L’hiver arriva rude et brumeux. Les journées devenaient de plus en plus tristes, séparé de Mélanie je ne tenais plus.
Il était dix heures passée lorsque je rentrais chez moi ce soir-là.
J’étais tendu à l’idée de l’inévitable conflit que j’allais provoquer. Quoique je dise, quelques précautions que je prenne, quelqu’un serait peiné. Mes parents incarnaient à la perfection la vie quotidienne d’un couple juif. Ils semblaient heureux. En les voyant, j’eu un pincement au cœur et ressenti de l’appréhension et du remords. Depuis l’enfance j’étais entouré d’amour protecteur de mes parents.
C’était bien ta promenade me demanda doucement maman ? C’est le moment que je choisi en me tournant vers maman. J’ai quelque chose d’important à te dire. Oui je t’écoute… Je fixais son visage où se lisaient de l’inquiétude et un amour si pur que je pensais au mal que j’allais lui faire.
-Maman je veux me marier.
– Tu veux que je te trouve quelqu’un ? Une jeune fille comme il faut.
– N’est il pas écrit qu’à dix-huit ans un jeune homme devra prendre femme ? Je regardais droit dans les yeux mon père en m’efforçant de respirer régulièrement.
– C’est vrai, mais il est aussi écrit : épouse une femme estimable, d’une respectable famille. Tu veux que je commence à me renseigner pour toi ?
– Non, j’ai déjà trouvé une femme papa je sais qui je veux épouser.
– en voilà une idée ! s’écria maman. Tu veux choisir ta femme ?
– Elle s’appelle Mélanie et elle n’est pas juive. Elle est très jolie et je l’aime.
Une shika !
Tu n’as pas fait le bon choix dit mon père tu dois épouser une juive.
– Non je veux épouser Mélanie.
Comment feras-tu le sabbat avec une shiksa ? Demanda maman, es ce qu’elle cuisine bien ? Je parie qu’elle ne sait même pas cuisine Kasher.
Peu importe comme elle cuisine. Nous nous aimons et nous allons nous marier.
Vous, vous aimé !gronda t-elle. Quelle bêtise ! Tu n’as pas pensé à tes enfants ?
Non répondis je honnêtement. Pourquoi ?
Pourquoi ? S’écria Maman en larme ? Mais tes enfants seront peut-être juifs partagés entre deux cultures.
Je serais inflexible je vais épouser Mélanie.
La discussion se prolongea, tourna en rond comme un serpent qui se mord la queue.
Alors qu’à une courte distance de là Mélanie veillait prise entre l’extase et la peur. Et si j’étais enceinte ? Nous aurions dû attendre. Mais le souvenir était enchanteur pour que je puisse avoir du regret. (A suivre)
(Image du Net) (Amoureux romantiques )
le mariage entre 2 cultures n’est pas si facile que cela j ai eu ce problème
Yinchris, Je n’ai pas encore trouvé le mot fin de ma nouvelle… elle reste à écrire pour demain. La nuit va peut être m’aider.
La fin peut il y en avoir chacun peut se l imaginer à sa façon en fonction de ton écriture et de sa sensibilité
le mariagedoit être au dessus des cultures s’il est forgé sur l’amour
Je vais esssayer de le démontrer demain si l’inspiration me vient cette nuit.
Ah ! Que va-t-il arriver maintenant ! Pas facile, un mariage ainsi partagé, mais l’amour, s’il est vrai, sera au-dessus de cela, en tout cas, je l’espère, on verra …
Bonne soirée, de cet après-midi ensoleillé de mon Québec, Roberte,
Bisous♥
Colette tu aimerais bien déjà connaître le déroulement de cette histoire…demain sans doute. Bisous
voici une bien jolie histoire d’amour, ma chère amie. Mais pas simple, l’amour est quelque chose de fort qui ne prête pas toujours à réflexion. Cependant pour bâtir quelque chose durable et stable il vaudrait mieux aller dans le même sens…Ce n’est pas toujours le cas hélas !!!! suspens !! On attend la suite. Bise sincère et amicale, ma chère Roberte.
Claudie
Je suis très heureuse de te revoir Claudie. J’espére que sur ton ile en Corse tu n’as pas trop froid.
L’actualité m’a donner le désir de voir si je pouvais écrire sur un sujet touchant les sentiment de deux personnage dont l’origine et la culture était si différente. Peut être vais arriver à terminer sur une belle fin.
Pein de bisous pour toi. Roberte
J attend la suite avec impatience Roberte
si l amour est là le reste n a pas d importance
mais pas toujours facile d allier deux cultures dans le temps
bisous de moi ma chére écrivaine
Dany, merci pour ton bisous que je te renvois. La suite peut être ce soir où demain.
Rhooo !
Une suite peut-être ou alors deux ou trois
Tu veux nous faire tirer la langue bien des fois ?
Je suis toujours surpris qu’une telle religion
Qui nous prêche l’amour y mette conditions.
J’attendrais donc encore avec tes lecteurs
Qu’une suite arrive et conduise au bonheur.
Bonne inspiration 🙂
Dans quelques minutes si tu es patient tu sauras la fin de l’histoire. A tout de suite coquin de Fripon!
Je l’ai retrouvé ton commentaire il ne s’était pas envolé. Tu me donne de mauvaise habitude… j’attendais de toi que tu commente et rien ne venait. J’en étais désolée. Toi,mon ami que tu ne sois pas venu lire la suite cela m’avais surpris mais avec friponet on ne sait jamais ou il est caché !!! Bonne fin d’après midi
Il se cache parfois en des lieux inavouables.
Rire.
Bien caché et vu que de moi même !!! (Rire)
re-moi Roberte,
J’ai lu la première partie, j’ai lu la seconde, et tu touches du doigt les différences qui peuvent exister dans ce type d’amour qui lui seul peut triompher. J’en entends des exemples assez souvent, j’en lis aussi, les sujets s’écrivant par des auteurs de livres. Et dans un autre domaine, j’ai bien vécu entre un père protestant et une mère catholique-chrétienne. Maman était modérée dans ses propos. Quant à mon père n’en parlons pas, il était totalement contre l’extrémisme du Vatican, tout en tombant lui-même dans son extrémisme personnel.
C’est bien écrit, avec ta plume sensible Roberte. Hâte d’aller lire comment cela se termine 🙂
c’est tjs difficile d’avoir deux religions différentes dans une famille mais l’amour est bien le plus fort
Dans le cas de Mélanie et David c’est ce que j’ai voulu démontrer mais dans la vie réelle en est il de même?
Bonne soirée.