Maintenant que les mots ne viennent plus
que le sable a comblé
la place du marché
que le temple est vide
Tu redeviens l’étranger
par qui l’inquiétude ancienne
psalmodie ses silences
sur nos mémoires effrangées
Vieille idole sacrifiée
tu retournes
dans les limbes sans coup
de feu sans intrigues
Alors parmi les ombres il ne restera
sur la piste muette
au centre du cercle rompu
que la silhouette d’un homme seul
un danseur
virevoltant
sur une valse
à quatre temps
(Poésie de Fulvio Caccia, Lilas) (peinture de Eric Armusik)
et que la solitude est dure parfs à supporter mais on trouve tjs à s’occuper il ne faut pas se laisser abattre
Je crois aussi qu’il ne faut pas baisser les bras contre l’adversité. bonne soirée.
Superbe ce poème. Déchirant et beau
merci Marie je te souhaite une belle soirée.
Magnifiques, ces mots, quoi qu’un peu triste !
Bonne soirée Roberte !
Bisous.
Colette suit un peu dans ma période nostalgique en ce moment. Mais t’inquiète ça ne va pas duré!!! bisous
C’est superbe ! merci pour ce partage, bisous
merci Gyslaine… un peu triste peut être mais j’ai aimé partager cette poésie avec mes amies.
Bonne soirée. bisous
quelques fois l’inspiration disparait pour réapparaitre en croisant sur son chemin quelques choses de beau, bon dimanche
Ma belle Maquise, je me suis promener sur ton blog et j’ai cueilli un de tes poèmes »Si tu le veux bien divine ignorante » tu vois j’ai eu raison de te rendre visite puisque te voilà. Je n’ai pas encore mis ton poème… je suis a la recherche d’une belle image. (rire je ne vais pas aussi te voler la tienne) faut pas quand même exagérer!!!.. je te fais un gros bisous. A très vite.