Et si pour quelques heures l’écrivaine délaissait son clavier pour le désir d’un homme ? Et si elle désertait ses pages pour parcourir son corps ? Et si dans le noir elle s’abandonnait aux lèvres de l’amant ? Elle médite sur l’attitude à prendre, l’écrivaine dans cet instant, alors que la nuit tombe sur la ville et que son corps s’ouvre déjà dans l’attente. Elle est rêveuse, elle se laisse porter par la passion des sens. Il est cet homme avec qui elle échange des mots, les commentes. C’est leur jeu outre les désirs qu’ils ont l’un pour l’autre. Il s’était laissé séduire par ses écrits qu’elle lui envoyait. L’écrivaine se laissait séduire par ses poésies . Elle imaginait qu’il lui écrirait des poèmes. Il imaginait qu’elle lui écrirait leur histoire. Mais leur passion pouvait elle se raconter ? Et qu’aurait elle bien pu raconter ? Que pendant tout ce temps ou il était venu semer le trouble dans sa vie et que ce trouble n’est plus là lui manque, que sa peau lui manque, et qu’elle fera ce qu’elle à toujours fait avant, ce qu’elle à toujours fait, c’est-à-dire écrire. Il n’est pas certain qu’elle y parvienne. Le regard troublant désormais absent a laissé son corps de braise. Il y a des jours où il est temps de vivre ce qu’il y a dans la vraie vie, se dit-elle. (Texte Roberte Colonel)
Joli aquarelle , etre soi meme , dans la vraie vie , avec ses besoins et ses envies , que voila une aspiration de femme , quand vous avez l’homme , vous approchez de l’amour , a condition d’en avoir un qui vous comprend , et ferait tout pour vous et votre bonheur et bien etre , qui vont ensemble . A trop imaginer , on peut etre deçu , il faut savoir se contenter de ce que l’on a deja ,
Sage réponse mon cher Laurent savoir se contenter de ce que l’on a.
Oui mais tu sais j’ai toujours en réserve des rêves qui me permettent de contruir mon imaginaire car ici il s’agit bien que d’un texte de rien d’autre! Bisous Laurent.
J’ai bien compris depuis le temps que je vous lit , que l’on est dans l’imaginaire de l’ecrivaine , pas de probleme ma chere Roberte , bonne soiree a toi , je nevais pas tarder a sortir , dans la nuit , le froid et peut etre la neige qui sait mdrrr , et tout ca pour manger un couscous pour 4 a 2 .
bon appétit et surtout ne prends pas froid…
Très, très bon texte, Roberte, et quelle conclusion, oui ! Douce soirée ! Bisous♥
Colette, je ne suis pas sûre que l’écrivaine mênera à bien sa conclusion…elle m’apparait parfois changeante!!! Bonne soirée. Bisous mon amie. Roberte
Beau texte et belle résolution ! Bonne soirée Roberte 🙂
Gyslaine c’est ce que je dis…mais..mais! (rire) Ce ne sont que des mots pour faire un texte. Bonne soirée. Bisous Gyslaine
Sage décision que celle de saisir les opportunités en temps réel et pour de vrai
L’adage dit:un tien vaut mieux que deux tu l’aura. Amitié.
Il faut bien qu’un jour l’écrivaine grandisse et découvre ce que lui offre la vie réelle. Amitié Charef
Tout beau texte…..j’aime beaucoup la dernière phrase en guise de conclusion pour cette douce rêveuse.

joli aquarelle.
Bonne journée
Bisous
Merci Georges d’avoir apprècier mon texte. Bonne après midi. Bisous.
mieux vaut délaisser son clavier et passer un bon moment entre amis
O! non flipperine il a toujours un amour quelque part à vivre…(sourire).
Le monde de l’imaginaire est si vaste …
Mais l’imaginaire ne se nourrit-il pas du réel ? L’écrivaine ne puise- t-elle pas au fond de son âme ses rêves et ses espoirs déçus ?
Merci Roberte pour cette agréable lecture , la chute est pleine de sagesse.
Bonne journée, bisous
Merci Lucia pour cet agréable commentaire. Bien sure que l’imaginaire se nourrit d’un peu de réel car l’imaginaire c’est un rêve que l’on tisse , que l’on part de mille attraits. Cest pour cela que j’aime toujours joindre à mes écrits une petite note d’espoir.
Bonne journée Lucia. Bisous.
Bon week-end Roberte,
J’aime beaucoup lorsque tu écris ces petits textes remplis de petites choses qui t’appartiennent. 🙂
Nous laissons un peu de nous même si nous le voulons bien, ou alors c’est notre inconscient qui parle à notre place 😀
L’écriture est un phénomène quelque peu surréaliste, construit, et la plume qui échappe à notre contrôle parce que ce sont les héros que nous créons qui nous échappent et vivent leur vie 🙂 J’ai déjà lu, entendu et vécu (un petit peu, suis pas du tout écrivaine), ces ressentis.
Il est très agréable d’écrire des histoires imaginaires. En ce qui me concerne, elles détendent l’esprit et nous entraînent dans des mondes bien souvent amusants. Les personnages prennent vie et comme racontent certains écrivains échappent ainsi à tout contrôle 😀
Parce que l’auteur le veut bien 🙂
J’étais déjà venu lire ce texte, mais pas depuis mon pc, où il est plus facile de commenter.
Ici le soleil brille et la ville vibre à foison de mille activités diverses. C’est la période avant l’hiver.
Aujourd’hui escale d’un voilier. J’espère que j’aurai l’occasion d’aller faire quelques photos 🙂
Bisous mon amie et à bientôt.
Geneviève
Peut-on en quelques mots décrire tous nos émois
faire partager au monde, un instant de folie.
Peut-être une écrivaine en écrivant sa vie
pourrait-elle l’essayer, simplement, une fois.
Bonne semaine.
L’écrivaine c’était un peu essayée a décrire ses émois !!! parcequ’elle se sentait en danger et que depuis cet écrit elle sait quelle est encore en danger… Ainsi va la vie d’une modeste écrivaine !!!
Bonne semaine à toi Peter.