tous tes secrets. J’aime ton regard si droit à la fois si triste et si bon. Te serrer dans mes bras je n’ose. Miroir des émotions lorsque tu te tiens allongée sur la table d’auscultation si près de moi et que mes yeux  scrute tes yeux,   j’entends battre ton cœur si fort que  je m’inquiète.

Elle – Tu prends mon visage entre tes mains, tu cherches mes lèvres et  dépose un tendre  baiser, tu  me demande  pourquoi  je me refuse à Toi ?

Lui – Dis-moi  ma douce ce qui te retient de m’aimer ? Tu en aime un autre n’est ce pas ? Et pourquoi pas moi ? Je t’aime et je respecte ton choix. Nul ne peu forcé l’autre à l’aimer.  J’ai eu si peur de te perdre que lorsque tu fus opérée je voulais que tu saches combien je t’ai aimée, combien je tenais à toi.

Elle –  Tendrement tu m’as regardée  puis tu m’as donné un doux et dernier baisé brûlant sur mes lèvres. J’aurais dû te le dire qu’avec toi  je ne pouvais pas aller plus loin.

Mon cœur outragé  ne sait  plus aimé.

Roberte Colonel

Blanche comme les pages de ce livre…

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Blanche comme les pages de ce livre étrange

Qu’on écrit dans le silence de nos mémoires

Entre blessures et mots qui nous dérangent

On rature les lignes pâles de notre histoire

On jongle avec la vérité si souvent

On se dit les choses qu’à peu près

Des je t’jure qu’on lance tendrement

En se regardant comme si on s’aimait

Puis juste avant de partir en voyage

Effacer mon prénom de tes mots

Dire que tout n’était qu’un mirage

Me dire que je ne suis  que sotte

On ne s’aimait pas autant qu’on la cru

Il nous restera tous les « si on avait su »

 Inutiles et sans importance.

Poésie déjà publiée sur mon blog le 5/12/ 2014

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Chaque jour, la Vie vous offre une page blanche dans le livre de votre existence.

Votre passé est déjà écrit, vous ne pouvez le changer ; dans ses pages vous retrouverez votre histoire, quelques pages sont coloriées d’autre sont plus sombres…

De beaux souvenirs des temps heureux ou des pages que vous désirez arracher à tout jamais…

Aujourd’hui vous avez l’opportunité d’écrire une nouvelle page.

C’est à vous seul d’en choisir les couleurs, même dans les adversités vous pouvez ajouter des rayons de sérénité pour les changer en une belle expérience.

Aujourd’hui… Comment écrirez-vous votre journée ?

Tout dépend de votre optimisme et de votre volonté de transformer la page d’aujourd’hui, qui fera partie des souvenirs de demain…une page qui peut-être sera thésaurisée dans vos beaux souvenirs…

Si l’on vous révèle qu’il vous reste quelques temps à vivre !!
Que feriez-vous ?

Sans doute vous feriez la paix avec Dieu et avec ceux qui vous entourent, vous apprécieriez les rayons dorés du soleil, la brise douce, l’amour et l’affection de certaines personnes et les nombreuses bénédictions que le Seigneur nous donne que nous considérons, parfois comme acquis.

Appréciez ce jour nouveau ! Rappelez-vous de toutes les bonnes choses de votre vie, vivez chaque heure avec acclamation, en lui donnant votre meilleur.

Ne faites pas du mal à d’autres et soyez heureux d’être vivant et capable de donner un sourire et offrir une main aidante….

Il n’est jamais trop tard pour changer le cours, commencer à nouveau en écrivant de nouvelles pages fraîches de bonheur et de paix dans le livre de votre vie !
Remerciez Dieu de Son cadeau d’Aujourd’hui, pour l’opportunité de transformer ce jour en une belle nouvelle page dans le livre de votre existence.

Souvenez-vous que malgré les malheurs, problèmes et difficultés c’est à vous de décider comment vivre le présent…

… comme si c’était votre premier jour, comme si c’était le dernier…Le seul jour dans le livre de votre vie !

Texte Auteur inconnu.

© 2015, Le Jardin de Joeliah. Merci de citer la source : lejardindejoeliah.com

Des souvenirs et des mots…

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Des souvenirs et des mots

Voilà une heure, une heure, au moins, que cherchant des mots, imagés, des mots essentiels, pour commencer une phrase, juste pour le bonheur d’écrire. Je ne savais pas comment j’allais débuter l’histoire, mais l’intuition me viendrait c’était une certitude.

Des souvenirs et des mots qu’on tait, curieux souvenirs qui nous assaillent au détour d’une phrase. Puis les souvenirs. Mots enfuis, mots au fond des souvenirs que je dois débusquer où ils se trouvent. Faire de l’écriture une passion, ma passion. Et voila que les mots s’échappent, remontent des profondeurs. Je dois les attraper, les mettre en phrases avant qu’ils se défilent.cropped-poemes-amitie.png

– « Un Jour, il y a longtemps, quand elle ne savait pas encore qu’ils cesseraient  de s’aimer elle avait jeté au détour d’une phrase qu’elle ne pourrait aimer aucun un autre homme que lui. Il s’était mis à rire. Puis il s’était demandé ce qu’il adviendrait alors de leur amour . Une certaine mélancolie, parfois nostalgique, des heures d’enchantements, une tristesse.  Probablement qu’il y aura certains jours en lui, en elle, un besoin de trouver quelque chose qui manquera inéluctablement à sa vie, à la sienne … Elle aimerait dire que ce fut un rêve ineffaçable, un temps irréelle et magique où il n’y à ni remords, ni regrets mais une miraculeuse histoire …. »

( texte Roberte Colonel)  (Peinture Goedhart- Catherinus-Adriaan)

– Texte prémonitoire paru sur mon blog le 18/10/2013, a ce jour une images a été posée et quelques mots ont étaient modifiés.

 

Tu étais mon amour,

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Tu étais mon amour,

Mon rendez vous de Chaque jour.

Nous élaborions  les projets les plus fous.

Nous nous aimions par de la les vagues

Et notre amour était fou.

Il n’y avait eu entre nous que des toujours

Mon tendre amant, tu n’avais que tes mots

Pour combler ton absence  et mes manques.

Je croyais en tes mots. Puis, un jour de pluie

Tu n’eus pour moi que peu d’indulgence

Au détour d’un chemin j’ai subis ton mépris.

Puis très vite j’ai compris

Que pour l’attrait de ton ancien où nouvel  émoi,

Avait Sonné l’annonce décisif du mot fin pour moi.

Roberte Colonel

 

Le papillon qui n’arrive pas à sortir de son cocon

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Un homme qui se promenait vit un cocon dans un petit trou. Il s’arrêta de longues heures à observer la chrysalide, devenue papillon, qui s’efforçait de sortir par ce petit trou. Après un long moment, le papillon semblait faiblir et lui donnait l’impression qu’il allait abandonner. L’homme était convaincu que le jeune papillon avait fait tout ce qu’il pouvait pour sortir de ce trou, sans succès. Alors, il décida de l’aider : il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt mais son corps était maigre, faible et engourdi, ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine. L’homme continua à l’observer, pensant que d’un moment à l’autre, les ailes du papillon s’ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu’il puisse prendre son envol.

Il n’en fut rien ! Et le pauvre papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries.Jamais il ne put voler.

Ce que l’homme, avec son geste de gentillesse et ses bonnes intentions, ne comprenait pas, c’est que le passage par le trou étroit du cocon un stade indispensable qui permet au papillon de se renforcer suffisamment pour sortir de façon autonome du cocon qui l’enveloppait. Cet effort est vital pour que le papillon puisse développer ses ailes pour pouvoir voler.

Il nous arrive à tous de nous trouver dans notre  » cocon  » ou de voir nos amis dans cette même situation symbolique. Enveloppé dans les  » soucis « ,  » épreuves  »  « ruptures » « problèmes » , nous pouvons tous en ressortir plus forts.

Il y a un deuxième axe dans cette histoire : Parfois nous voulons, avec toutes les bonnes intentions du monde, porter le fardeau des autres ou trouver les solutions pour les autres. Si, bien entendu, ceci est motivé par l’amour qui vous anime, l’épreuve devra quoi qu’il soit être surmontée par la personne que vous voulez aider ou soutenir. Vous ne pourrez jamais le faire pour l’autre. Vous ne pourrez jamais prendre la place de l’autre.
Au final, ce sont les personnes concernées qui vont devoir eux-mêmes se sortir de ce qui les touchent. Pensez à toutes vos adversités… C’est vous qui avez dû les surmonter, leur donner du sens, traverser un champs de diverses émotions et humeurs, surmonter le découragement,… Et au final, lorsque vous avez mené ce combat, vous en êtes sortis plus fort et parfois, avec le recul, une fois l’épreuve surmontée ne vous est-il jamais arrivé de penser « au fond… ce n’était pas si dur que ça… »
Ce qui vous a formés, rendus plus forts, c’est la travail que vous avez dû fournir pour vaincre, ou donner du sens à cette épreuve.
Au mieux, nous pouvons encourager, motiver, soutenir, offrir notre présence…

Aussi douloureuse que soit l’expérience, elle renforce toujours laceux qui la surmonte ! Nous sommes tous témoins de ce principe fondamental : nous avons tous nos plaies de la vie et elles témoignent que nous avons gagné plusieurs batailles ! Nous sommes tous capables de sortir de notre cocon !

30 Août 2014 , Rédigé par Michel POULAERTPublié dans #Métaphores

NB/ Mille merci a cet auteur pour ce texte que j’ai plaisir à partager avec vous car nous.sommes tous capables de sortir de notre cocon  !

 

J’ai écris ton nom sur le sable…

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Les mots de poètes sont beaux. Ils écrivent avec passions, sans chercher à cacher leurs sentiments.

J’ai écris ton nom sur le sable, mais la mer l’a effacé. J’ai gravé ton nom sur mes pages blanches mais le vent les à soulevées. J’ai gravé ton nom dans mon cœur il y restera a jamais…

A toi…

Amour

Amour, il apparaît un jour sans s’être annoncé

Il épouse les contours, d’un doux visage aimé.

Il donne à la vie des saveurs de frisson,

Il frôle la folie, quand il devient passion.

Bouleversant l’existence de ceux qu’il a choisis

Imposant sa violence, il banni l’ennui,

Détruit l’indifférence, anéanti l’oubli.

Ses victimes consentantes

Voient s’éclairer leurs jours

Dans un monde fait d’amour.

Roberte Colonel

Poésie mise en lignes sur ce blog le 31 Mars 2015

 

 

Le virtuel et le chocolat !!!

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Le virtuel et le chocolat !!!

Le  « j’aime virtuel » n’est il que virtuel ? Comment savoir si l’internaute avec lequel vous devenez ami est réellement la personne  dont l’image vous à séduit ? Son image vous a conquis mais est elle vraiment réelle ? Qu’est ce qui vous prouve que la personne que déjà vous idéalisez est bien celle qu’elle (qu’il) prétend être ?

Doit ton faire confiance à une photo, à une image ? Et si vous vous étiez trompé ?  Vos échanges de « j’aime » celui qui vous viens du cœur a qui d’autre pourrait il s’adresser ? Certains internautes se cachent de peur d’êtrse reconnus derrière des fleurs, où toutes autres images qui les rendent impossible à identifier. Vous allez croire que je ne vais pas bien pour aborder un tel sujet… Non,  tout va bien.

Alors qu’avec mon amie non virtuelle nous échangions sur le petit monde d’Internet elle me fit remarquer qu’elle ne comprenait pas que l’on puisse aimer d’amour un ami virtuel que l’on n’a jamais vu. Elle prit comme exemple le chocolat dont elle raffole ! D’après elle, elle ferait n’importe quoi pour ne jamais en manquer. Il est pour elle, sa douceur, sa gourmandise, son amour ! Pourquoi mêler ici ma meilleure amie et son amour pour le chocolat ? C’est que son amour pour le chocolat est bien réel. Elle me fit remarquer que l’on ne peut aimer jusqu’à la folie un (une) internaute que l’on n’a jamais vu.Résultat de recherche d'images pour "tablette de chocolat" – « J’adore le chocolat me dit elle lorsque je vois une image d’une tablette de chocolat cela ne me fait pas saliver, je trouve l’image jolie mais je n’ai pas envie de la déguster. Ce que j’aime c’est sentir l’odeur du chocolat que j’ai entre les mains. C’est déraisonnable d’aimer une image. Puis elle me donna cette raison : – « Toi, Comment peux-tu concevoir que deux personnes qui se rencontre sur le Net peuvent s’aimer sans jamais s’être vu, s’être toucher, comment concevoir cela pour moi c’est impossible? » J’ us beau argumenter je n’ai pas pu la convaincre que cela peut être possible et que de plus cela existe réellement.

Comme elle est réellement ma grande amie et que je tiens beaucoup a son amitié nous en sommes restées chacune avec nos certitudes.  (Roberte Colonel)