L’espoir s’échappe
Il y avait en elle tous les doutes
mais une seule certitude.
Elle aimait.
Elle était aimée.
Les jours comme les nuits
Pouvaient venir se
Poser sans bruit,
Le vide n’existait plus.
Depuis des mois,
elle se nourrissait
De sa présence,
de sa tendresse
De son humour,
de son amour.
Depuis des mois il se nourrissait lui aussi,
De ses mots à elle et
il s’y abreuvait.
Elle ne sait plus
Comment cette folie
De trop l’aimer est arrivée.
Elle sait que sans lui,
Elle ne sera pas bien,
Que ses mots n’auront
Plus la même saveur
Elle s’était épanouie
Parce qu’il avait cru en elle,
Sans lui elle reviendrait
l’ombre d’elle même,
une flamme sans lumière.
et sans vie.
(Roberte Colonel)
Super que ces mots Roberte ! Autant ta photo est claire, autant la mienne est sombre ! Et pourtant, ici, il fait encore jour, alors que chez toi, c’est le soir ! Mais, on parle de lumière toutes les deux, hein ! Bonne fin de jeudi à toi et agréable vendredi tout entier !
Bisous♥
Merci Colette pour ce gentil commentaire. On parle de lumière car elle éclaire le devenir de chacun d’entre nous. Bonne journée. Bisous.
La lumière brille dans les coeurs
Flipperine je l’espère qu’elle brille la lumière dans les cœurs de tous ceux et celles qui sont aimés.
Est-ce folie que trop aimer ? La force de l’amour réside en ces termes, quand l’espoir s’échappe se savoir aimé. La présence de l’être aimé comble de joie mais pas le « vide en soi ».
Magnifiquement écrit Roberte.
Bonne journée , bisous ♥
Je suis touchée par tes mots Lucia. Merci. Je te souhaite une très belle journée. Bisous.
La flamme pourra peut être à nouveau briller, en un autre instant, avec une autre personne 🙂
Gyslaine je ne le crois pas… je vais essayer que la flamme qui m’anime me serve a construire de beaux projets dans l’avenir après mon opération. Bisous.
Tu pars quand ?
J’ai rendez vous le 10 septembre pour l’écho et de la, la décision sera prise ce jour là. Mais je suis bien préparée…
ok
L’amour pourrait-il être un jour « éternité » ?
Un homme ou une femme pourrait-il supporter
d’être ainsi sclérosé, que dis-je : amputé
d’un partie d’eux-mêmes, j’ai nommé : liberté.
C’est pourquoi j’ai choisi : l’Amitié.
Sourire.
Fripon je sais ta pensée, je sais que tu ne suporterais pas d’être amputé d’une partie de toi même c’est ce que tu dis maintenant … Je peux comprendre aujourdhui que tu puisse choisir: l’amitié.
Sourire bien sûre… par ce qu’un jour mon souhait pour toi c’est que tu puisse le rencontrer ce grand jour d’éternité!
Amitiés. Roberte