« La rareté des lieux où l’on peut ouvrir son cœur est bien réelle.Ouvrir son cœur, pour moi, cela veut dire aux autres et à soi-même, écouter et comprendre, apprendre et parler. Porter en ce lieu la conviction que la vie a un sens et essayer d’y voir un peu plus claire. »
(François Galliot, août 1996, un instant de réflexion face à la mer.)
Il avait était mon cher éditeur . Nous avions lui et moi, une amitié réciproque. Il édita mon livre » Le Sac à Dos » Nous nous écrivions très souvent pour le besoin du livre puis en toute amitié. Atteint d’un cancer il n’y eut pas un jour que nous échangions un petit mot et en ce qui me concernait un mot de réconfort. Avant son grand départ il me fit lui promettre de toujours écrire. ce message est le dernier que je reçu de lui. Le hasard ce matin voulu que je retrouve cet écrit alors que précisément cela correspond au jour dit où il m’annonçait qu’il était bien malade.
Ce petit hommage pour lui: « Les Anges existent mais des fois ils n’ont pas d’ailes… nous les appelons alors nos amis. » Roberte Colonel