Hier j’avais pour toi les yeux de chimère.
J’avais enfin trouvé mon poète.
Au cœur de la nature tu me recréer
Les couleurs de l’arc en ciel.
Tu avais en mon cœur réinventé le mot bonheur.
Viens reprendre tes droits,
Recréer les couleurs,
Que justifie ton désarroi.
Ferme les portes étroites,
Pour mieux ouvrir aux fleurs,
C’est aussi voir s’accroître
Le pouvoir de notre bonheur.
Laisse-moi t’aimer, souffler le vent
De l’amour, du bonheur absolu
Pour amorcer le temps
Où le malheur n’est plus.
Roberte Colonel
D’après le texte l’ombre de l’ambre de Charef Berkani